Bastien Lachaud

Gaza meurt de faim : la France doit ouvrir un pont aérien humanitaire - Site officiel La situation humanitaire à Gaza est critique, avec des millions de personnes sans eau, nourriture ni médicaments. Ce drame résulte d'une stratégie de destruction d'Israël, qui utilise la faim comme ar...

Il est temps de briser le blocus et d'agir vraiment. La France doit initier un pont humanitaire permanent.

C’est ce que ferait un gouvernement insoumis, c’est possible et c’est urgent.

Mon analyse et mes propositions ⤵️
bastienlachaud.fr/2025/08/01/g...

Gaza meurt de faim. Et la France largue 40 tonnes d’aide, comme pour se donner bonne conscience. Il faut le dire et le répéter : les largages ne sont pas la solution.

Pendant ce temps : la famine est utilisée comme une arme de guerre et le génocide se poursuit.

La bourgeoisie t’a renié. Le peuple, que tu voulais instruire, afin qu’il fût roi à son tour, est maintenant adulte. Il a retenu tes enseignements et ton exemple. Tu auras ta revanche. Je la sens proche. Le mensonge et l’ingratitude passeront. »

Ils ont crié si fort qu’à travers tout le siècle les échos de leur voix menteuse ont hurlé à ton ombre menaçante encore. Mais la démocratie honnête ne t’a pas oublié, car en elle vit toujours l’espérance que tu as allumée, l’espérance qu’un jour viendra le règne de la justice.

« O grand martyr, tu as payé de ton sang ton amour du bien public. Les pourris, dont tu voulais purger la République naissante, se sont vengés sur toi et sur tes amis de leurs remords et de leurs épouvantes.

En ce jour, faisons nôtre l’hommage que dédiait à Robespierre, il y a plus d’un siècle, le grand historien Albert Mathiez, fondateur de la Société des études robespierristes :

Mais il fut aussi celui qui, par sa pensée et sa parole, articula le mieux la promesse de liberté, d’égalité et de fraternité qui anima la révolution. Toutes les calomnies n’y changeront rien : cette flamme brule toujours, plus ardente que jamais.

Loin de là. Comme tout évènement de cette ampleur, la Révolution fut avant tout un fait social et une dynamique collective ; et à ce titre, Robespierre fut un révolutionnaire parmi les autres, les historiens l’ont montré de longue date.

Cette haine que Robespierre ne cesse de déclencher chez les dominants suffit à dire qui il fut : l’âme de la Révolution. Non pas, comme ses détracteurs voulurent le faire croire, un dictateur qui dirigea tout et inspira seul la violence.

Et aujourd’hui encore, 231 ans après, le nom de Robespierre continue de déchainer la colère, la rage, la haine, de tous ceux qui veulent étouffer les aspirations du peuple pour mieux préserver un ordre social injuste.

Les Thermidoriens qui avaient voulu sa mort pour en finir avec l’élan révolutionnaire s’empressèrent de fabriquer un épouvantail, un bouc émissaire, un monstre.

Tout de suite, commençait le mythe, la légende noire d’un Robespierre tyran sanguinaire, responsable de la Terreur, coupable de tous les maux.

Le 28 juillet 1794, 10 Thermidor An II, Maximilien Robespierre montait à la guillotine. Avec lui Couthon, Saint-Just et 20 autres de ses compagnons, exécutés sans jugement.

Gaza, le temps d’un pont aérien humanitaire – La France peut ouvrir la voie La situation humanitaire dans la bande de Gaza est d’une gravité extrême.  Cette situation n’est ni accidentelle ni inévitable, estiment Aurélien Saintoul et Bastien Lachaud, députés LFI, spécialisés…

La France a les moyens d’être à l’initiative de ce pont aérien humanitaire. Pourquoi attendre ?

À lire ici ⤵️

Il y a un mois avec mon collègue Aurélien Saintoul nous avons proposé une solution concrète : un pont aérien humanitaire vers Gaza.

C’est possible, urgent, conforme au droit international.
Une seule chose manque : la volonté politique.

Le Président Macron annonce à nouveau son intention de reconnaître l’État de Palestine, en septembre. Mais c’est maintenant qu’il faudrait agir, pour protéger la population palestinienne de la faim et de la mort, pour empêcher le génocide !

En route vers gaza - La France insoumise Le dimanche 20 juillet, le Handala, un des navires de la Flottille de la Liberté, partira depuis Gallipoli, en Italie. Son objectif est d'aller à Gaza pour

Ceux qui embarquent aujourd’hui sont l’honneur de l’humanité. Leur courage oblige. Plus que jamais, restons à leurs côtés. Vigilants. Solidaires. Déterminés. Gardons les yeux tournés vers eux. Pour qu’ils sachent qu’ils ne sont pas seuls.

Pour suivre l’équipage de la #FreedomFlotilla ⤵️

Dans cette situation dramatique, la France devrait prendre ses responsabilités. Avec @asaintoul.bsky.social, nous proposons l’ouverture immédiate d’un pont aérien humanitaire vers Gaza. La France en a les moyens : logistiques, militaires, diplomatiques. Il ne manque que la volonté politique.

Ceux qui embarquent ne le font ni pour le symbole, ni pour la provocation. Ils prennent la mer parce que la solidarité n’a pas de frontière. Parce que lorsqu’un peuple est écrasé, le silence devient complice et la désobéissance, une nécessité.

Face au silence des gouvernements, la Flottille continuera à envoyer des navires. Autant qu’il le faudra. Jusqu’à ce que cesse le blocus illégal, jusqu’à ce que la solidarité passe.

Leur engagement est clair : forcer les consciences, forcer les frontières de l’indifférence, et rappeler au monde que la mer ne doit pas être un mur, mais un passage.

À son bord : 18 militantes et militants pour les droits humains. Des avocats, médecins, journalistes, juristes, venus de toute l’Europe. Parmi eux, Gabrielle Cathala, députée de La France insoumise, et Emma Fourreau, eurodéputée insoumise.

Ce dimanche 20 juillet, une nouvelle étape s’ouvre pour la Flottille de la Liberté. Un mois après l’arrestation illégale de Rima Hassan et de l’équipage du Madleen, un nouveau bateau quitte l’Italie, déterminé à briser le blocus imposé à la population palestinienne.

🔴 Le navire Handala met les voiles vers Gaza.

Bravo à celles et ceux qui n’ont jamais cessé de le défendre. Les insoumis·es y ont pris toute leur part. 🇵🇸

Le 25 juillet, Georges Ibrahim Abdallah sera enfin libéré, après plus de 40 ans de détention.

Plus ancien prisonnier politique de France, libérable depuis 1999, sa libération est une victoire de la persévérance et du droit.

L’éducation est un droit, l’État doit le garantir pas le saboter.

Avec La France insoumise, nous ne nous y résignons pas. Nous serons toujours aux côtés des familles, des collectifs, des syndicats, pour exiger des remplaçants, des moyens, des profs formés, bien payés et respectés par leur administration.

L'école publique est sacrifiée et les enfants des villes populaires sont abandonnés par choix politique. Celui de casser l’école, de précariser les enseignants, de mépriser les élèves.

Pendant ce temps, le rectorat de Créteil continue de nier et rejeter les recours. Comme si ne pas avoir d’école, ne pas avoir de profs, c’était tolérable.