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C'est un livre essentiel à qui veut comprendre cet épisode tragique de notre histoire (et de notre Église). Et qui a l'immense mérite de faire entendre, à chaque page, la voix des victimes, des connues et des anonymes. 6/6

Enfin, ce livre m'a interrogé sur le rapport de l’Église aux victimes, part. dans cet échange entre Maritain et le card. Tisserant, ce dernier considérant qu'il faut cacher des collaborateurs de la même manière que les Juifs. 5/6

La part la plus fascinante (et la plus douloureuse) du livre reste la prégnance des préjugés antijuifs dans la hiérarchie, y compris après la guerre lorsque le "silence diplomatique" n'est plus de mise. "Il n'est pas dans les habitudes des Juifs de souffrir longtemps"... 4/6

Le travail d'historien se repère dans l'attention portée aux sources directes et aux archives. Ainsi, des ratures sur un discours de Pie XII montrent la légère inflexion qu'il a voulu lui donner pour une déploration moins explicite des persécutions nazies. 3/6

Le livre n'est ni à charge ni à décharge, il cherche à comprendre les ressorts multiples des actions et des silences du Saint-Siège. Un des apports majeurs du livre est de montrer qu'"aide et préjugés" ne sont nullement contradictoires. 2/6

"Les âmes tièdes" a été un véritable choc de lecture.
Pour l'ancien étudiant que j'étais, par la qualité du travail historique de Nina Valbousquet.
Pour le catholique que je suis, par l’ambiguïté de la position du Vatican face à la Shoah. 1/6

Prothèse électronique ????

Ou alors il faut trouver un prêtre arménien veuf voulant se remarier ☝️

C'est magnifique 😍

Oh bah moi j'ai eu mieux ! (mais c'était dans le schisme)

Mais c'est pas un garçon sur le cheval ???

En cours de quoi ?

J'arrive !

C'est quoi une sur-manche boutonnée ? Je ne vois pas la différence entre les images 😭

C'est encore plus beau en anglais ! "One step enough for me"

Le futur docteur de l’Eglise a écrit ce magnifique poème qui m’accompagne dans ma vie spirituelle depuis quelques années. « Conduis-moi, douce lumière »

Je pense que les choses peuvent être beaucoup plus mêlées.

Oui, la glorification du nombre mais pas le souhait / désir qu'il y ait un grand nombre

C'est pour ça que les Actes des apôtres prennent plaisir à indiquer le nombre de convertis à chaque étape de la prédication apostolique

D'accord mais ça n'en fait pas une phrase "néo-fasciste" pour autant

On n'est pas forcément lié en tout point avec un "modèle de civilisation" comme, par exemple, ceux qui se réclament encore du communisme.

C'est donc choquant que de vouloir que le plus de bébés possibles soient baptisés ?

Stérin a financé des projets contre les Juifs ?

D'ailleurs si la première citation sur les "bébés de souche" est problématique, la seconde sur "évangéliser tout le monde" ne l'est pas du tout d'un point de vue catholique. (Reste la question des méthodes employées évidemment)

Pourquoi rue de Mézières ? Parce que tout bon chrétien y bénéficie de tarifs spéciaux; en effet, il est écrit "Tu as des prix à Mézières"

Bon les djeunes, quelle parole vous avez envie / besoin d'entendre de la part de vos parents quand vous avez une blessure amoureuse ? Ou quel acte, quelle posture ?🤔

je vois ces parents qui soutiennent leurs enfants malgré tout, je vois ces catholiques qui restent dans l’Église malgré les abus, je vois ces chrétiens qui bénissent au lieu de maudire, je vois ces malades qui vivent unis à Jésus crucifié. Voilà mes signes et mes charismes ! 7/7

Enfin, je me retrouve tout à fait dans la critique que le P. Grenet fait des tenants de la "foi pure". J'aimerais seulement lui répondre que des signes de l’œuvre de Dieu j'en vois chaque jour : je vois ces couples qui restent fidèles malgré tout, 6/7

Malaise de le disproportion entre certains "miracles" (retrouver des lunettes au fond d'un sac) et toutes ces prières qui semblent impuissantes à toucher Dieu.
Malaise surtout parce que dans ce livre je n'ai pas trouvé une seule mention de la Croix du Christ. 5/7