Vincent Vantighem

#Fillon : La Cour européenne des droits de l'homme a jugé que la requête portée par l'ancien Premier ministre dans le cadre du #PenelopeGate était "irrecevable".

Pour la CEDH, François Fillon "la procédure a manifestement revêtu un caractère équitable".

Source : CEDH @BFMTV

#Depardieu : Tristan Waleckx en a fini avec sa déposition. Je vais devoir, de mon côté, clôturer ce LT.

Je vous donnerai la date du délibéré dès qu’elle sera connue.

#Depardieu : Il attaque Jérémie Assous frontalement.

« Lui, il passe son temps à raconter n’importe quoi depuis deux ans. Nous on fait du journalisme. On vérifie absolument tout. Je suis désolé. On n’a pas la même méthode. On n’a pas la même déontologie. »

#Depardieu : Tristan Waleckx déroule. Personne ne l'interrompt. La présidente l'écoute attentivement. Il se défend sans notes avec beaucoup de force, même s'il est un peu brouillon.

#Depardieu : Tristan Waleckx déroule. Personne ne l'interrompt. La présidente l'écoute attentivement. Il se défend sans notes avec beaucoup de force, même s'il est un peu brouillon.

#Depardieu : Résumé de tout ça, selon Tristan Waleckx :

« C’est du grand délire. C’est n’importe quoi. C’est de la manip ! »

#Depardieu : Très calme, et toujours avec le sourire dans la voix, Tristan Waleckx ne se laisse pas faire par Jérémie Assous.

"Pendant votre plaidoirie, on n'a pas pu intervenir. Mais là, les mensonges, c'est pas possible."

#Depardieu : « Nous avons fait un travail journalistique et factuel. Gérard Depardieu sexualise une petite fille à deux reprises. C’est un fait. »

#Depardieu : Le journaliste prend l'exemple de l'émission diffusée ce soir sur le thème de l'antisémitisme.

"Il y a 300 heures de rush. Pour un documentaire de 52 minutes. Et il y a 580 points de montage."

#Depardieu : Tristan Waleckx admet qu'il part un peu dans tous les sens. Mais il est bon et calme à la barre.

Il dénonce le fait que Jérémie Assous détourne tout.
"Il dit : 'Regardez il y a du noir ! On a truqué !'. Mais il y a toujours du noir quand on filme. Pour ça, il y a le montage..."

#Depardieu : Point 4 : Qui a tué Gérard Depardieu ?

« On dit qu’on a tué Gérard Depardieu. Mais il s’est tué lui-même. En montrant ce que toutes les femmes qui l’accusent dénonçaient. Je comprends que ce soit gênant. Mais ce sont les faits. »

#Depardieu : Point 3 : Moralisateur et à charge ?

« Jérémie Assous dit que notre reportage est moralisateur et à charge. Non. On a compté. Il y a 12 minutes de témoignages contre Depardieu. 20 minutes en sa faveur. La scène du haras, c’est quelques minutes. »

#Depardieu : Point 2 : les enfants

« Il faut savoir qu’il y a d’autres passages où il s’en prend à des enfants. Notamment un où il dit d’une collégienne ‘’J’aimerais bien lui manger la poitrine’’ »

#Depardieu : Point 1 : le voyage en Corée

"On a demandé à Hikari de compter combien de femmes Gérard Depardieu avait sexualisées. C'est une sur deux. Une femme sur deux qu'il croise fait l'objet de remarques sexuelles..."

#Depardieu : Le journaliste commence à se défendre à la barre et corrige les contrevérités de Jérémie Assous.

#Depardieu : L'avocate Juliette Félix demande si Jérémie Assous peut arrêter d'écorcher le nom de Tristan Waleckx.
"Cela fait deux ans que vous l'écorchait..."

Tristan Waleckx en profite pour une première pique : "Oh tant qu'il arrête d'écorcher la vérité..."

#Depardieu : Le temps de réparer l'ordinateur de l'huissier, la présidente fait venir Tristan Waleckx à la barre. Il présente "Complément d'enquête" et représente France TV aujourd'hui, à l'audience.

#Depardieu : On évoque l'hypothèse de faire venir un informaticien. Sinon, la présidente a indiqué qu'elle pourrait regarder au moment du délibéré. Quelle affaire...

#Depardieu : Alors qu'on essaye de placer le micro devant la sortie audio de l'ordi de l'huissier pour diffuser du son. Sans surprise : cela n'est pas satisfaisant.

#Depardieu : "Je connais pas cœur. Je peux doubler si vous voulez...", lance Jérémie Assous.

#Depardieu : Alors que l'image se lance mais pas le son. "Sans le son, c'est ennuyeux", dit la présidente. De fait, ça ne sert à rien...

#Depardieu : Ca reprend. On visionne des extraits de la scène litigieuse.

Pas si "random" avec la justice. Plutôt un problème permanent

#Depardieu :
"Veuillez vous lever !" lance, haut et fort, un policier à l'arrivée de la présidente. Tout le monde s'exécute. Mais la magistrate prend son ordinateur et ... ressort du prétoire.
"Excusez-moi", rigole le policier sur le même ton.

#Depardieu : On doit reprendre dans un instant. Et sans doute avec une projection. L'écran a été descendu. Moment magique.

#Depardieu : Nouvelle suspension.

#Depardieu : Alors, le témoin en question, c'est l'expert qui a rendu une "note de synthèse" le 1er septembre. Jérémie Assous a basé une bonne partie de sa plaidoirie là-dessus. Problème, il a dit qu'il ne pouvait pas témoigner car son travail n'est pas terminé...

#Depardieu : Moment assez lunaire. La présidente indique que Jérémie Assous a fait citer un témoin. Mais la défense n'était même pas au courant. Nouvel échange tendu.

#Depardieu : L'avocat détaille le préjudice subi par ses clients.
- Gérard Depardieu n'a tourné qu'avec Fanny Ardent aux Açores.
- Yann Moix devait toucher 900.000 euros pour Podium 2. Annulé.

#Depardieu : Je pensais que c'était terminé. Mais en fait non... Jérémie Assous poursuit sur les journalistes qui, d'après lui, n'ont pas bien fait leur travail.