Permanence de Floues

épingle à nuit
ravage des saisons
il fait froid à tes pieds de raison
la nuit est encore longue
la nuit sans bruits
sur un axe, portée

t'as vu l'extase t'as rien vu
au delà c'est le rêve qui pisse son sang
la misère réclamée
le divers éclaté sur ton trottoir

fallait vivre libre avant de prendre ta chaîne me dit la chienne

( Floues )

rien ne retient la vague
rien ne retient l'humain

la dissolution dans le trou

ce ne serait
ni sexuel
ni infini
ni rien

dis-moi où tu as mal...

divinement glisser dans un poème
quelque peau de soie
un toucher qui élève

La photo ici on noie les algeriens

17 octobre 1961.

La police française réprime violemment à Paris des manifestants algériens pacifiques et en tue entre 150 et 200. On retrouvera leurs corps dans la Seine.

64 ans plus tard, ce massacre colonial. longtemps nié, reste toujours invisible dans la mémoire collective.

la ligne de mire
la ligne de toi
la ligne éprise
dans le moi

Couverture d'une édition japonaise du roman de Georges Bataille Le bleu du ciel.

Les murs doivent secher oui.
C'est pas sain sinon.

degat des eaux saperlipopette, c'est sacrément relou voir chiant 🙃

Die, j'y allais petite à la colonie de vacances, on ramenait du pinard bulleux aux parents (pardon chère clairette de Die).

@philblom.bsky.social coucou toi 🤍

1/
Le free jazz, ce n’est que du bruit, du chaos. Mais n’y a-t-il pas du chaos dans toute forme d’art ?

Free ? Free de quoi ?

Du formalisme, de cloisons, c’est aller vers sa propre expression, sa propre liberté.

l'épaisseur de la langue en fleur de coton, le goût d'un thé mystérieux, une carnation végétale

c'est toi, dans ta nudité, sur ma bouche, posée

« La seule chose qui nous reste à faire est de nous comporter en êtres humains. » Dr. Adelaide Hautval (1906-1988) Esplanade, Le Vinatier.

« La seule chose qui nous reste à faire est de nous comporter en êtres humains. »
Dr. Adelaide Hautval (1906-1988)
Esplanade, Le Vinatier.
Psychiatre auprès des prisonnières des camps d'Aushwich et Ravensbrück, Juste parmi les nations.

😄

Tu auras ton exemplaire avant. Et comme j'ai ton adresse, je te réserve une surprise le 28 dans ta boîte aux lettres 😃

Si tout va bien je devrais être prête pour publier début novembre. Ce sera beau de toute manière +avec @philblom.bsky.social et tous les autres.

ca s'engouffre mais ce n'est pas le vent, un pli dans le réel, une marque folle

Point #RevueLIMPIDE

J'ai pris une graphiste pour faire le document et la charte graphique du site. Il me manque 1000 euros à financer si jamais vous ne savez pas quoi faire de votre argent 😅

Bin sinon, je cherche un job le plus rapidement possible pour rembourser mes dettes.

je parie rien, je suis certaine de mon coup, vous etes tous merveilleux =]

bin c'est pour mieux identifier le poème, désolée, je fais de mon mieux

le dément qui promene sa laisse avec la mort au bout 🤍

❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️

tout ca et c'est pas assez. du love

Je me doute que tu as de la réserve en folie ;)
Ecoute, je vais faire avec cette corne d'abondance que tu m'offres déjà avec ce que tu m'as envoyé.

merci mon chou, je t'ai fait ça aux petits oignons, je vais être ruinée mais heureuse de publier

fleur de soi : froissée au réveil

Lithographie de Gustave Doré représentant la mort de Gérard de Nerval

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"La Rue de la Vieille Lanterne" de Gustave Doré, 1855

(La mort de Gérard de Nerval)
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"Vous pourriez vous appeler Bloc de Granit et être inspectrice des aiguilles de pin dans la forêt de Brocéliande, ce serait pareil, vous n'êtes personne."

Laura Vazquez, "Les Forces".

La gangrène apparaît bien implanter sa culture décontextée, décompléxée sur des sites lambdas en page 1.