Universitaire dans l'Univers de la fongibilité asymétrique

Est-ce que Harrison du Bus existe vraiment ? Telle est la question.

C'est scandaleux !!!!!

mais l'option choisie est peu surprenante au vu de l'ambiance idéologique. Certains doivent se frotter les mains.

bsky.app/profile/mick...

Portrait robot d’un chasseur cueilleur il y a 7 000 ans en Espagne : un homme aux cheveux, à la peau foncée et aux yeux bleus. www.hominides.com/homo-sapiens...

Livre préfacé par l'actuel Louis de Bourbon, l'homme le plus capé pour parler de privilèges.

Ils font du quanti comme M. Jourdain faisait de la prose. Ils comptent surtout les points acquis ou facilement gagnables qui devraient leur permettre de relâcher leur effort au 2d semestre.

Il est vrai que pour faire ce genre de dénombrement, il suffit d'avoir un boulier.

Pense bête : à lire prochainement.

C'est dommage qu'il n'y ait pas moyen d'enregistrer des posts dans un presse papier sur Bluesky.

Sur la liste de l'ASES, j'ai vu passer un appel à communiquer sur l'usage de l'IAG à des fins de rédaction de revues de littérature. Je crois me rappeler que c'était quelqu'un orienté Sc. Po qui lançait cet appel. Je devine qu'il y a des IAG experts et des IAG du tout venant (accès gratuit).

Ce sont des essayistes qui basent leurs écrits sur des infos sélectionnées pour confirmer la thèse qu'ils énoncent. Certains peuvent être très érudits, mais sans pour autant faire acte de recherche.

Il y en a quelques-uns de célèbres parmi ceux qui se présentent comme sociologues ou anthropologues.

L'oral, effectivement, mais la bonne formule reste à inventer. Évidemment, le temps à y passer est l'obstacle principal (dans une promo à 60 étudiants par ex.).

Là où j'exerce, le mémoire pose 2 pbs : 1) les bonnes notes que les étudiants anticipent dans de nb enseignements et qui leur permettent de modérer leur effort en fin d'année (= mémoire) ; 2) le recours bête à l'IAG : on s'en doute, mais parfois on n'a pas assez d'indices concordants pour agir.

Oui, ce n'est pas du tout un thème que l'on exhibe parce qu'il serait à la mode. Faut pas déconner ! C'est un problème à s'arracher les cheveux et son acuité varie sans doute en fonction du type de public estudiantin auquel on s'adresse.

La politique (Pas du tout) "bienvenue en France" à l'intention des🧑‍🎓extra-communautaires constitue une préfiguration de ce qui pourrait se généraliser si la situation de sous-financement par l’État perdurait. Vue sur ce réseau - où ?- une liste d'Universités ayant ↗️ fortement leurs tarifs en Master.

Une autre interprétation se diffuse : cela serait un moyen pour l'Etat de pousser les universités à trouver d'autres sources de financement. Lire : à faire les poches des étudiants en supprimant ou en relevant les plafonds des tarifs d'inscription.

La Seine a débordé ? Et si haut ?

Bel esprit de sacrifice !

2) Un enseignant, candidat à une élection (municipale, cantonale, etc.) ou soutien d'un(e) candidat(e), se prévaut de la connaissance qu'il a des établissements d'enseignement pour critiquer l'état du système scolaire et de la politique conduite en la matière par une autorité publique.

1) Un enseignant gréviste s'exprime dans l'espace public sur son temps de travail (lors d'une manif ou en réponse à la presse) en tant que fonctionnaire pendant la période pré-électorale pour protester contre la politique du gouvernement ou contester celle de son établissement.

Voici un précieux rappel.

Deux questions, cependant. Que se passe-t-il dans ces deux cas ? Une autorité publique peut-elle se prévaloir du devoir de réserve pour sanctionner un enseignant ?

OK, mais quand tu as 70 étudiants ou même 35 devant toi, tu fais comment ? Est-ce que l'on doit passer 3 semaines à faire des oraux en faisant défiler les étudiants à la chaîne, vingt minutes chacun, pour en caser environ 8 par demi journée ?

"Quand je reprendrai mes séminaires l’an prochain, je prévois de revenir à la méthode socratique. Les notes finales s’appuieront sur des entretiens individuels en fin de semestre, à l’oral, où les étudiants devront manier (...) « le discours de celui qui sait, discours vivant et animé ».

"Pour valider le séminaire [enseignement dans mon cas], le seul impératif est de fournir un effort intellectuel sincère et soutenu. Les étudiants doivent assister à chaque séance, lire les textes du corpus, participer en classe et rendre quelques devoirs écrits faisant preuve de leurs compétences".

Ce n'est pas moi qui ai écrit cet article, mais j'aurais pu en trouver le titre.

Cf Laurent Fignon parti soigner son cancer aux USA : "En France, on est pris 100% en charge, aux Etats-Unis, cela m'a coûté 20 000$ et, si je devais me faire soigner aux Etats-Unis (...) entre 70 000 et 150 000$. Quand on se plaint de la sécurité sociale, allons voir ailleurs quand même avant".

Tiens, revoilà le Alain Duhamel de l'économie.

"En France aussi, nos responsables politiques doivent cesser de s’attaquer à nos libertés académiques par voie législative et médiatique et nos tutelles doivent prendre leurs responsabilités en défendant nos droits. "

Motion 2025 de l'AFS pour la protection de la liberté académique.

En outre, c'est une variabilité qui oscille sur le plan de la qualité entre le bof et le mauvais. Je parle de la version de base. Je l'ai testé pour contracter du texte (passer sous le nb max. de signes dans les revues). Résultat : + le texte source est long , + le texte contracté est mauvais.

Et ça, les manquements à l'intégrité scientifique découlant de la transformation de la recherche en industrie du vide : agir de façon stratégique pour activer des indicateurs servant de supports à l'évaluation (Loi de Goodhart et tout ça).

Il y a Civilizations de Laurent Binet (2019) qui devrait intéresser un historien, mais vous l'avez sans doute déjà lu.

Est-ce que l'on peut parler de reprise de volée en sociologie ?

Ci-dessous le début de la réponse de Manuel Schotté. Il y a comme un effet "boum-rang". La suite est du même acabit.

Nul besoin d'être une grande lumière sociologique pour savoir que sa référence à Max Weber repose sur un poncif bêta qui ne respecte pas la pensée du sociologue allemand. Il suffit de fréquenter ses textes et de lire ses exégètes érudit(e)s. Catherine Colliot-Thélène manque à la vie académique.