Policier Présumé

Sinon, je regarde jamais les informations mais je suis tombé sur le journal de TF1 hier où ils ont utilisé de l'IA pour un montage de Trump et Xi JinPing. D'accord, laissez-moi sur le côté du journalisme et de la terre entière.

Que des mecs avec un patrimoine qui votent sur une taxe sur le patrimoine. Les bras m'en tombent.

Au-delà du phénomène que représente Victor Wembanyama, sa jeune équipe a pris en consistance et propose une variété, autour de Victor, qui peut mener à un groupe solide sur plusieurs années. Reste à voir le poids des salaires, à terme, quand les jeunots aspireront à plus. #Spurs #NBA #InstantSport

"Prouve que tu ne connais pas tes droits et tes privilèges en faisait croire que tu connais tes droits et tes privilèges" :

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À ne pas confondre avec : "Deux gars se sont frottés l'entrée de l'arrière-train à l'est de Paris".

Totalement prêt à payer pour voir sa saison... (En croisant les doigts pour les résultats mais la santé, surtout, vu son corps unique)

(je veux bien savoir de quoi on parle, je suis visiblement bloqué par l'auteur du sujet)

Extraordinaire décision arbitrale, après un visionnage qui dure des plombes alors que bon... : "No penalty". Lille déjà malmenée, se prend un troisième but juste après cette possibilité de revenir à 1-2.

Heureusement, la VAR est là.

La reconversion de François Damiens va vous étonner. #OLBSL #LigueEuropa

Justement, il faut des murs, une salle de pause et un micro-ondes. Le minimum syndical, quoi. Et des brigades fournies parce que c'est important 😑

On va en monter un à l'intérieur de la prison de la santé d'abord. Y'a les joyaux de Nicolas à préserver.

Tellement d'innocents en prison et je n'y suis pas. Si ça se trouve, c'est parce que je suis coupable.

Ça m'interpelle moins, parce que n'importe quel quidam qui va tendre sa main au tribunal sera peut-être plus à même d'avoir une réponse positive, encore plus s'il y a des caméras. Et Sarkozy n'était pas encore jugé, les fonctionnaires ne peuvent pas trop faire autre chose.

La honte ce ne serait pas qu'il lui arrive quelque chose, la honte, c'est d'obliger des fonctionnaires de police à s'abaisser à la protection de détenus, surtout quand les actions pour lesquelles ils sont détenus représentent le déshonneur d'un pays, pas sa grandeur. C'est une extraordinaire honte.

On passe pour des branques parce que des mecs volent des bijoux au Louvre mais s'il arrive *insérer quelque chose qui se passera jamais* à Nicolas Sarkozy, ce serait pire en termes d'image? C'est un détenu, il doit être soumis aux mêmes règles que les autres ou les autres aux mêmes règles que lui...

De quoi on a l'air auprès du grand public ? De quelle putain de façon je vais me défendre d'être neutre quand quelqu'un va me dire qu'on protège les privilégiés, les politiques, et les riches ? À quel moment cette mesure paraît-elle positive pour l'institution dans la balance perte/bénéfice générée?

Un mec (pas de révérences à lui faire) à l'isolement, on va me faire croire qu'il est en danger et que l'administration pénitentiaire n'est pas responsable de ce qui s'y passe. La police garde des détenus à l'hôpital parce que l'AP sait pas faire et maintenant les garde aussi en prison. Sublime.

Sarkozy au téléphone avec Lecornu:
- Je suis devant la porte !
- Et alors ?
- Bah y'a personne pour m'accueillir ?
- Comment ça ?
- Je vais démissionner ça va pas faire un pli !
- Nicolas, ça fait 4 fois que je te le dis : tu vas à la santé. À la prison de la santé, pas au ministère !
- ...
- ...

Qualifié par certains de festival bobo-bourgeois, parce que ça a un prix, inévitablement, et c'est pas donné, je le reconnais. Mais il y a quand même une grande partie de retraités et de passionnés (je pose une semaine de vacances, personnellement). Et j'y trouve mon compte annuel. Bref, fin de fil.

Programmation début septembre avec mise en place de la billetterie demandant un peu de réflexion et de découpage pour une variété de films du muet jusqu'à l'avant-première. Une aide de nombreux bénévoles et un village Lumière pour l'achat de produits liés au cinéma (et aux invités d'honneur).

Pour rappel, le festival c'est tous les ans en octobre. Avec une présentation (5 à 15 min) par le personnel de l'institut Lumière, des professionnels du cinéma ou des invités prestigieux (durée pouvant varier selon avant-première ou présence de star) et des salles dans tout Lyon et périphérie.

Confrontation de légendes pour un film tout aussi iconique. Un face à face dans un dinner et une fusillade en pleine rue cultes, Heat s'est installé comme une référence du cinéma de gangster. Privilège d'une restauration impeccable et du grand écran où tout est magnifié. Fin de festival géante.

#32 Heat, de Michael Mann (1995). Avec Al Pacino et Robert De Niro. Un flic acharné doit arrêter une bande organisée autour d'un voyou tout aussi obstiné et méticuleux. Jeu du chat et de la souris entre deux hommes aux compétences redoutables. Présenté en séance de clôture par Michael Mann.

Personnage "chatouillant et gratouillant" de Jules Romains et déjà joué au théâtre par Louis Jouvet. Knock surprend par cette aptitude à manipuler ses patients et le public sans pouvoir déterminer son envie personnelle est de faire ce qui lui semble opportun, lucratif ou nécessaire. Unique.

#31 Knock, de Guy Lefranc (1951). Avec Louis Jouvet. Un médecin arrive dans un village et comprend pourquoi le précédent quitte la région en demandant le reste. Les habitants ne sont jamais malades et il va devoir remédier à la situation en les invitant à consulter le plus vite possible.

Destiné à la télévision, premier véritable film de Michael Mann dans une prison qu'il a déjà filmée dans le cadre d'un autre projet. Combat d'un seul homme au milieu de luttes de communautés, récit traditionnel sur le dépassement de soi, qu'il soit forcé ou volontaire. Agréable, mais sans surprise.

#30 Comme un homme libre (1979), de Michael Mann. Un détenu de la prison de Folsom n'a que la course à pied pour fuir l'ennui et purger sa peine. Ses performances, néanmoins, ne laissent pas indifférents et vont lui offrir une opportunité qu'il n'a pas même imaginé.

Présenté par Dominik Moll (à droite) et Gilles Marchand (scénariste). Longue conversation en fin de projection avec des questions/réponses du public. Gros travail documentaire (Moll a pu assister à quelques jours de travail dans les locaux de l'IGPN + avocats de victimes et témoignages). À voir.

Habile traitement d'un sujet sensible, en n'omettant aucune difficulté, aucun avis, aucun préjugé à travers des discussions ou des relations anodines. Léa Drucker concentre en elle toutes les voix pour une sorte de consensus entre l'évidence des faits et la fatalité d'une justice imparfaite.

#29 Dossier 137, de Dominik Moll (2025). Avec Léa Drucker. Avant-première. Une commandante de l'IGPN doit découvrir les circonstances qui ont failli coûter la vie à un homme se disant victime d'un tir de flashball pendant les manifestations des gilets jaunes. Un long travail d'enquête l'attend.