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Le CNAEF conserve 6 km d’archives sur l’histoire de l’Église de France aux XXe et XXIe : services et instances de la Conférence des évêques de France (CEF), associations et mouvements cathos.
5 Fi 450. Groupe de pèlerins portant des maquettes de cathédrales lors du pèlerinage des paroisses de France à Rome à la Pentecôte (1950).
#jeudiphoto 📸 | Lors du pèlerinage des paroisses de France à Rome, pendant l' #AnneeSainte 1950, les Français participèrent à une procession sur la place Saint-Pierre, portant les maquettes de cathédrales ou de leurs emblèmes paroissiaux.
30.10.2025 13:54 — 👍 0 🔁 0 💬 0 📌 0
4 Fi 977. Prêtres au séminaire des barbelés à Chartres, dont l'abbé Franz Stock et le père Johaness Brass, o.m.i. (1946).
#JeudiPhoto 📸 | Créé en avril 1945, le #séminairedesbarbelés, dirigé par l'abbé Franz Stock, rassemble des étudiants en théologie allemands en captivité en France. Il les prépare à être "dès demain des saints dont le monde a besoin".
950 séminaristes entre 1945 et 1947 !
Ses nouveaux statuts confirment son rattachement à l’ACA : aucune décision doctrinale ne peut être prise sans son aval, et elle nomme désormais le président. Aussi, elle choisit logiquement Jean Le Cour Grandmaison, vice-président depuis 1936.
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Certains membres de la hiérarchie envisagent sa suppression, quand d’autres optent pour une réorientation. Le second camp l’emporte pour faire de la FNC un mouvement d’Action catholique générale, et la renomme en mars 1945 la Fédération nationale d’Action catholique (FNAC).
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La mort du général le 19 mars 1944 permet à l’ACA de prendre la main. Se pose alors la question de son avenir. Que faire d’un mouvement en déclin qui a marqué son époque mais qui ne correspond plus aux réalités actuelles ?
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Castelnau n’envisage pas les choses de cette façon. S’il reste fidèle à la hiérarchie sur les questions théologiques, il affirme que les questions civiques doivent rester entre les mains des laïcs.
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De plus, dans le contexte de développement des mouvements d’Action catholique, le Saint-Siège demande qu’ils soient organisés sous sa direction. L’ACA cherche alors à faire de la FNC la tête de pont de l’Action catholique.
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La reconnaissance de la FNC par l’Assemblée des cardinaux et archevêques (ACA) et le Saint-Siège lui permettent de fonder sa légitimité. La hiérarchie entend toutefois encadrer le mouvement en y nommant le Père Marie-Albert Janvier, dominicain, pour être son représentant.
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C’est par les urnes qu’elle cherche à faire entendre sa voix, une position paradoxale puisqu’elle revendique clairement son apolitisme. Malgré une victoire aux élections de 1928, la réussite ne sera plus au rendez-vous lors des législatives suivantes bien que les combats continuent.
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Les grandes manifestations spontanées de 1924 sont reprises jusqu’en 1926, galvanisées par le général. Toutefois, il n’encourage jamais les actions violentes, aussi la FNC ne participe pas aux événements du 6 février 1934.
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Dès 1924, sont créées les unions paroissiales, cantonales et diocésaines, ce maillage territorial constitue la base de la FNC. Cette grande armée catholique, ainsi que la voit Castelnau, largement composée d’anciens combattants, permet au mouvement de réaliser ses ambitions.
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Mais au-delà, la FNC entend défendre le catholicisme en général. Les luttes contre la franc-maçonnerie, pour la moralité publique ou pour l’école libre, font donc partie des combats qu’elle mène.
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Il fonde ainsi la FNC et permet l’union des catholiques français. L’objectif est triple : défendre, conquérir la société et restaurer le catholicisme. L’arrivée du Cartel déclenche de grandes manifestations en France qui font reculer le gouvernement d’Édouard Herriot.
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Encouragé par la hiérarchie ecclésiale, le général Édouard de Castelnau, lance le 26 octobre 1924 un appel d’union à l’ensemble des catholiques du pays contre l’élection du Cartel des gauches qui entend relancer la politique anticléricale d’avant-guerre.
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En juin 1924, la formation d’un gouvernement du cartel des gauches, après le renversement de l’éphémère gouvernement François-Marsal, mène à la création d’une formation catholique et politique majeure de l’entre-deux guerres : la Fédération nationale catholique.
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L'intégralité du texte de la déclaration de repentance est disponible sur la site de la Conférence des évêques de France ⤵️
eglise.catholique.fr/conference-d...
Dans un entretien du 1er octobre 1997 auprès du Nouvel Obs, Mgr Olivier de Berranger, évêque de Saint-Denis, et le père Jean Dujardin, secrétaire du Comité épiscopal pour les relations avec le judaïsme, s'expliquent sur le sens de cette repentance ⤵️
30.09.2025 13:43 — 👍 0 🔁 0 💬 1 📌 0
#CeJourLà | En 1997 à Drancy, les seize évêques des départements où se trouvaient des camps d'internement juifs sous le régime de Vichy, faisaient repentance.
Évoquant la #Shoah, ils reconnaissaient, officiellement et publiquement, les silences de la hiérarchie et son repli.
#JEP2025 | Vous avez été près de 135 personnes à visiter le Centre national des archives de l'Église de France (CNAEF) samedi 20 septembre, et à profiter d'une exposition sur les #jubiles pour les #JourneesduPatrimoine.
Merci de votre visite et à l'année prochaine !
#JourneesDuPatrimoine2025
Le CNAEF ouvre ses portes le samedi 20 septembre de 10h à 18h.
Une exposition sur l'histoire des jubilés accueillera les visiteurs. Des visites guidées des magasins d'archives seront également proposées par les archivistes.
🎙️#Podcast
A l'occasion du centenaire de la #JeunesseOuvriereChretienne, l'historien Stéphane Gigacz revient sur les débuts du fondateur du mouvement, Mgr Joseph Cardijn, pour l'émission "L'écho des archives" de RCF Liège.
Un podcast à découvrir ⤵️
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🔴 #offredemploi CDI
Le diocèse de Grenoble-Vienne recherche un(e) archiviste en CDI à mi-temps.
Plus d'infos sur aaef-asso.fr/offre/79
#Archives
#Recrutement
Il y a 80 ans, les États-Unis larguaient la première bombe atomique sur #Hiroshima, tuant près de 140 000 personnes.
Revenant sur les commémorations de l'événement, le père Sondag, secrétaire de la Commission #JusticeetPaix, s'interroge : célébrons-nous tous la même chose ?
Les Archives du Doubs proposent une présentation des documents sur leur site internet. Ceux-ci ont été retrouvés par hasard lors de la préparation des registres paroissiaux pour leur numérisation. Ils ont été transférés au diocèse de Besançon.
archives.doubs.fr/page/un-mira...
Les Archives du Doubs ont retrouvé dans un registre paroissial 2 documents témoignant d'une guérison miraculeuse attribuée à sainte Philomène : une jeune fille, victime en 1835 d'une grave entorse aux 2 pieds, rétablie en 2 semaines.
Un récit à lire ⤵️
france3-regions.franceinfo.fr/bourgogne-fr...
Pour les 50 ans de la Ligue féminine d'action catholique française (LFACF) à #Lourdes en 1952, le déroulement de la veillée et du #chemindecroix a été préparé… sur un cahier de comptabilité.
La pénurie de papier, qui perdure jusqu'au début des années 1950, incitait au réemploi.
Voulant retracer le parcours de son père mobilisé en 1939, un particulier retrouve dans les archives diocésaines la trace de 300 prisonniers de guerre français, enfermés dans l'église Saint-Vincent de Bois en juin 1940.
Un récit à découvrir ⤵️
www.lanouvellerepublique.fr/blois/a-bloi...
Jean Bourdarias, dans le Figaro, avançait pour sa part : "La prière de demande n’a de sens que si celui qui sollicite est en pain avec celui auquel il s’adresse".
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Toutefois, pour le journaliste, il faut savoir donner sa place à un christianisme de masse. Prier pour la pluie, c’est se tourner vers la tendresse du Dieu de l’Evangile, lui avouer son anxiété, lui exprimer sa confiance.
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