Yahia Hakoum

officiellement Hama est libre

Today, Hama will no longer be just a city, but a symbol. A call for freedom. A warning to tyrants. And a pledge for all who refuse to kneel before injustice. The name of Hama will be shouted, screamed, engraved, until the stars themselves quake at its mention.

We remember their names, and through our actions, we will engrave them in memory—not to mourn, but to crush their oppressors under the weight of justice.

Today, we will carve the name of Hama into history, not as a forgotten tragedy, but as a cry that will make the heavens tremble. Today, we remember every child, every woman, every man massacred by the Assad family in 1982.

Until 2011, uttering the name of Hama was always followed by awkward silence, a change of subject, as if its memory was a burden too heavy to bear. But today, that is no longer the case. Today, Hama is no longer a memory of pain but a vengeance of blood against the sword.

Hama est libre
par contre Homs c'est pour demain

Al-Lataminah à 27 km de Hama est libérée

La bataille pour la libération de Hama a commencé.
je dis ça je dis rien

Ma mère me demande si, enfin, elle pourrait quitter sa tente dans les montagnes d'Ersal et rentrer en Syrie.

les pauvres ne savent plus quoi dire

Khan Cheikhoun, théâtre des attaques chimiques en 2017, est libérée.

vous souvenez Kafranbel et ses belles manifestations ?
Kafranbel est libre

ce qu'ils sont alliés du régime Assad

ils ne sont pas de rebelles ces sont les milices de PKK et la prochaine batailles c'est avec eux

La vraie bataille à Alep opposera les rebelles au PKK.

Tous ces éléments combinés favorisent une avancée rapide des forces rebelles et permettent la libération de villes et villages à un rythme soutenu.

Enfin, les rebelles se battent avec détermination pour libérer leurs maisons.

Quatrièmement, l’affaiblissement de l’appui russe joue un rôle déterminant. La Russie ne dispose plus de la même capacité d’intervention qu’en 2016 en raison de ses engagements militaires en Ukraine et de ses ressources limitées.

Troisièmement, la dépendance du régime envers les milices terroristes chiites étrangères est un autre facteur crucial : le Hezbollah libanais, principal soutien du régime, a été affaibli par les frappes israéliennes.

Deuxièmement, le front, trop étendu, constitue une faiblesse majeure, car le régime est incapable de couvrir efficacement un tel espace. Cette dispersion des forces réduit sa capacité à contenir les avancées rapides des rebelles.

Les forces du régime Assad peinent à résister au nord de la Syrie pour plusieurs raisons. Tout d'abord, le manque de couverture aérienne limite considérablement sa capacité à défendre ses positions face aux offensives rebelles.

ces sont les quartiers ouest d'Alep, où les rebelles n'étaient jamais entrés auparavant

Quelqu'un connaît l'adresse de JLM ? Il faut que je lui envoie des mouchoirs, car il risque de pleurer le régime Assad et le "bon boulot" de Poutine en Syrie ce soir.

Le régime, avec le soutien de la Russie et de ses alliés terroristes, a mis un an et trois mois de combats pour reprendre les quartiers d'Alep-Est. Ils viennent de perdre les quartiers d'Alep-Ouest en seulement trois heures.
#FreeSyria

officiellement: La ville de Saraqeb est sous le contrôle des rebelles.

Les rebelles prennent d'assaut la branche des renseignements de l'armée de l'air à Alep, une branche responsable de la torture et du meurtre de milliers de Syriens.
#Syria

L'entrée des rebelles à Alep pourrait impliquer une nouvelle dynamique d’intervention des acteurs impliqués, en particulier la Russie et l’Iran. Cependant, beaucoup dépendra du rôle que la Turquie, acteur international clé dans le nord-ouest de la Syrie, choisira de jouer dans ce contexte.

Ces initiatives n'ont fait que gagner du temps pour Assad et ses alliés, leur permettant de réaliser leur agenda, notamment celui de créer une "Syrie homogène", selon les termes mêmes d'Assad.

La reprise des batailles souligne l’échec de la communauté internationale à trouver une solution politique durable, notamment à travers les processus de Genève et les missions des envoyés internationaux.

Cela démontre également que la guerre en Syrie n’a jamais cessé, bien qu’elle ait perdu en visibilité médiatique au cours des quatre dernières années. Cette situation symbolise le désintérêt croissant de la communauté internationale, malgré la souffrance continue des Syriens.