PURH - Presses universitaires de Rouen et du Havre

Affichette de présentation de l'événement, avec la photographie présente sur l'accueil du site des Rendez-vous de l'histoire (image d'une foule, sans doute les manifestations suite à l'attentat de Charlie Hebdo, avec un drapeau français qui flotte en gros plan, et devant, une pancarte noire où on devine le mot "liberté"). En dessous, les informations : rdv-histoire.com, salon du livre, débats, cinéma, expositions, entrée libre. Du 10 au 12 octobre - Blois. Les Rendez-vous de l'histoire. Thématique : La France ?

Du 10 au 12 octobre, les PURH seront présentes aux 28e Rendez-vous de l’histoire de Blois, sur le stand 122 de la FMSH. Venez y découvrir notre sélection d’ouvrages sur le thème "La France ?" Retrouvez tout le programme sur : rdv-histoire.com.
@rdvhistoire.bsky.social @fondationmsh.bsky.social

Flyers indiquant ces informations : Événement. Présentation de l'ouvrage Musiques, mondialisation et sociétés - librairie Planète iO. En présence des auteurs Alexandre Chévremont, Jean-Luc Tamby et Myriam Odile Blin (également coordinatrice de l'ouvrage), et de deux musiciens, Thierry Machuel et Amelik. Jeudi 2 octobre 2025 à 18h - salle du Jeu de Paume, 12, rue Saint Louis (en face de la librairie) 35000 Rennes. Renseignements et réservations : planete.io@free.fr

Affichette pour annoncer le podcast "Chemin d'histoire", avec une capture d'écran du podcast, un texte : 'Pour sa 227e émission de Chemin d’histoire, Luc Daireaux invite Emmanuelle Fantin, codirectrice, avec Julien Tassel, de l’ouvrage Quand l’enfance rencontre l’histoire. Imaginaires, représentations et savoirs, et Fabien Lacouture, l’un des auteurs de l’ouvrage. Un podcast à écouter ou réécouter sur cheminsdhistoire.fr. Il y a aussi une image de la couverture de Quand l'enfance rencontre l'histoire, et le rappel de l'émission : "Chemin d’histoire, émission no 227« Enfance et histoire », avec Emmanuelle Fantin et Fabien Lacouture".

Le podcast 📢Chemin d'histoire📢, consacré à "Enfance et histoire", avec Emmanuelle Fantin et Fabien Lacouture, est à retrouver sur : cheminsdhistoire.fr/emission227/.

📚 Nouvel article dans la section CULTURE

📖Dans cet article, Marie-Pierre Baduel revient sur "Moses Roper, Josiah Henson. Deux récits d’esclaves fugitifs", un livre traduit et édité par Simone Chambon, Claire Parfait et Michaël Roy (@purh.bsky.social)

À lire ici : revue.alarmer.org/moses-roper-...

🔎 Retrouvez ce numéro sur notre site internet :
www.purh-ed.fr/book/?gcoi=2...
🔎 Pour découvrir la revue sur OEJ :
journals.openedition.org/pensereduc/

Élu à la section des sciences de l’éducation et de la formation, il a été le vice-président du Conseil national des universités entre 2019 et 2023.

Laurent Gutierrez est professeur en sciences de l’éducation et de la formation à l’université Paris Nanterre. Ses travaux portent sur l’histoire de l’éducation et, plus spécifiquement, sur celle du mouvement de l’éducation nouvelle en France depuis la fin du XIXe siècle.

Ses travaux portent, dans une perspective sociohistorique, sur les progressismes, sur les circulations et sur les controverses en éducation en France et aux États-Unis.

📌 Un mot sur les deux coordinateurs de cet opus :
Sébastien-Akira Alix est maître de conférences en sciences de l'éducation et de la formation à l'université Paris-Est Créteil et membre du laboratoire LIRTES.

Il s’inscrit dans le prolongement d’un séminaire de recherche, organisé au centre hospitalier Sainte-Anne à Paris en 2019, et d’un colloque international qui s’est tenu à l’université Paris-Est Créteil en 2022.

Le numéro revient sur la manière dont la crise a été perçue et appréhendée par différents espaces et divers moments de l’histoire des idées pédagogiques.

Le terme s’est banalisé dans le langage courant et devient une source à fort potentiel anxiogène.
📌 Comment est-elle abordée ?

Les auteurs sont partis du constat que le terme de "crise" est très souvent employé par les responsables politiques et de nombreux auteurs, dont les exemples sont criants dans la littérature spécialisée ou dans la presse grand public.

Photographie du numéro 56 de la revue Penser l'éducation, posé à la verticale sur une table en bois. La couverture du numéro est verte avec une bande bleue. Devant sont posés une paire de lunettes et un stylo plume ouvert.

[Nouveauté] La revue 📗 Penser l’éducation 📗 accueille un nouveau numéro thématique "Penser les crises en éducation et en formation".
📌 Pourquoi cette thématique ?

Les femmes fortes et audacieuses, courageuses et violentes, meurtrières ou guerrières, qui transgressent par leurs actions, leurs engagements et leurs discours, les interdits nombreux limitant leur liberté et les injonctions les assignant à être des victimes passives plutôt que des sujets indépendants, agissants et désirants, constituent une partie importante du répertoire de figures féminines que l’on peut établir à partir des productions littéraires, dramatiques, opératiques, cinématographiques et picturales. Ariane Ferry, Judith le Blanc et Gwénaëlle Le Gras, « Ouverture. Femmes criminelles et criminalisées à la scène et à l’écran »

🔎 Retrouvez l’ouvrage sur notre site internet :
www.purh-ed.fr/book/?gcoi=2...

Elle co-dirige avec Thomas Pillard la revue 📓 Genre en séries : cinéma, télévision, média 📓.

Gwénaëlle Le Gras, professeure des universités en études cinématographiques et audiovisuelles à l’université Bordeaux Montaigne, est spécialiste des Star Studies et des approches culturelles du cinéma français classique et contemporain (représentation et réception).

Judith le Blanc est maîtresse de conférences en « littérature et arts » à l’université de Rouen. Elle est membre du comité de rédaction de 📓 Théâtre/Public 📓 pour laquelle elle a récemment codirigé les dossiers « Musique ! » et « Baroque au présent ».

Tout en travaillant sur les mythes littéraires d’Amphitryon, d’Hamlet ou d’Œdipe, elle s’intéresse plus particulièrement aux figures mythiques féminines (Penthésilée, Hélène, Antigone et Médée).

Dans une perspective mythocritique, elle étudie, de l’Antiquité à la période contemporaine, les reconfigurations des mythes gréco-romains et historico-légendaires au théâtre, dans le roman et au cinéma.

🗡 Un mot sur les directrices du volume
Ariane Ferry est professeure des universités en littérature comparée à l’université de Rouen Normandie.

...les effets émotionnels et esthétiques de la spectacularisation du crime féminin et la représentation de figures de femmes désobéissantes, courageuses et résilientes, en un mot, fortes.

Accompagnant la réévaluation par les sciences humaines de la violence des femmes, l’ouvrage interroge, à travers les différents médias, siècles et pays européens, ...

Quel trouble plaisir éprouvent spectateurs et spectatrices à voir ou écouter ces femmes, à souffrir ou jubiler avec elles quand tout semble les condamner ?

🗡 Quel est l’angle pris par les auteur·ice·s pour répondre à ces questions ?

Pourquoi donner corps et voix aux femmes meurtrières, criminelles ou criminalisées sur les scènes et les écrans, quand leurs agissements, mots, assurance, rébellion ou souffrance menacent les bonnes mœurs et un équilibre social reposant sur les inégalités de genre ?

Photographie de l'ouvrage, posé sur un sol parqueté. Une rose rouge est posée sur la couverture, tranchant avec le vert de celle-ci.

[Nouveauté] Dans la collection « Genre à lire… et à penser », l’ouvrage 📗 Spectacles du crime féminin en Europe. Théâtre, musique, cinéma 📗 revient sur l’imagerie des femmes criminelles ou criminalisées.

🗡 Quelles sont les questions posées dans cet ouvrage ?

"L’effet produit sur le spectateur nous convainc que l’héraldique constitue l’un des moyens d’expression privilégiés du « baroque », où finalement s’annule la distinction entre sacré et profane." Citation d'Yvan Loskoutoff, "introduction"

🔎 Retrouvez l’ouvrage sur notre site internet :
www.purh-ed.fr/book/?gcoi=2...

📌 Un mot sur le directeur du volume
Yvan Loskoutoff, agrégé de l’université, est professeur de littérature française des XVIe et XVIIe siècles. Il est membre du GRIC (Université du Havre), de l’Académie des Jeux floraux et de la Société des antiquaires de Londres.

Un second volet porte sur l’usage monumental du blason, de la collégiale de Castelnau-Bretenoux à l’église Sainte-Prisca sur l’Aventin, en passant par les palais de Rome ou les entrées d’Avignon.