CNT Archéo

Les camarades archeo nantais en Ardèche

Le drapeau CNT sur un mur de pierre sèche devant les montagnes ardéchoises

La table pour le repas mise au soleil avec vue sur les montagnes

Table de presse avec stickers et publications archéologiques d'Ardèche

Les archeos du syndicat Culture de Nantes sont allés en Ardèche à l'AG du secteur archéologie de la CNT. Au menu : rencontres, partage d'informations, organisation, perspectives et surtout un accueil chaleureux et un très bon weekend de camaraderie ! 😻✊🤎🖤
@archeocnt.bsky.social

Vue d'une terrasse en Ardèche. Au premier plan un drapeau CNT et à l'arrière plan quelques personnes qui discutent au soleil.

Photo de la table de presse, quelques numéros de la revue Combat syndicaliste, dont un ouvert sur un article intitulé "Archéologie : la lutte paie" à côté d'autocollants syndicaux.

Vue depuis une terrase sur les collines et montagne d'Ardèche.

Trois jours d'échanges sur les luttes de l'archéologie ! La CNT 07 accueille depuis vendredi l'assemblée générale annuelle du secteur archéologie de la CNT-CCS, rassemblant les archéos de l'INRAP, du Privé, des Collectivités territoriales, des Musées et Universités, et précaires de toute la France.

"C'est un scandale", une cinquantaine d'archéologues manifestent devant le chantier de la cathédrale de Valence - ICI Mardi 4 novembre 2025, près d'une cinquantaine d'archéologues se sont rassemblés devant la cathédrale de Valence. Ils dénoncent l'absence de fouilles préalables et la mise en danger des vestiges situé...

Vol des bijoux de l'impératrice : drame national.

Destruction d'un baptistère paléochrétien sans fouilles préalables : osef.

"C'est un scandale", une cinquantaine d'archéologues manifestent devant le chantier de la cathédrale de Valence - ICI share.google/h5xJwHEp71yW...

Les travaux de reconstruction du parvis de la cathédrale de Valence sont en cours. Dans les prochains jours, l'escalier central devrait être restauré... sans fouilles archéologiques préventives. De quoi inquiéter les archéologues !

"C'est un scandale" : une cinquantaine d'archéologues manifestent devant le chantier de la cathédrale de Valence - ICI Mardi 4 novembre 2025, près d'une cinquantaine d'archéologues se sont rassemblés devant la cathédrale de Valence. Ils dénoncent l'absence de fouilles préalables et la mise en danger des vestiges situé...

À Valence (Drôme), une cinquantaine d’archéologues se sont rassemblés le 4/11/2025 devant le chantier du parvis de la cathédrale Saint-Apollinaire pour dénoncer l’absence de fouilles préventives. Ils demandent la suspension des travaux.
www.francebleu.fr/infos/societ...

Rassemblement des archéologues sur le parvis de la cathédrale de Valence aujourd'hui (explication dans le blousk ci dessous).

Déviation de Saint-Péray : 11 élus réclament l'arrêt des travaux à la Ministre de la Culture - ici Alors les travaux ont repris sur le chantier de la déviation de Saint-Péray en Ardèche, 11 députés, députés européens, sénateurs et conseillères régionales de gauche, écrivent à Rachida Dati. Selon eu...

Saint-Péray — Lettre de 11 élu·es à la Ministre de la Culture : demande d’arrêt immédiat du chantier

www.francebleu.fr/infos/societ...

Scandale archéologique sur le parvis de la cathédrale de Valence : l’austérité rase notre passé !

Pour sauver le patrimoine culturel valentinois, exiger le respect du Code du Patrimoine et nous soutenir, signez la pétition suivante :
chng.it/TtJfS4Qx6T

Elle rappelle que les arbitrages budgétaires ne sauraient primer sur l’étude des vestiges lorsqu’ils sont menacés par les aménagements.

Au-delà du constat, cette lecture invite à replacer des dossiers locaux (Valence, parvis de la cathédrale ; déviation de Saint-Péray) dans le cadre juridique et scientifique qui régit nos pratiques : diagnostic, fouille, et diffusion des connaissances, sous l’autorité scientifique de l’État.

Scandales archéologiques en Auvergne-Rhône-Alpes : éléments pour comprendre

www.humanite.fr/en-debat/arc...

Nous relayons la tribune parue aujourd’hui dans L’Humanité qui interroge frontalement l’avenir de l’archéologie préventive dans la région.

Parvis de la cathédrale de Valence : un précédent grave pour l’archéologie préventive

La DRAC Auvergne–Rhône-Alpes s’apprête à lancer en octobre des travaux de « requalification » du parvis de la cathédrale de Valence sans opération d’archéologie préventive.

snac-fsu.fr/wp/parvis-de...

Mobilisation des archéologues (CGT/SUD/CNT/FSU) à Valence cette semaine, contre la volonté du DRAC de mener des aménagements sans fouilles préalables au parvis de la cathédrale.

information et pétition ici : www.change.org/p/travaux-su...

Parvis de la cathédrale de Valence (suite) : vers une archéologie du siècle dernier ? - SUD Culture Solidaires Plus d’un mois après une demande d’entrevue au ministère de la culture pour évoquer l’inexplicable absence d’archéologie préventive sur le chantier du parvis de la cathédrale de Valence, une délégatio...

Parvis de la cathédrale de Valence (suite) : vers une archéologie du siècle dernier ? (Sud-Culture)

sud-culture.org/2025/11/02/p...

Nord de la France — Journée de grève à l'Inrap. Suite à la réunion de négociation du 16/10 (ouverture du dialogue, sans engagements), l’AG régionale du 17/10 a réaffirmé l’exigence d’aligner les CDD au moins jusqu’au 31/12, voire sur l’année suivante.

Drôme. « Les travaux vont tout labourer » : ils dénoncent l’absence de fouilles dans le chantier du parvis de la cathédrale Rassemblés dans le cadre de la mobilisation sociale de jeudi 2 octobre, des archéologues de l’Institut national de recherches archéologiques ...

www.ledauphine.com/social/2025/...

Droit de retrait, maintenant : nos vies, nos collègues d’abord !

Nous veillerons également à ce qu’aucun chantier de construction ne soit engagé en force par des décideurs politiques s’affranchissant des lois tant que les recherches d’archéologie préventive n’auront pas été menées à leur terme en toute sécurité.

Nous garantissons qu’aucun chantage ne pourra être fait impunément par les employeurs sur les archéologues, précaires ou titulaires, qui exerceront leur droit de retrait.

Nous soutiendrons chaque retrait, chaque arrêt, chaque alerte transmise et saisirons l’Inspection du travail et les médias en cas de pressions ou représailles.

Nous soutiendrons toutes les équipes qui décideront collectivement de cesser le travail quand la présence des forces de l’ordre ou de militant.e.s sur un chantier empêchera la poursuite des recherches en sécurité et dans la sérénité.

Le sauvetage de la donnée archéologique est le devoir des archéologues, comme celui du pompier est d’éteindre les feux, celui de l’urgentiste de sauver des vies. Mais les archéologues ne doivent pas être exposés à des situations d’insécurité dans l’exercice de leur mission !

Nous appelons donc à la vigilance les titulaires pour accompagner et soutenir les plus précaires pour le respect de leur intégrité physique et psychique.

Nos collègues contractuel.le.s, déjà mis en difficulté et fragilisé.e.s par une précarité institutionnalisée, doivent être particulièrement protégé.e.s en raison d'un possible chantage à l'emploi. Aucun vestige archéologique ni perspective de contrat ne justifie une mise en danger.

En aucun cas les exigences de rendu scientifique d’une opération archéologique ou le calendrier politique ne peuvent passer avant la santé et la sécurité des travailleur.euses.

Nous nous opposons fermement à ce que l’archéologie serve de bouclier face à des projets destructeurs, plaçant les archéologues en première ligne face aux militant.e.s pour la protection de l'environnement.

Nous rappelons la nécessité d'une mise en place automatique de soutien psychosocial, et le droit à la parole protégée.

Nous rappelons l’obligation de mise à disposition d'un registre de santé et sécurité sur le lieu de travail, d'actualisation du registre DGI après chaque incident et la réalisation d’une enquête CSE–employeur systématique.

Nous rappelons le principe de non-exposition et exigeons qu’aucun.e de nos collègues ne soit exposé.e individuellement ou en groupe dans des situations de tensions extrêmes, sous protection policière, comme celles qui ont actuellement cours sur le chantier de Cornas.