Isonomia_pure

Image d’un document officiel de l’Assemblée nationale. En haut, un logo stylisé de l’Assemblée avec un bâtiment et des colonnes. Le titre indique : « Proposition de loi visant à ajouter le prénom à la liste des critères légaux de discrimination ». Sont listés les noms des député·es porteurs du texte, dont François Ruffin, Emmanuel Grégoire, Sandrine Rousseau, Sophie Taillé-Polian, Alexis Corbière et d’autres. Le document est mis en forme de manière administrative, ton neutre et institutionnel

Texte en noir sur fond blanc, mise en page de rapport officiel. Le document explique que certains prénoms peuvent provoquer moqueries, préjugés et discriminations à l’école, dans le logement ou l’emploi. Il cite des exemples : – le prénom « Kévin », associé dans le document à une stigmatisation de classe ; – des prénoms perçus comme « trop étrangers » tels que Mohammed, Fatima, Ibrahim ou Aïcha, mentionnés comme sources de discriminations. L’ensemble présente le but du texte : reconnaître le prénom comme critère légal de discrimination.

@francoisruffin.fr
@matthiastavel.bsky.social
@sandrousseau.bsky.social

Vous ne luttez pas contre le racisme.

Vous ouvrez la voie à la fiction du “racisme anti-blanc”.

Pas par ignorance.
Par choix politique.

Alt : @agemoyen.bsky.social soutient le "bon professeur" Pierre Gentillet, car "il a le droit d'avoir ses opinions et de militer par ailleurs".

Gentillet, candidat du RN en 2024, + Cocarde.
La base de l'antifascisme, c'est que les idées d'extrême-droite ne sont pas des opinions comme les autres.

Ancienne photo de profil de Hani. Il est assis à une table à l'intérieur d'un local. Il est souriant, et son visage est rond. Sa peau est brune, hâlée. Ses cheveux sont sa barbe courte sont roux et bouclés. Dans le local, il y a plusieurs autres tables blanches et des sièges gris confortables. En arrière plan on aperçoit de grandes vitres, des stores à demi baissés, un extincteur, un ventilateur mural ainsi qu'un panneau "défense de fumer".

Si vous me suivez, vous connaissez déjà la famille de Hani Younis Abdel Nabi.
Vous savez aussi comment l'armée d'occupation lui a pris sa vie, laissant une veuve et huit orphelins.

Cette famille fait face à d'inombrables difficultés. Alors que j'écris, cela fait 2j qu'elle n'a reçu aucun don. 🧵⤵️

Génocide toujours en cours au Soudan, on oublie pas et on en parle autant que possible 💔

Des millers de civils ont été arrêtés et la milice génocidaire partage des vidéos de torture.

Pour plus d'infos sur le Soudan : sudfa.media sur Instagram notamment (désolée 😔).

🙏🏿🫂

Celles et ceux qui se révoltent. Les soutenir dans leur exigence de justice, de vérité,
et dans leur refus de l’effacement. Se souvenir, c’est dire : ces vies comptaient. Ces morts comptent.
Vingt ans après, se souvenir,
c’est dire que nous ne pardonnons pas. Rien n’a jamais été oublié.

Refuser le récit du progrès.
Refuser l’idée que “ce n’est plus comme avant”. Refuser de nous habituer. Se souvenir, c’est soutenir celles et ceux qui restent : les frères, les sœurs, les ami·es, les mères. Celles et ceux qui vivent avec les images, les silences, les classements sans suite.

Insister sur le fait qu’il n’y a ni erreur, ni accident. Insister sur la permanence du cadre légal, administratif, médiatique qui les a tués et sur la constance de l’impunité. Se souvenir, c’est maintenir visible cette permanence.

Vingt ans plus tard, dans un ordre social où les contrôles au faciès sont quotidiens, où la liste des tués par la police s’allonge, où les familles se battent sans relâche pour une vérité toujours niée : se souvenir, c’est insister.

Des enfants exclus du droit à la douleur. Se souvenir, c’est maintenir vivante la conscience de ce qu’ils étaient : des enfants. Aimés, aimants, rêvant. Se souvenir, c’est protéger notre sensibilité du conditionnement républicain.

qu’on soupçonne dans la rue.
Comme Zyed Benna, Bouna Traoré et Muhittin Altun. Des enfants que la police contrôle, arrête, suspecte. Sans autre raison que leur visage. .Des enfants pour lesquels l’empathie n’est jamais spontanée, mais doit être arrachée, prouvée.

Se souvenir, c’est rendre à la douleur sa force politique, à la colère sa légitimité, à l’amour des nôtres sa portée révolutionnaire.

Nous sommes aussi mères, pères, frères, sœurs. Nous élevons des enfants dans ce pays des enfants qu’on suit du regard

les non-lieux, les relaxes, aux révoltés de 2005.
Se souvenir, c’est rétablir le sensible. C’est affirmer le sensible comme territoire politique. Pas le sensible individualisé, psychologisé mais le sensible collectif. Celui qui lie, qui fait tenir ensemble un “nous”.

Photo de Zyed et Bouna mort électrocutés dans un transformateur EDF dans lequel ils s’étaient réfugiés pour échapper à un contrôle de police le 27 octobre 2005.

🧵à dérouler.

Vingt ans après, se souvenir. C’est dire que nous ne pardonnons pas.
Rien n’a été réparé. Rien n’a jamais été oublié. Nos pensées vont aujourd'hui aux familles de Zyed Benna, Muhittin Altun et Bouna Traoré, aux proches, à celles et ceux qui vivent avec l'absence, les silences,

YouTube video by Isonomia_pure Angles Morts S02 E1 : Achever la révolution

📻 #AnglesMorts

S02 E1 : Achever la révolution
youtube.com/watch?v=x85l...

Par @isonomia.bsky.social

Saturer les luttes d'intersectionnalité, se rendre irrécupérable, seul moyen pour achever les innombrables révolutions de la révolution...

🙏🏿

Angles Morts - S02 • E01 : Achever La Révolution Angles Morts - Radio Prun

Angles morts S02E01
Achever la révolution ✊🏾
par @isonomia.bsky.social

www.deezer.com/fr/episode/7...

😂

Fond noir avec texte en lettres blanches : « Nous rejoignons les mobilisations du 10 septembre et l’appel au mot d’ordre “Bloquons tout”, mais nous refusons que cette mobilisation se fasse au prix du silence. » En bas, la liste des collectifs signataires : Cases Rebelles, Isonomia, Congo Bolingo, La récré·e, Kifâh Nantes, Action Palestine Nantes, Urgence Palestine Nantes

Fond blanc avec texte noir. Le visuel explique que dénoncer l’austérité et les coupes budgétaires ne peut se faire sans dénoncer aussi : • le racisme d’État (pushbacks, fichages, CRA, durcissement du droit au séjour, crimes racistes impunis), • l’eugénisme et le validisme (affaiblissement des soins, aide à mourir, héritage du covid-19), • les crimes coloniaux (empoisonnement au chlordécone en Martinique et Guadeloupe), • le continuum colonial (répression en Martinique et Kanaky), • l’impérialisme (soutien français à Israël et criminalisation des soutiens à la Palestine

Fond blanc avec texte noir. Le visuel définit la justice sociale comme indissociable des luttes antiracistes, féministes, antivalidistes, LGBTQIA+, et contre les violences d’État et l’extrême droite. Messages clés : • « Austérité, militarisation, racisme, colonialisme convergent et sont les facettes d’une même offensive autoritaire. » • « Pas de lutte contre l’austérité sans lutte contre le racisme. » • « Pas de justice sociale sans justice en Palestine. » • « Pas d’unité des luttes sans les opprimé·es. »

✊🏾Le 10 septembre, on bloque tout. Mais pas au prix du silence.
#Nantes

Donate to Contribute to Heba's Family's Survival story, organized by Mouhamad Diallo My name is Mouhamad. I am a US citizen living in Boston. Since the w… Mouhamad Diallo needs your support for Contribute to Heba's Family's Survival story

Si vous voulez venir passer une pas trop mauvaise soirée en bonne compagnie de gens rigolos et nous aider à récolter des sous pour la cagnotte d'Heba et de sa famille :

gofund.me/0b1bce19

Ca commence maintenant : www.twitch.tv/spinopizza

Une diapositive violette intitulée « LA BLANCHITÉ ». Le texte commence par des phrases courantes : « Perso, je ne vois pas les couleurs », « On est tous pareils », « Ce n’est pas une question de race, mais de classe », ou encore « Pourquoi parler DES Blancs ? C’est du racisme à l’envers ! ». En dessous, un paragraphe explique que ces phrases expriment une norme invisible qui permet de se croire “sans couleur” tout en refusant d’être désigné comme un groupe. Ce mécanisme est nommé « la blanchité », écrit en jaune pour le faire ressortir. La slide se termine sur une question : « Mais que signifie-t-elle VRAIMENT ? » En bas, le logo “L’Instant lexique – ISONOMIA” est centré

Un nouvel #Instantlexique sur la blanchité comme position dominante trop peu nommée

À lire, à partager ici ⬇️

www.instagram.com/p/DLsPRj0i8E...

(Pour la ref à @isonomia.bsky.social c'est dans ce fil : bsky.app/profile/valk... )

Ce genre de nom est problématique déjà parce qu’il n’est accompagné d’aucune intention politique claire de mémoire, de dénonciation ou voire de réparation. C’est alors une forme de fétichisation mémorielle, vidée de sens mais remplie d’effets esthétiques.
Ce jeu de mots est gênant.

Affiche de concert intitulée Les Chants de Coton. En haut, le nom du chœur est écrit en lettres manuscrites rouges et orange. En arrière-plan, une photo montre des choristes aligné·es, chantant avec ferveur, éclairé·es par une lumière chaude. Ils portent des tenues de scène sombres avec des touches de couleur. Le texte annonce un concert de gospel le vendredi 27 juin 2025 à 20h30, à la Salle Paul Fort, 9 rue Basse Porte à Nantes. En bas de l’affiche figurent les tarifs, un QR code de réservation, le logo de la Ville de Nantes, et les liens vers les réseaux sociaux du chœur.

Pourquoi choisir ce nom, quand il existe des milliers d’autres possibilités ?

Pourquoi la ville de @nantesfr valide cette fétichisation mémorielle, pour ne pas dire plus ?

Pas vu

#Nantes
Notre solidarité ne sera pas arrêtée.
Pas par vos lois.
Pas par vos prisons.
Pas par vos silences.

🚢 La Flottille de la Liberté n’est pas seule.🇵🇸 Gaza n’est pas seule. Palestine vivra. Et notre solidarité aussi.

Le soutien inconditionnel de l’État 🇫🇷 repose sur le simple fait qu’il partage avec 🇮🇱 une même grammaire sécuritaire, un même imaginaire de l’ennemi intérieur, une même architecture raciale du pouvoir. De la Kanaky à Calais, les faits sont là et ils sont têtus.

Aussi arrêtez d'invisibiliser la mission de cette flotille qui est la dénonciation du génocide des palestiniens, du blocus humanitaire. C'est de ça dont il faut parler, pas relayer la communication des autorités israéliennes.
Quant à la télé, ptn vous êtes immondes, comment peut on diffuser encore ?

Affiche sur fond noir avec le message en lettres capitales : « FREE THE FREEDOM FLOTILLA ». Le mot « FREEDOM » est en vert et « FLOTILLA » en rouge, évoquant les couleurs du drapeau palestinien. Le message soutient la libération de la Flottille de la Liberté, une initiative humanitaire internationale visant à briser le blocus de Gaza.

#Nantes Rassemblement Lundi 9 juin 18h Miroir d'eau.