LDH Poitiers

Précédé par le logo de la LDH Poitiers en en tête (un bonnet phrygien rouge), le communiqué suivant, en réaction à l'agression dont ont été victimes plusieurs membres du collectif "La Coloc Drag" : La section de Poitiers de la Ligue des Droits de l’Homme (LDH Poitiers) a appris avec consternation l’agression qui a visé plusieurs membres du collectif d’artistes “La Coloc drag” le 13 septembre dernier. La LDH Poitiers souhaite donc tout d’abord adresser son soutien plein et entier aux victimes de cette agression ainsi qu’à la Coloc Drag dans son ensemble. Elle souhaite redire aux personnes de la communauté queer de la Vienne qu’elles trouveront toujours la Ligue des Droits de l’Homme à leurs côtés pour lutter à leurs côtés contre les discriminations et violences LGBTQIA+phobes. La LDH Poitiers également appris le déferrement d’un suspect pour violences commises à raison de l’orientation sexuelle de la victime et sa comparution prochaine devant la justice. S’il faut se féliciter de la rapidité du traitement judiciaire de cette affaire, la LDH Poitiers constate que le suspect est un mineur, signe inquiétant de l’influence des préjugés LGBTQIA+phobes chez les plus jeunes. De façon plus globale, cette agression est malheureusement représentative de la montée des violences contre les personnes queer (+5% en 2024 - source : Ministère de l’Intérieur), encouragée par un discours de haine banalisé, tant sur le plan national qu’international. A Poitiers comme ailleurs, il est impératif de résister face à ces violences et discours, de protéger les personnes queer, et de les aider à défendre leurs droits, comme ont pu le faire le personnel du Cluricaume et les clients de cet établissement le 13 septembre dernier. La LDH Poitiers, elle aussi, continuera à se mobiliser en ce sens, et invite tous ses adhérent-e-s à faire de même. A Poitiers, le 21 septembre 2025 Contact : poitiers@ldh-france.org

🔴 Communiqué de presse en réaction à l'agression ayant visé plusieurs membres du collectif "La Coloc Drag".

Précédé par le logo de la LDH Poitiers en en tête (un bonnet phrygien rouge), le communiqué suivant : UNE ASSOCIATION ÉVINCÉE DE LA PRISON D’Un Livre L’Autre (DULLA) est une association qui a joué un rôle historique essentiel dans la création d’une bibliothèque à la prison de la Pierre‑Levée et au centre pénitentiaire dePoitiers‑Vivonne, aujourd’hui la médiathèque Naguib Mahfouz.L’association est à l’origine, en 1983, d’un partenariat exemplaire liant l’AdministrationPénitentiaire et la médiathèque François Mitterrand dont un personnel est détaché sur place.En concertation avec les professionnels, les bénévoles ont participé à l’action culturelle au seinde l’établissement : publication de la revue Liseron (57 numéros à ce jour) et invitation d’unecentaine d’écrivains (dont Annie Ernaux, Jean Teulé, Anna Gavalda…) pour faire découvrir leursoeuvres aux personnes détenues.Les subventions perçues (4 000€ pour le budget 2025 dont 2 000 provenant de la DRACNouvelle Aquitaine) ont permis à DULLA de contribuer pour une part déterminante auxacquisitions.La première bibliothécaire a été nommée Chevalier de la Légion d’honneur et un autre membrefondateur de l’association médaillé de l’Administration Pénitentiaire.Telle était l’association qui vient d’être exclue du dispositif sans concertation préalable, sansénoncé de griefs et au seul motif d’une nouvelle convention passée entre l’AdministrationPénitentiaire et la Médiathèque François Mitterrand (Grand Poitiers).La section de Poitiers de la Ligue des Droits de l’Homme, membre du GroupeDépartemental Concertation Prison (GDCP) :-S’indigne que l’on puisse ainsi mettre fin à des actions et innovations bénévoles en milieu pénitentiaire ;-Craint que ce soit le signe d’une dégradation du partenariat entre l’Administration et letissu associatif. A Poitiers, le 20 septembre 2025 Contact : poitiers@ldh-france.org UNE ASSOCIATION ÉVINCÉE DE LA PRISON

🔴 Communiqué de presse relatif à l'exclusion de l'association DULLA, actrice locale historique de la médiation culturelle en milieu pénitentiaire, des prisons du département de la Vienne.

Sur un document à en tête comportant le logo de la section de Poitiers de la LDH (un bonnet phrygien rouge) : La section de Poitiers de la Ligue des Droits de l’Homme (LDH Poitiers) a appris avec horreur l’assassinat de Inès Mecellem par son ex-conjoint le lundi 8 septembre dernier. La LDH Poitiers souhaite tout d’abord adresser à la famille, aux proches, et aux camarades d’Inès, dont l’engagement contre l’injustice et les inégalités était connu, ses plus sincères condoléances. L’assassinat d’Inès montre clairement les défaillances de l’État (et plus particulièrement de l’institution policière) dans la prise en charge des violences sexistes et sexuelles. Le grand nombre de plaintes et compléments de plainte déposé par Inès durant l’été, son utilisation du Téléphone Grave Danger dont elle était munie, ainsi que l’arrestation et la libération de son agresseur une heure plus tard sont les révélateurs de ces échecs, qui se paient en vies humaines. Si la LDH Poitiers se félicite donc de la saisine de l’IGPN, elle souhaite redire qu’une simple enquête administrative ne saurait être suffisante. Ce nouveau féminicide est le révélateur d’un problème plus global, qui prend appui sur des logiques ancrées de domination sexuelle et patriarcale. Plus que jamais, il est l’heure d’une loi-cadre intégrale sur les violences sexistes et sexuelles, d’améliorer la formation des agents des institutions policières et judiciaires et de dédier, enfin, les moyens financiers appropriés à la réponse à ces violences. La LDH Poitiers souhaite enfin redire son soutien à toutes les victimes, alors que le 113e féminicide de l’année 2025 vient d’être recensé. Elle invite à se joindre au rassemblement et à la marche blanche organisés par le collectif du 8 mars, l’ADEV et le collectif des Amazones en mémoire d’Inès, place du Marché Notre-Dame à Poitiers, samedi 20 septembre à 15 heures, et y sera présente.

Communiqué de presse relatif au féminicide du 8 septembre 2025.

Bannière de la fête des associations de la ville de Poitiers, qui aura lieu le dimanche 7/09 au Parc de Blossac de 10h à 18h.

[#agenda] Intéressé.e.s par les droits humains ? Vous avez envie de découvrir la #LDH ? On vous donne rendez vous Dimanche 7 septembre à partir de 10h au parc de Blossac, pour la #fêtedesassociations de @villedepoitiers.bsky.social 🎉

Maintenant, si vous ne voulez pas admettre que vous pouvez vous aussi vous tromper et si vous considérez que seule la LDH est faillible, c'est votre droit le plus strict. Ayant dit tout ce que nous avions à dire, nous en resterons là pour notre part et vous laisserons à vos impressions et opinions.

Nous vous lançons la même invitation - et éventuellement celle d'apprendre la différence entre constat et opinion fondée sur une impression subjective, qui peut, puisque tout le monde est faillible - nous...comme vous - être erronée.

Oui nous avons bien compris : vous avez raison, nous avons tort. Tant que vous êtes dans cet état d'esprit, il n'y a pas de débat possible.

1) En effet, la LDH ne substitue pas à la Gendarmerie
2) On vous conseille de revoir la définition de la désobéissance civile.
3) Notre communiqué ne portait pas sur la défense d'un moyen X ou Y de mobilisation.

Et nous le faisons ! Cela ne semble pas être votre cas. C'est dommage : il n'est pas possible de dialoguer si vous partez du principe que vous avez obligatoirement raison et l'autre (ici, la LDH, section de Poitiers), tort.

ou encore "s'opposer à la criminalisation de l'expression d'opinions pacifiques et au détournement du droit pénal à des fins politiques".

Pas du tout. La LDH est légaliste, n'encourage pas à la violence, n'est pas anti-police, à moins que "soutenir", chez vous, signifie rappeler que les acteurs publics doivent, eux aussi, respecter le droit, et que la procédure pénale prévoit un certain nombre de droits...

En effet : la remise en question n'est jamais une erreur. La bonne journée.

Mais nous restons à votre disposition si vous vous réveillez décidé à débattre de bonne foi et du sujet, et de notre communiqué, et pas totalement à côté. La bonne journée.

C'est bien ce qu'on vous dit : toujours la faute des autres, jamais la votre, et puis surtout, il ne faut pas vous le dire, parce que, comme le prouve ce message, vous faites les questions et les réponses, sans volonté de débattre, et être l'arbitre des élégances.

Peut-être parce que vous n'êtes pas bien clair ? Il serait bon que vous vous appliquiez ce que vous exigez des autres.
Quant au reste, nous ne sommes pas responsables de votre manque de compréhension...ni tenus de répondre aux accusations erronées et hors sujet qu'il produit.

Navré, nous ne comprenons pas où vous voulez en venir. Le dialogue est donc difficile dans ces conditions. N'hésitez pas à reformuler. La LDH, section de Poitiers, est toujours ouverte (mais n'oblige jamais) au dialogue, du moment qu'il est constructif et poli. Bonne journée.

Dans l'intervalle, vous aurez une réponse adaptée à votre ton, rappelant les règles de politesse élémentaires, ou pas de réponse. Vous avez aussi parfaitement le droit de ne plus consulter cette page qui vous déplait ou de ne plus nous répondre, évidemment. La bonne journée.

Le débat et le dialogue sont possibles lorsque l'on pense que l'autre peut avoir quelque chose de bon à dire. C'est pour cela que vous avez été invité à reformuler. La porte reste ouverte si vous voulez faire autre chose que du trollage - devons nous repréciser la définition du Larousse ?

Il n'y a en effet aucune réponse à attendre à cette logorrhée verbale d'accusations - vous ne venez pas débattre mais exprimez une opinion afin de susciter accusations et polémiques, définition même du trollage - en vous cachant derrière "le peuple" - bien pratique comme argument d'autorité.

Troll : Message posté sur Internet, souvent par provocation, afin de susciter une polémique ou simplement de perturber une discussion ; personne à l'origine de ce message.

Vous souhaitiez faire autre chose que provoquer et créer la polémique ?

Vous expliquer qu'être poli est une condition nécessaire du débat n'est pas être cavalier. Ignorer le ressenti de votre interlocuteur - qui devrait obligatoirement se ranger à votre avis, seul qui compte & qui témoigne d'une singulière fermeture d'esprit & d'un manque total d'empathie - l'est.

Bonjour,
La LDH section de Poitiers, est attachée au débat et à la liberté d'expression. Elle rappelle cependant que débattre implique de parler du même sujet et de ne pas sauter du coq à l'âne en suivant des schémas mentaux hermétiques pour l'interlocuteur en face.
Bonne journée.

Non, et ce n'est pas ce qui vous a été répondu. Vos accusations sont absconses et viennent manifestement d'une incompréhension de votre part. Bonne soirée.

La perfection n'étant pas de ce monde, le droit n'étant pas la justice, l'erreur étant humaine, et les dérives possibles, la LDH continuera son travail de veille.

A l'avenir, si vous espérez une réponse de notre part, essayez d'apprendre la politesse. La liberté d'expression vaut évidemment pour tous, y compris pour les trolls, mais ne comprend aucun droit à l'absence de contradiction, à une audience, ou même à une réponse.

La bonne soirée.

La LDH, section de Poitiers, est persuadée que vous n'auriez pas un tel discours face à un interlocuteur réel, sans avoir l'impression, grisante mais trompeuse, d'être anonyme (c'est faux) et de pouvoir troller en toute impunité (c'est également faux) sur Bluesky.

Bonjour.
La LDH, section de Poitiers, a à coeur de préserver un débat de fond respectueux de tous. Elle est évidemment ouverte à la critique constructive, mais les commentaires de trolls, comme le votre, insultants et diffamatoires, seront ignorés.

Bonjour. Ce communiqué ne concerne pas le fond du propos. Nous suggérons néanmoins que vous lisiez les sources que vous citez, que vous avez manifestement mal compris, et que vous vous informiez plus avant sur la position des scientifiques en la matière.

La LDH ne prétend pas être la justice.
En effet, cela devrait être la règle et c'est à cela que la LDH veille - entre autre.