Élues communistes et progressistes - Bzh

En Bretagne, chaque jour, la solidarité se construit — fière et tournée vers l’horizon. Alors, regardons loin et avançons, la tête haute. Il existe une voie différente du cynisme et de la résignation. Le rideau n’est pas tombé. À nous d’écrire, ensemble, le prochain acte. » 9/9

Le pouvoir d’achat est la priorité numéro une des Françaises, des Français. Ici, nous agissons par exemple avec le “Premier équipement professionnel” : matériel essentiel pour les élèves des lycées professionnels jusqu’à 300 € d’aide directe pour les familles. 8/9

Notre boussole est simple : efficacité économique et justice sociale, la finance au service du pays, et pas l’inverse. Et nous en donnons la preuve ici, en Bretagne : quand nous soutenons une entreprise, nous exigeons des contreparties, emplois créés, ancrage territorial... 7/9

Abroger la réforme des retraites, créer un fond d'avances de 100 Mrd d'€ dès 2026 pour l'investissement, les services publics et la lutte contre le réchauffement climatique, taxer le capital et conditionner les 211 Mrd d’aides publiques 6/9

Sortons de la farce et reprenons la main sur le scénario. La politique n’est pas un décor de théâtre : elle change le réel et peut améliorer notre vie dès maintenant. Nous avons des solutions : Augmenter les salaires et garantir l’égalité professionnelle femmes-hommes, 5/9

Et dans cet affrontement de classe violent, le travail est à nouveau réduit à une fonction de subsistance. Pour la grande majorité de nos concitoyens, travailler ne signifie plus s’émanciper, mais simplement survivre et se nourrir. Nous refusons cette dérive. 4/9

Alors que le patrimoine des 500 plus grandes fortunes de France atteint 1128 milliards d’€, ce sont encore les salariés, les retraités, les jeunes, les privés d’emploi à qui l’on demande de remettre la main à la poche. C’est un véritable braquage organisé contre le peuple. 3/9

Hegel disait que les grands événements et personnages de l’Histoire reviennent deux fois. Marx ajoutait : la première fois comme tragédie, la seconde comme farce. Nous y voilà : une farce qui vire au ridicule. 2/9

#DirectBZH Discours de politique générale Katja Krüger : « Quel spectacle ! J’ai quelques expériences dans le domaine théâtral, mais je n’ai pour ma part rarement vu une pièce aussi mauvaise. On pourrait en rire. On ne le peut pas : c’est la démocratie qu’on humilie. 1/9

Alors oui, ce plan breton est utile. Juste. Nécessaire. Mais osons aller plus loin. Osons imaginer une société où ce plan ne serait plus nécessaire. Une société où l’économie est au service des besoins humains et non l’inverse, une société qui ne produit plus la misère." 10/10

C’est l’opposé de la charité. Et si nous avons encore la Sécu aujourd’hui, c’est grâce à celles et ceux qui l’ont arrachée et défendue. Comme le disait Ambroise Croizat : "Ne parlez pas d’acquis sociaux, parlez de conquis. Parce que le patronat ne désarme jamais." 9/10

Cette insécurité sociale, nous la combattons ici, en Bretagne. Et nous le faisons au moment même où nous célébrons les 80 ans de la Sécurité sociale. Un projet universel, fondé sur un principe simple et juste : chacun cotise selon ses moyens, chacun reçoit selon ses besoins. 8/10

Ce sont les grandes entreprises qui ont délocalisé pour maximiser les profits. Ce sont les politiques fiscales qui ont permis aux plus riches de s’enrichir encore. Et ce sont les gouvernements successifs qui ont organisé l'insécurité sociale. 7/10

Des travailleurs pauvres, des retraités qui sautent des repas, des étudiants qui dorment sous des tentes, tout cela, en 2025, dans la septième puissance économique mondiale. Et pendant que certains comptent les centimes, les actionnaires, eux, encaissent les dividendes. 6/10

Mais ce que nous faisons ici, nous le faisons à contre-courant. Partout, les droits reculent. On conditionne l’aide, on soupçonne les pauvres, on surveille au lieu de soutenir. Et pendant ce temps, la pauvreté progresse, y compris chez celles et ceux qui travaillent. 5/10

Et surtout : la Région applique à elle-même ce qu’elle attend des autres. Elle recrute, dans ses établissements publics, des personnes éloignées de l’emploi. Elle fait ce qu’elle dit. Et ça, c’est assez rare pour être salué. 4/10

Il permet un accès à une carte de transport solidaire aux personnes en recherche d’emploi dès le premier jour. Il ouvre les internats régionaux durant l’été pour loger les travailleurs saisonniers. Il affirme que la culture, le sport et les loisirs sont des droits essentiels. 3/10

Ce plan a le mérite d'agir à la racine, en touchant à la mobilité, l’alimentation, l’emploi, la culture... Surtout : il ne stigmatise pas. Il n’humilie pas. Il ne trie pas les entre "bons" et "mauvais" pauvres selon qu’ils travaillent, traversent la rue ou sourient poliment. 2/10

#DirectBZH Plan de refus de la misère Katja Krüger : "Merci @rroue.bsky.social, ce plan breton de sortie de la pauvreté et de la précarité n’est pas un simple catalogue d’actions : c’est un acte politique fort. Il dit une chose simple mais essentielle : la pauvreté n’est pas une fatalité. 1/10

La Bretagne n’est pas une administration territoriale comme une autre. Elle doit rester un laboratoire de coopération, un espace où l’on pense, où l’on tente, où l’on transforme. Et c’est cela que ce rapport nous donne à voir. Un élan collectif. Un style. Un avenir en construction." 10/10

Ces deux dynamiques sont nos invariants. Elles doivent continuer d’irriguer l’ensemble de nos politiques : de la culture au climat, de l’économie à la jeunesse, de la santé à l’agriculture. Car ce n’est pas seulement ce que nous faisons qui compte. C’est comment et pourquoi nous le faisons. 9/10

Ce que nous voyons, en somme, c’est une Bretagne en mouvement. Un mouvement qui ne vient ni de l’injonction ni de l’improvisation, mais d’un ressort systémique profond. Nous avançons sur deux jambes ou avec deux voiles. La coopération, et l’expérimentation. Le faire ensemble et l’oser ensemble. 8/10

Ainsi, pour le budget participatif lycéen sur le climat : Il ne s’agit pas d’une animation pédagogique. C’est une véritable démarche d’appropriation démocratique. 41 projets ont vu le jour : potagers pédagogiques, friperies... Les jeunes s’engagent, expérimentent, apprennent à décider ensemble. 7/10

Le campus Cyber Alliance de Lannion montre comment un territoire peut se saisir de la cybersécurité en l’intégrant à une stratégie locale. Cette capacité à faire système ne serait rien sans la culture de l’expérimentation. C’est elle qui nous permet d’oser, de tenter, et même d’échouer parfois. 6/10

La création de Bretagne Mobilités s’inscrit dans cette même dynamique : une réponse collective, structurée, à la nécessité de décarboner les déplacements. En créant un syndicat mixte à l’échelle régionale, nous donnons une ossature à l’action publique en matière de mobilité. 5/10

Pour les illustrer, j’irai puiser dans des exemples concrets pour montrer ce qui nous relie dans l’action. Prenons Breizh Achats : plus qu’une centrale d’achat, c’est une réponse systémique à une triple ambition, transition écologique, souveraineté alimentaire, soutien aux producteurs locaux. 4/10

Deux grandes dynamiques en sont les forces motrices : La capacité à faire système et la culture de l’expérimentation. L’une parle de coopération, de maillage, d’intelligence collective. L’autre parle d’audace, de droit à l’essai, de processus de transformation. 3/10

Au-delà des dispositifs, ce que ce rapport d’activité et de développement durable donne à voir, c’est un style d’action publique. Un ressort systémique, qui relie des politiques en apparence éloignées, mais qui procèdent d’une même manière de faire, d’une même exigence. 2/10

#DirectBZH @del-alex.bsky.social : "Aujourd’hui, j’ai choisi de m’extraire un instant de mes propres délégations, pour tenter de saisir le mouvement d’ensemble. Saisir les mécanismes fondamentaux, ce qui fait cohérence. Ce qui, au fond, révèle la singularité de la politique régionale bretonne. 1/10

Cela suppose le retour des forces progressistes israéliennes et de l’OLP à la table des négociations. Dans ce cadre, la libération de Marwan Barghouti, est urgente. Emprisonné depuis 2002, il incarne une résistance palestinienne qui refuse la violence contre les israéliens. 8/8