Anaïs Lecoq

I need an update on this as quickly as possible!

Mon premier article pour @mediapart.fr s'intéresse aux conditions de travail dans les brasseries dites artisanales ⬇️

Qui aurait pu prédire : la gentrification des conserves de poisson.

Precarious, poorly paid, risky: freelance journalism in Europe Journalism is undergoing a structural crisis that impacts the lives of workers in the sector. In this context, how are freelance reporters doing in France, Italy and Spain? Spoiler: poorly (with the e...

Être journaliste pigiste en France, en Espagne ou en Italie : voxeurop.eu/en/freelance...

Illustration reprenant le principe des Polly Pocket mais avec mes deux personnages Rob et Ricky. L’intérieur de la boîte est remplie d’éléments correspondants à leur univers : un onsen, un skatepark, des peluches, un petit chien, un jardin de champignons… Les tons sont pastels (violets/pastels/roses..) et sur un fond jaune clair.

Ricky & Rob Pocket 🦋
J’ai adoré réfléchir à chaque détail de cette illustration !

I just need to find the person interested enough to publish it 😅

Oh I need to go read this piece on village tabac in France (though we call them PMU, it's a whole thing here and I've been wanting to write about it for so long)

C'est un article plus culturel, pour un média anglophone qui était curieux de comprendre d'où ça vient et d'où vient le succès (y'a une hype en UK aussi). Splann a fait de très bonnes enquêtes sur la partie environnement, je n'ai rien vu (encore) sur le volet conditions de travail..

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Insultes sexistes et menaces

Voici un mince extrait de ce que j’ai pu lire à mon propos ces dernières 24H. C’est comme ça depuis que je suis journaliste, et en particulier depuis que j’ai commencé à documenter le sujet des masculinistes et de l’extrême droite. J’en ai déjà parlé plein de fois ici. Parfois ça m’ulcère, et ça me prend de vouloir en balancer des extraits sur un post insta un beau matin. D’autres fois je me dis que je veux pas avoir l’air de me « victimiser », que les gens savent, que ça sert à rien, que ça leur donne de l’importance, que je l’ai déjà dénoncé mille fois. Alors je me tais pendant quelques mois. Puis ça me ressaisit, l’envie de hurler publiquement, de moins en moins poliment : « mais regardez ce qu’on doit se taper sérieux ! » Généralement s’ensuit une vague d’indignation soutenante, qui quoi qu’on en dise, fait toujours du bien au moral. Puis ça recommence. Et faut continuer à « vivre avec » parce que ça semble pas prêt de s’arrêter. J’en suis arrivée au point où je ne suis plus touchée par ces messages. Mais je suis révoltée par cette impunité totale. Indignée qu’être journaliste ça implique encore de lire ça. Malade de penser que d’autres femmes, moins privilégiées, moins soutenues, seront peut-être démolies par ce harcèlement normalisé et impuni. Je sais pas ce que font les autorités, c’est pas mon job de créer des mesures de répression ou d’encadrement, des lois ou des mesures efficaces. Tout ce que je sais, c’est qu’on est en 2025, que ça s’intensifie, et que tout le monde semble se foutre complètement du fait que l’on violente sur les réseaux en toute impunité.

C’est juste devenu une « donnée » à prendre en compte. Si on veut parler publiquement, parfois juste faire notre travail : on sait que ça implique ça. Et c’est à nos risques et périls. Comme nous avons toutes appris à nous habiller différemment pour ne pas nous faire agresser dans la rue, à éviter certaines avenues, certains horaires, on apprend à vivre sur ces espaces en ligne en mettant en place des mesures de sécurité pour nous même, on apprend à résister psychologiquement, à s’absenter pour se recharger, à s’entraider, mais les agresseurs eux, ils continuent, plus vigoureux, impunis et confiants que jamais. Parce que ce n’est pas à eux qu’on dit ne pas agresser, c’est à nous qu’on dit de ne pas nous exposer. C’est pas de me faire harceler qui me heurte (parce qu’à ce stade vraiment j’ai appris à le gérer et ça va très bien), c’est que ce soit devenu un phénomène de société si massif et accepté, qu’on essaie même plus de l’endiguer.

Je suis juste épuisée.

Combien de tribunes faudra-t-il pour que les médias paient les pigistes à temps ? - Par La rédaction | Arrêt sur images La critique média en toute indépendance : enquêtes, analyses, chroniques et émissions.

Il y a une semaine, une tribune signée par plus de 700 journalistes pigistes, syndicats et assos a récolté plus de 5000 signatures, demandant aux rédactions de respecter la loi et de payer en temps et en heure.

UN SEUL média en a parlé : @arretsurimages.net

www.arretsurimages.net/emissions/pr...

Thank you so much Claire ❤️ (and no one should feel bad about eating these delicious things 💥)

Pour le boire noyé dans le lait et le sucre. J'adore le matcha mais je n'en bois plus quand je vais dans un coffee shop, toujours insipide pour 5-6 balles.

Paquet de chips Brets La bretonne au beurre salé avec une bigoudène sur le packaging

Oh the Salted Butter packaging is so different from the French one (which is just a big Breton reference). And they get the same in the UK

Where did you get them? I live not far away from the factory and still can't find them 😭

Thank you Carolyn! It really was a fun one to write

Thank you so much! There's definitely a different culture in Brittany than in the rest of France. It's a Celtic culture, which is why Breton people feel very close to places like Cornwall (Cornouailles is an area in Brittany), Wales, Ireland...

Brets poulet braisé

I went grocery shopping yesterday and... (€1.19)

It’s Not Chicken, It’s Braised Poulet — On Brets, the French Crisps Taking British Delis by Storm — Pellicle They should be here but they aren't. This is the third place where I’ve tried to find them and failed. The packet of Brets beer and cheddar flavour crisps I’m searching for is nowhere to be found, and...

The best part of writing this story for @pelliclemag.com was buying too many crisp packets and saying it's for research purposes.
Here's my deep dive on Brets 🥔 🇨🇵 www.pelliclemag.com/home/2025/7/...

It’s Not Chicken, It’s Braised Poulet — On Brets, the French Crisps Taking British Delis by Storm — Pellicle They should be here but they aren't. This is the third place where I’ve tried to find them and failed. The packet of Brets beer and cheddar flavour crisps I’m searching for is nowhere to be found, and...

I looooove today's @pelliclemag.com story by the wonderful @anahlcq.bsky.social because it's the deep dive we all needed on Brets crisps, the best in the game 🥔🇫🇷

www.pelliclemag.com/home/2025/7/...

It’s Not Chicken, It’s Braised Poulet — On Brets, the French Crisps Taking British Delis by Storm — Pellicle They should be here but they aren't. This is the third place where I’ve tried to find them and failed. The packet of Brets beer and cheddar flavour crisps I’m searching for is nowhere to be found, and...

IT'S #CRISPNEWS O'CLOCK!

@anahlcq.bsky.social uses her brilliant whimsy and analytical mind to dive deep on Brets crisps. Why are they making a splash in Britain? How did their phenomenon begin? And HOW exactly do they make their poullet braisé flavour so good?

www.pelliclemag.com/home/2025/7/...

And not a single problem was caused, yet this is still treated like this would be the end of the world in the UK

SDJ de l’AFP – 21 juillet 2025 – Sans intervention immédiate, les deniers reporters de Gaza vont mourir L'AFP travaille avec une pigiste texte, trois photographes et six pigistes vidéo dans la Bande de Gaza depuis le départ le de ses journalistes staff courant 2024. Avec quelques autres, ils sont aujourd’hui les seuls à rapporter ce qu'il se passe dans la Bande de Gaza. La presse internationale est interdite d'entrer dans ce territoire depuis près de deux ans. Nous refusons de les voir mourir. L'un deux, Bashar, collabore pour l'AFP depuis 2010, d'abord comme fixeur, ensuite comme photographe pigiste, et depuis 2024 comme principal photographe. Samedi 19 juillet, il est parvenu à poster un message sur Facebook : «Je n'ai plus la force de travailler pour les médias. Mon corps est maigre et je ne peux plus travailler». Bashar, 30 ans, travaille et vit dans des conditions égales à celles de tous les Gazaouis, allant d'un camp de réfugiés à un autre camp au gré des bombardements israéliens. Depuis plus d'un an il vit dans le dénuement le plus total et travaille en prenant d'énormes risques pour sa vie. L'hygiène est pour lui un problème majeur, avec des périodes de maladies intestinales sévères. Bashar vit depuis février dans les ruines de sa maison de Gaza City avec sa mère, ses quatre frères et sœurs et la famille d'un de ses frères. Leur maison est vide de tout aménagement et confort, à part quelques cousins. Dimanche matin, il a rapporté que son frère aîné était «tombé, à cause de la faim». Même si ces journalistes reçoivent un salaire mensuel de l'AFP, il n'y a rien à acheter ou alors à des prix totalement exorbitants. Le système bancaire a disparu, et ceux qui pratiquent le change entre les comptes bancaires en ligne et l'argent liquide prennent une commission de près de 40%. L'AFP n’a plus la possibilité d'avoir un véhicule et encore moins de l'essence pour permettre à ses journalistes de se déplacer pour leurs reportages.

Communiqué de la SDJ de l'@afp.com : "Depuis que l'AFP a été fondée en août 1944, nous avons perdu des journalistes dans des conflits, nous avons eu des blessés et des prisonniers dans nos rangs, mais aucun de nous n’a le souvenir d'avoir vu un collaborateur mourir de faim." #Gaza

LGBTQIA+ dans l'esport : luttes et discriminations révélées Explorez la lutte pour l'inclusivité LGBTQIA+ dans l'esport français face à la vague de harcèlement et la nécessité d'un changement sociétal.

Très fier de cette première collab avec @stup.media, où on va causer place des personnes queers dans l'esport.

Merci à eux de leur confiance, et à tout·es mes interlocuteur·ices, parce que ce n'était pas simple de prendre la parole. Bravo à vous 🔥
stup.media/lgbtqia-dans...

Pensées émues à l’annonce du décès de ce jeune ouvrier agricole de 19 ans

L’hécatombe des morts au travail se poursuit dans le silence de l’été et du gouvernement

Attaquer le droit du travail, les règles de santé, de sécurité c’est faire le choix de plus de blessés et de morts

Journalistes pigistes, nous exigeons d’être payé·es en temps et en heure, comme le veut la loi.  Soutenez plus de 700 journalistes, travailleurs et travailleuses de la presse, rémunérés à la pige.   La tribune est signée par plus de 700 pigistes, les principales organisations syndicale...

Nous, plus de 700 journalistes, soutenus par une trentaine de collectifs et les principales organisations syndicales, exigeons des médias d'être rémunérés comme la loi le veut, après des années de graves dysfonctionnements.

Une pétition est ouverte !

www.monmouvement.ong/petitions/jo...

Selon la loi, un travail doit être payé à la fin du mois pendant lequel il a été effectué.
Selon 90% des employeurs de journalistes pigistes : “balek”.
Si on ajoute que les reportages de Louis supposent des prises de risque, il y a de quoi questionner les valeurs que défendent certains employeurs.

Proposition de résolution, n° 1678

🗣️ 21 mai 2025 : J'appelle dans mon livre à la création d'une commission d'enquête sur les violences en cuisine.

💥 7 juillet 2025 : "Proposition de résolution, tendant à la création d'une commission d'enquête sur les violences en cuisine, n° 1678" www.assemblee-nationale.fr/dyn/17/texte...

Perle Pils is really nice too!