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Cécile Lavolot

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Journaliste programmatrice des émissions De Vive(s) Voix et Géopolitique pour @RFI.fr

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Les SDJ de France 24 et RFI dénoncent la malhonnêteté intellectuelle de la chronique de Bérengère Viennot publiée sur le site du Point le 21 octobre 2025. Que nous reproche son autrice ? D'être rigoureux ? De nous conformer au droit international ? De nous en tenir scrupuleusement aux faits ? En prétendant dénoncer nos prétendus biais, cette tribune ne fait que révéler les siens.

Les SDJ de France 24 et RFI dénoncent la malhonnêteté intellectuelle de la chronique de Bérengère Viennot publiée sur le site du Point le 21 octobre 2025. Que nous reproche son autrice ? D'être rigoureux ? De nous conformer au droit international ? De nous en tenir scrupuleusement aux faits ? En prétendant dénoncer nos prétendus biais, cette tribune ne fait que révéler les siens.

De nous en tenir scrupuleusement aux faits ? En prétendant dénoncer nos prétendus biais, cette tribune ne fait que révéler les siens.

22.10.2025 15:31 — 👍 8    🔁 2    💬 0    📌 0
Article du Point intitulé "RFI et France 24 : quand la "cohérence éditoriale" masque le parti pris sur la guerre à Gaza"

Article du Point intitulé "RFI et France 24 : quand la "cohérence éditoriale" masque le parti pris sur la guerre à Gaza"

La @SDJ_France24 et la SDJ de @RFI dénoncent la malhonnêteté intellectuelle de la chronique de Bérengère Viennot publiée sur le site du @LePoint le 21 octobre 2025. Que nous reproche son autrice ? D'être rigoureux ? De nous conformer au droit international ?

22.10.2025 15:31 — 👍 26    🔁 20    💬 1    📌 4
Le 31 juillet dernier la préfecture de police et le ministère de l’Intérieur ont publié un «  schéma national des violences urbaines _ » présenté comme un guide pratique à l’usage des policiers pour répondre « _à toutes les situations de violences urbaines, jusqu’aux émeutes insurrectionnelles  ». Une phrase cachée dans un paragraphe consacré au «  cadre juridique des violences urbaines  » nous inquiète particulièrement : Il y est précisé que «  la prise en compte du statut des journalistes telle que consacrée par le schéma national du maintien de l’ordre, ne trouve pas à s’appliquer dans un contexte de violences urbaines  ».
Alors que le travail des journalistes dans la couverture des mouvements sociaux et de manifestations sous toutes leurs formes est déjà de plus en plus difficile, y compris parfois du fait des forces de l’ordre, cette phrase grave dans le marbre la possibilité pour les policiers d’entraver le travail de la presse, en remettant en cause la protection dont doivent profiter les journalistes.
Quatre ans après avoir tenté d’empêcher les journalistes de filmer le travail des policiers via un article de la loi dite de sécurité globale, cette nouvelle menace sur la liberté d’informer est inadmissible.

Le 31 juillet dernier la préfecture de police et le ministère de l’Intérieur ont publié un «  schéma national des violences urbaines _ » présenté comme un guide pratique à l’usage des policiers pour répondre « _à toutes les situations de violences urbaines, jusqu’aux émeutes insurrectionnelles  ». Une phrase cachée dans un paragraphe consacré au «  cadre juridique des violences urbaines  » nous inquiète particulièrement : Il y est précisé que «  la prise en compte du statut des journalistes telle que consacrée par le schéma national du maintien de l’ordre, ne trouve pas à s’appliquer dans un contexte de violences urbaines  ». Alors que le travail des journalistes dans la couverture des mouvements sociaux et de manifestations sous toutes leurs formes est déjà de plus en plus difficile, y compris parfois du fait des forces de l’ordre, cette phrase grave dans le marbre la possibilité pour les policiers d’entraver le travail de la presse, en remettant en cause la protection dont doivent profiter les journalistes. Quatre ans après avoir tenté d’empêcher les journalistes de filmer le travail des policiers via un article de la loi dite de sécurité globale, cette nouvelle menace sur la liberté d’informer est inadmissible.

A quelques jours d’un mouvement social dont on ignore encore l’ampleur, nous, sociétés des journalistes, demandons à la préfecture de police et au ministère de l’Intérieur de revenir sur cette formule et de garantir expressément et sans ambiguïté la liberté de circulation et d’information des journalistes, y compris dans des contextes de violences urbaines. 

La SDJ de l’AFP, La SDJ d’Arrêt sur images, La SDJ d’Arte, La SDJ de BFMTV, La SDJ de Capital, La SDJ de Challenges, La SDJ des Echos, La SDJ du Figaro, La SDJ de France 3 Rédaction Nationale, La SDJ de France 24, La SDJ de France Télévisions Rédaction Nationale, La SDJ de franceinfo numérique, La SDJ de franceinfo TV, La société des Personnels de l’Humanité, La SDJ de Konbini, La SDR de La Vie, La SDJ de LCI, La Société des rédacteurs du Monde, La Société des journalistes et du personnel de Libération, La SDJ de Mediapart, La SDJ du Parisien - Aujourd'hui en France, La SDJ de Premières Lignes TV, La SDJ de Public Sénat, La SDJ de Radio France, La SDJ de Radio France Internationale, La SDJ de Sept à Huit, La SDJ de TF1, La SDJ de TV5MONDE, La SDJ de Télérama

A quelques jours d’un mouvement social dont on ignore encore l’ampleur, nous, sociétés des journalistes, demandons à la préfecture de police et au ministère de l’Intérieur de revenir sur cette formule et de garantir expressément et sans ambiguïté la liberté de circulation et d’information des journalistes, y compris dans des contextes de violences urbaines. La SDJ de l’AFP, La SDJ d’Arrêt sur images, La SDJ d’Arte, La SDJ de BFMTV, La SDJ de Capital, La SDJ de Challenges, La SDJ des Echos, La SDJ du Figaro, La SDJ de France 3 Rédaction Nationale, La SDJ de France 24, La SDJ de France Télévisions Rédaction Nationale, La SDJ de franceinfo numérique, La SDJ de franceinfo TV, La société des Personnels de l’Humanité, La SDJ de Konbini, La SDR de La Vie, La SDJ de LCI, La Société des rédacteurs du Monde, La Société des journalistes et du personnel de Libération, La SDJ de Mediapart, La SDJ du Parisien - Aujourd'hui en France, La SDJ de Premières Lignes TV, La SDJ de Public Sénat, La SDJ de Radio France, La SDJ de Radio France Internationale, La SDJ de Sept à Huit, La SDJ de TF1, La SDJ de TV5MONDE, La SDJ de Télérama

Le nouveau schéma national des violences urbaines menace la liberté d’informer
Nous demandons à la @prefpolice.bsky.social et au ministère de l'Intérieur de garantir expressément la liberté de circulation et d’information des journalistes, y compris dans des contextes de violences urbaines.

08.09.2025 05:58 — 👍 12    🔁 10    💬 0    📌 1
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Le journalisme n’est pas un crime : communiqué de soutien à nos confrères Yanis Mhamdi et Omar Faiad, arrêtés par les autorités israéliennes à bord du navire Madleen ⬇️

12.06.2025 15:36 — 👍 292    🔁 132    💬 4    📌 4
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Tribune : "Les collaborateurs gazaouis des médias français sont en danger de mort, il faut les évacuer" Les SDJ de France 24 et RFI appellent à l'évacuation des collaborateurs gazaouis (journalistes, fixeurs, chauffeurs..) des médias français aujourd'hui en danger de mort. Plusieurs sociétés des journalistes d'autres médias se joignent à cet appel.

Tribune : "Les collaborateurs gazaouis des médias français sont en danger de mort, il faut les évacuer"

23.05.2025 10:40 — 👍 15    🔁 11    💬 0    📌 1
Les collaborateurs gazaouis des médias français sont en danger de mort, il faut les évacuer
Ils s’appellent Rami Al Meghari, Hassan Jaber, Kamal Abu Shabab, Fady Hossam... Depuis des années ils collaborent avec des médias français, ce sont nos collègues, nos amis. Sans eux, Gaza serait un trou noir de l’information. Depuis plus de 18 mois, les journalistes palestiniens sont les yeux et les oreilles de nos rédactions. Ils vous  informent sur l’horreur en cours dans le territoire, alors que le gouvernement israélien a constamment entravé la couverture de la guerre par la presse internationale en lui interdisant l’accès à la bande de Gaza. Sans eux, nous n’aurions pas pu recueillir les témoignages des survivants, documenter les destructions des hôpitaux, suivre les déplacements incessants des habitants ni comprendre l’ampleur de la tragédie humanitaire qui se joue actuellement au Proche-Orient.

Aujourd’hui, alors que le gouvernement de Benjamin Netanyahou veut prendre le contrôle de toute la bande de Gaza, nos collègues et leurs familles sont en danger de mort. Rami Al Meghari, s’est fait tirer dessus alors qu’il rentrait de reportage en voiture. Sa fille a miraculeusement survécu à un bombardement. Fadi Hossam et sa famille ont survécu à une frappe à Khan Younès. La maison de Kamal Abu Shabab dans le nord de la bande de Gaza a été détruite par une frappe israélienne, puis rasée par des bulldozers. Hassan Jaber, victime d’un AVC, ne peut pas être soigné, dans un territoire où le système de santé a été quasiment anéanti par Israël. Face au danger, et alors que le Président de la République vient de dénoncer « le niveau de souffrance intolérable » des civils gazaouis sans que la communauté internationale ne parvienne à imposer un cessez-le-feu, nous appelons les autorités françaises à tout mettre en œuvre pour que nos collaborateurs et leurs proches soient évacués et à les mettre hors de danger.

Les collaborateurs gazaouis des médias français sont en danger de mort, il faut les évacuer Ils s’appellent Rami Al Meghari, Hassan Jaber, Kamal Abu Shabab, Fady Hossam... Depuis des années ils collaborent avec des médias français, ce sont nos collègues, nos amis. Sans eux, Gaza serait un trou noir de l’information. Depuis plus de 18 mois, les journalistes palestiniens sont les yeux et les oreilles de nos rédactions. Ils vous informent sur l’horreur en cours dans le territoire, alors que le gouvernement israélien a constamment entravé la couverture de la guerre par la presse internationale en lui interdisant l’accès à la bande de Gaza. Sans eux, nous n’aurions pas pu recueillir les témoignages des survivants, documenter les destructions des hôpitaux, suivre les déplacements incessants des habitants ni comprendre l’ampleur de la tragédie humanitaire qui se joue actuellement au Proche-Orient. Aujourd’hui, alors que le gouvernement de Benjamin Netanyahou veut prendre le contrôle de toute la bande de Gaza, nos collègues et leurs familles sont en danger de mort. Rami Al Meghari, s’est fait tirer dessus alors qu’il rentrait de reportage en voiture. Sa fille a miraculeusement survécu à un bombardement. Fadi Hossam et sa famille ont survécu à une frappe à Khan Younès. La maison de Kamal Abu Shabab dans le nord de la bande de Gaza a été détruite par une frappe israélienne, puis rasée par des bulldozers. Hassan Jaber, victime d’un AVC, ne peut pas être soigné, dans un territoire où le système de santé a été quasiment anéanti par Israël. Face au danger, et alors que le Président de la République vient de dénoncer « le niveau de souffrance intolérable » des civils gazaouis sans que la communauté internationale ne parvienne à imposer un cessez-le-feu, nous appelons les autorités françaises à tout mettre en œuvre pour que nos collaborateurs et leurs proches soient évacués et à les mettre hors de danger.

Nos collègues gazaouis, nos voix et nos oreilles depuis 18 mois, sans qui nous ne pourrions pas témoigner de l’ampleur de la tragédie humanitaire qui se joue actuellement au Proche-Orient sont en danger de mort. Les autorités françaises doivent permettre leur évacuation. Tribune.

23.05.2025 10:32 — 👍 10    🔁 11    💬 0    📌 3
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Donald Trump démantèle le département de l'Éducation: «On fait sauter un garde-fou» Le président américain a signé, jeudi 20 mars 2025, un décret prévoyant à terme la fermeture du département fédéral de l'Éducation. S'il joue un rôle limité dans le système éducatif aux États-Unis, sa...

rfi.my/BVtP

21.03.2025 12:55 — 👍 0    🔁 0    💬 0    📌 0
La Société des Journalistes de RFI toujours inquiète de la situation de l’un de nos correspondants au Tchad, Olivier Monodji. 

Directeur de publication de l’hebdomadaire Le Pays, Olivier Monodji a été inculpé lundi 10 mars pour « intelligence avec une puissance étrangère », « atteinte à la sûreté de l’Etat » ou encore « complot » puis incarcéré pour ses écrits dans ce média. 

Des accusations extrêmement graves alors que les avocats d'Olivier dénoncent un dossier « vide », sans grand rapport avec les faits effectivement reprochés à Olivier Monodji. D’après les organisations de défense de la presse tchadienne, ceux-ci relèvent davantage du délit de presse que de l’atteinte à la sûreté nationale et ne sauraient justifier son emprisonnement.

La SDJ renouvelle son soutien à Olivier Monodji et rappelle aux autorités tchadiennes la nécessité du respect de la procédure pénale, des droits de la défense et des journalistes.

La Société des Journalistes de RFI toujours inquiète de la situation de l’un de nos correspondants au Tchad, Olivier Monodji. Directeur de publication de l’hebdomadaire Le Pays, Olivier Monodji a été inculpé lundi 10 mars pour « intelligence avec une puissance étrangère », « atteinte à la sûreté de l’Etat » ou encore « complot » puis incarcéré pour ses écrits dans ce média. Des accusations extrêmement graves alors que les avocats d'Olivier dénoncent un dossier « vide », sans grand rapport avec les faits effectivement reprochés à Olivier Monodji. D’après les organisations de défense de la presse tchadienne, ceux-ci relèvent davantage du délit de presse que de l’atteinte à la sûreté nationale et ne sauraient justifier son emprisonnement. La SDJ renouvelle son soutien à Olivier Monodji et rappelle aux autorités tchadiennes la nécessité du respect de la procédure pénale, des droits de la défense et des journalistes.

La Société des Journalistes de RFI toujours inquiète de la situation de l’un de nos correspondants au Tchad, Olivier Monodji lui renouvelle son soutien.

12.03.2025 18:29 — 👍 35    🔁 17    💬 0    📌 0
La Société des Journalistes de RFI s'inquiète de la situation d'Olivier Monodji, l'un de nos correspondants à N’Djamena (Tchad). 
Arrêté mercredi au sein de la rédaction du Pays, journal dont il est directeur de publication, Olivier est détenu depuis dans un bureau de la Coordination de la police judiciaire de N’Djamena. 
S'il a pu recevoir de la visite et est en bonne santé selon ses proches et ses avocats, Olivier Monodji n'a toujours pas été notifié des motifs de son arrestation et ses auditions avec le procureur sont sans cesse repoussées. 
La SDJ de RFI appelle les autorités tchadiennes à respecter les droits fondamentaux d'Olivier et lui apporte tout son soutien alors qu'il s'apprête à passer une troisième nuit en prison.

La Société des Journalistes de RFI s'inquiète de la situation d'Olivier Monodji, l'un de nos correspondants à N’Djamena (Tchad). Arrêté mercredi au sein de la rédaction du Pays, journal dont il est directeur de publication, Olivier est détenu depuis dans un bureau de la Coordination de la police judiciaire de N’Djamena. S'il a pu recevoir de la visite et est en bonne santé selon ses proches et ses avocats, Olivier Monodji n'a toujours pas été notifié des motifs de son arrestation et ses auditions avec le procureur sont sans cesse repoussées. La SDJ de RFI appelle les autorités tchadiennes à respecter les droits fondamentaux d'Olivier et lui apporte tout son soutien alors qu'il s'apprête à passer une troisième nuit en prison.

Communiqué de la Société des Journalistes de RFI relatif à l'arrestation d'un de nos correspondants au Tchad.

07.03.2025 20:38 — 👍 5    🔁 7    💬 0    📌 0

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