Tiens j'en parlais avec qqun qui a la 60aine qui me disait que lorsqu'elle était jeune, le simple fait de dire qu'on allait travailler dans le cinéma c'était synonyme de coucherie, genre normal
29.11.2024 07:00 — 👍 2 🔁 0 💬 0 📌 0@hadeath.bsky.social
🇵🇸 L'humanité n'est qu'à l'aube de sa maturité Informez-vous strictement sous diamat 🌞
Tiens j'en parlais avec qqun qui a la 60aine qui me disait que lorsqu'elle était jeune, le simple fait de dire qu'on allait travailler dans le cinéma c'était synonyme de coucherie, genre normal
29.11.2024 07:00 — 👍 2 🔁 0 💬 0 📌 0Est-ce que ça va oser faire le lien avec les trafics monstrueux de C ?
25.11.2024 11:48 — 👍 0 🔁 0 💬 0 📌 0💥Affaire #Kohler : la Cour d'appel de Paris doit se prononcer le 26/11 sur une prescription que réclame le bras droit de Macron
Rappel : Alexis Kohler est resté très lié à MSC (la compagnie maritime de ses cousins) au fil de son ascension au pouvoir⤵️ :
www.off-investigation.fr/plombe-par-s...
L'amour du beau jeu se fait bien rare de manière générale
Seule la victoire compte
Même parfois (souvent?) le plaisir ne s'octroie que par la victoire...
La presse mondiale, une fois n'est pas coutume hélas, évoque la situation dramatique au Soudan, avec des images inédites des conséquences de la guerre, publiées par Médecins sans frontières. On a déjà vu hélas les photographies des populations déplacées, des hommes et des femmes souffrant de la faim, ou encore des civils blessés par les combats qui ravagent le Soudan depuis avril 2023, dans la guerre qui oppose l'armée régulière du général Abdel Fattah al-Burhane et les paramilitaires des Forces de soutien rapide de son ex-bras droit, le général Mohamed Hamdane Daglo. Mais on avait pas encore vu les dernières images publiées hier par MSF : des radiographies d'enfants prises à l'hôpital universitaire Bashair, dans le sud de Khartoum la capitale. Celle qui illustre l'article de Radio Dabanga au Soudan, et du Guardian au Royaume-Uni, c'est celle de Riyad, un bébé de 18 mois amené aux urgences après avoir été touché par balle pendant qu'il dormait dans sa chambre, chez lui. Une balle perdue que l'on voit très clairement logée, au niveau de son poumon droit. Un projectile aussi grand qu'un organe dans ce tout petit corps. On ne sait pas si Riyad est en vie, seulement que les équipes médicales ont pu le stabiliser, mais les ressources limitées de l'hôpital rendent son avenir plus qu'incertain. L'établissement manque cruellement de fournitures chirurgicales et le transfert des patients est également quasi impossible en raison des combats et des routes détruites. Riyad n'est qu'un exemple parmi les milliers de blessés et victimes traitées. Quand ce ne sont pas des balles, ce sont des brûlures ou encore des blessures traumatiques, des éclats d'obus lacérant les membres. Depuis janvier, rapporte Médecin sans frontières, à l'hôpital Bashair, l'un des derniers en activité dans le sud de Khartoum, 16% des plus de 4 000 patients soignés pour des traumatismes causés par la guerre, des blessures par balles ou par explosions de bombes et d'obus, sont des enfants de moins de 15 ans.
Une guerre meurtrière qui passe sous les radars médiatiques. Médecins sans frontières publie des clichés pour alerter l’opinion publique.
➡️ l.franceculture.fr/LhZ
1ère tentative de thread sur BlueSky :)
Le sport est vendu par les dominants comme étant pur, apolitique et neutre.
Dans ce thread, je vous emmène dans une analyse politique de la tactique de dépolitisation du sport par les dominants et les boutiquiers. Un fil. ⏬
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youtu.be/YpUqlzWcydI?...