Tamagochiste

C'est sommet frr

Roland Garros est pas mal dans le genre aussi.

On est d'accord qu'une mi-temps de mi-temps, ça revient à avoir des quart-temps ou ça risque de choquer les puristes ?

Y a peut-être des solutions alternatives proposées sur des forums de retrogaming ? Perso, j'ai abandonné l'idée de traiter mes consoles. Le plastique, ça vieillit mal quoi qu'il arrive.

Un ptit 16° ici en journée.

Screenshot of the first level of Sonic 2, showing Sonic and Tails running along an helix-shaped path.

In 1991, Yuji Naka joined the American studio Sega Technical Institute and shortly afterwards began developing Sonic 2. He was soon joined by several former colleagues, including Rieko Kodama.
vgdensetsu.net/riekokodama11
Dispo en VF
vgdensetsu.net/riekokodamav...

J'aime bien comment le fait que Retrobright soit nocif pour le plastique des consoles est traité comme une actu par certains sites alors que n'importe quelle personne ayant eu Chimie 2000 à Noël 1991 aurait pu vous le dire il y a des années. Ça équivaut à se brosser les dents à l'acide.

Ouais

Occupation dominicale : mettre à jour plusieurs chapitres de mon feuilleton sur Rieko Kodama dont celui à paraître demain matin parce que Mark Cerny a encore sorti plein d'infos en interview.
(ne faîtes jamais de feuilleton !)

Maison blanche ou musée Grévin ?

Si jamais Hollywood ne veut plus de lui, Johnny Depp pourra toujours faire carrière au Japon. Entre Paru Itagaki (Beastars) qui fait la fangirl avec lui et Eiichirō Oda qui le dessine en pirate pour la Tokyo Comic Con, il semble avoir moins de problèmes de popularité qu'en Occident.

Ah. A quelques rares exceptions près (Castle of Illusion, Aladdin), c'était souvent un bon cran en dessous des versions Mega Drive, et pas uniquement du fait des limitations techniques. On se faisait avoir du fait du nom des jeux.

Un voisin l'avait acheté en version US sur MD (l'époque où on limait les cartouches). Je me souviens que la maniabilité était un peu pétée mais l'ambiance pas trop mal. Un 6/10 de l'époque qui n'a probablement plus aucun intérêt aujourd'hui, sauf à vouloir faire une rétrospective de la licence.

Oui

Des chaines type blockbuster (l'équivalent de Vidéofutur aux US) proposaient de la location de VHS mais aussi de jeux voire de consoles (certains se sont essayés à la NeoGeo par ce biais par exemple).

A peu près sûr qu'avoir ou pas de l'argent n'est pas un facteur pris en compte chez un paquet d'éditeurs. Même les riches peuvent être radins.

Voire, dans le cas de titres comme Ecco the dolphin, pour éviter aux joueurs louant leurs jeux de les terminer en une semaine de location et donc pour les inciter à acheter plutôt qu'à louer.

Je n'ai même jamais joué à Turrican sans ça.

J'ai souvenir que le 1er de truc que je faisais quand je lançais un nouveau jeu console, c'était d'aller dans les options pour voir si je pouvais régler le nombre de vies - probable héritage de mes débuts de joueur sur des jeux Atari ST piratés qui offraient plein d'options type "vies illimitées".

En 92, certains des auteurs / créateurs phares de Marvel ont quitté la boite et fondé Image Comics pour cette même raison. Marvel aurait besoin d'une piqûre de rappel une fois de temps en temps.

L'occasion de rappeler qu'on a à Paris un certain nombre de lieux consacrés à la préservation du patrimoine culturel sujets aux inondations (la BNF, le Louvre, les musées d'Orsay et du quai Branly ; j'en oublie sûrement).

Après, si je devais me faire l'avocat du diable, je dirais que les gens n'en ont globalement rien à faire de savoir qui a dessiné ou animé quoi dans un jeu (je parle d'expérience, étant aussi l'un des seuls à faire des recherches sur les graphismes). C'est davantage l'absence d'info qui dérange.

Vous êtes dans un musée. Autour de vous sont disposées des œuvres d’époque et d’origine diverses, certaines connues, d’autres moins. Durant votre visite, vous entendez des gens en vanter les qualités esthétiques, tout en constatant que leurs conversations s’essoufflent généralement au bout de quelques superlatifs. Vous vous apercevez très vite que les cartels disposés sous chacune de ces œuvres sont dépourvus d’indication quant à l’identité de leur auteur. Vous vous renseignez auprès de l’accueil où l’on vous répond qu’il ne s’agit pas d’un oubli et que c’est un phénomène récurrent. Vous rétorquez qu’il s’agit d’œuvres contemporaines et que les artistes qui ont travaillé sur ces œuvres sont, au moins pour certains, probablement encore en vie et qu’il existe sûrement un moyen de retrouver leur trace, mais votre interlocuteur ne vous donne pour réponse qu’un haussement d’épaule.

Et sur l'absence de crédits ou d'information dans le musée, c'est littéralement l'intro d'un article que j'ai écrit il y a 7 ans au sujet de l'identification des artistes, travail effectué par un nombre de personnes qui se compte sur les doigts d'une main (dont moi) :
vgdensetsu.net/artistunknow...

Yōichi Kotabe a 89 ans aujourd'hui, c'est un artiste mondialement connu, il est toujours en vie, mais son travail chez Nintendo est encore largement méconnu, en partie à cause de son ancien employeur, peu loquace sur le sujet.
J'avais écrit un long papier sur lui :
vgdensetsu.net/yoichikotabe...

Au sujet de la non attribution des oeuvres à leurs artistes respectifs, on voit passer des aquarelles de Yōichi Kotabe réalisées pour SMB3 dans le catalogue. Le musée comporte aussi une aquarelle de la couv de Zelda 2, ce qui, entre autres indices, me laisse à penser qu'elle aussi est signée Kotabe.

Photo de Peter Bogdanovich et d'Orson Welles à côté d'un caddie rempli, dans un rayon de super marché.

Peter Bogdanovich et Orson Welles qui font des courses (avec un cigare pour le second)

Avec une Nakoruru dessinée par Nobuteru Yuuki.

Il a abandonné un projet il y a des années et il n'en parle que maintenant.

Death by Scrolling

J'ai dû en entendre parler à ce moment là aussi. Mais je suppose que Gilbert est un peu trop associé au genre point'n' click pour que son public s'intéresse à autre chose venant de lui.