L'ombre double

Quentin Tarantino

Berlin l'hiver / Berlin l'été, ville de contrastes.

Parce qu'on est en déplacement, ne pas être être allé depuis quelque temps à Paris à un de ces endroits aimés qu'on a la chance de pouvoir voir tous les jours ou presque et, oh miracle, le voir apparaître le temps d'un plan dans un film américain tourné en France. On respire.

Quand on voit beaucoup de films au cours de sa vie, il vient un moment de basculement troublant. Les époques que nous avons traversées deviennent au cinéma des reconstitutions historiques. Soudain, comme du jour au lendemain, notre jeunesse appartient au travail de recherche d'une équipe déco.

Devant une comédie en anglais vost, lire deux lignes de sous-titres avec une vanne sur la deuxième mais retenir son rire le temps que la réplique correspondante soit prononcée par le personnage pour faire croire qu'on ne le lit pas les sous-titres.

Cinéphile burlesque : se casser la gueule dans les escaliers du cinéma en voulant partir discrètement au milieu du film.

Quoi de plus terrible que de voir un film annoncé sur le programme à 1h21min mais qui en réalité dure 121 min !?

Personne n'a pensé à confier un FRANKENSTEIN à une toute jeune cinéaste dont ce serait me premier film ?

Pour Gilles Verdez, cette annonce est "un séisme dans la vie politique française".

« il y a une granulité fine à avoir sur chaque affaire »

bsky.app/profile/lare...

Les grandes scènes de tempête qui surgissent de façon soudaine : pub Crunch / Un couteau dans le coeur.

... censurer, dissoudre, censurer, dissoudre...

Générique de fin THE STRANGERS CHAPTER ONE : aucun de ces acteurs n'apparaît dans le film, ils seront sans doute dans les deux chapitres suivant (gros spoil sur deux nouveaux tueurs GHOSTSKULL et WITCHFACE - qui, visiblement, ne sont pas non plus dans le chapitre 2)

Thierry Méranger me donne toujours l'impression d'être le critique à qui on fait appel si les circonstances font qu'on est un peu obligé de dire du bien d'un film alors qu'on n'en n'a pas trop envie (il a remplacé Joël Magny à ce poste ) #LesCahiersDuCinéma

Joachim can

Un livret où dialoguent Michel Onfray et Patrick Sébastien sur l'état de la France, qu'en pensez-vous ?

Symposium ADRIAN LYNE

Foxes : Rebecca Zlotowski
Flashdance : Nanni Moretti
L'échelle de Jacob : Akira Yamaoka
Infidèle : Josh Safdie

Les politiciens à la recherche de recettes nouvelles.

Oui, c'est bath.

Whao, putain le plan
(The strangers, chapter one de Renny Harlin)

Je me dis toujours "Mais, il a toujours la gueule de OSS 117 Dujardin", alors qu'en fait, OSS 117 avait cette gueule parce qu'il était interprété par Dujardin. Je ne sais pas si je suis clair.

Personnellement, je ne regarde que des films tournés entre 1895 et 1939 pour ne pas être attristé par la mort d'acteurs que j'aurais suivi depuis l'enfance.

LE JOUR ET LA NUIT - Terry Crews, an actor's story

Pensée comme toujours pour Martin Rit qui ne fait plus de films comme réalisateur

Lucky man

"L'homme qui tua la peur" découvert à la TV (en troisième) m'avait ébloui. Filmo complexe (ses films des années 80 découverts en même temps n'étaient pas terribles), qq supers films (Norma Rae, traître sur commande) et l'impression de ne pas connaître sa filmo en profondeur. Je m'y mets là.