Unpopular opinion : les bombardements d'Hiroshima et de Nagasaki sont l'un des pires crimes de guerre jamais commis contre des populations civiles.
Et oui, les explications, je les connais. Mais rien en ne peut excuser la décision de Truman.
@herveaubert.bsky.social
Unpopular opinion : les bombardements d'Hiroshima et de Nagasaki sont l'un des pires crimes de guerre jamais commis contre des populations civiles.
Et oui, les explications, je les connais. Mais rien en ne peut excuser la décision de Truman.
Baisse de fréquentation de 15 à 20% des restaurants
Parce que c'est Bernard Arnault qui a tout leur argent.
25.07.2025 21:06 — 👍 284 🔁 69 💬 9 📌 4Image extraite du film J'Accuse, d'Abel Gance. On y voit une jeune femme menacée par l'ombre gigantesque de soldats allemands. Une façon d'évoquer les viols de guerre
Image extraite du film J'accuse, d'Abel Gance (1919). On y voit un soldat français seul au milieu d'un champ de tombes
A la fois drame amoureux et description des horreurs de la guerre de 14-18, le film s'achève sur une troisième partie impressionnante par son montage de malade et la puissance des images créées par Abel Gance.
23.07.2025 05:29 — 👍 1 🔁 0 💬 1 📌 0exclu de son pays (l'Afrique du Sud) et inadapté dans son pays d'accueil, Raoul Peck fait un compte rendu saisissant de la réalité quotidienne de l'Apartheid en Afrique du Sud et de la ségrégation raciale aux USA dans les années 60.
Bonus muet : J'accuse, d'Abel Gance (1919)
sa volonté de filmer en gros plan la détresse des gens, de façon trop impudique), mais cette suite de Roger et moi est une réussite dans sa démonstration des méfaits du capitalisme débridé.
- Ernest Cole, photographe, de Raoul Peck (2024) : à travers le portrait émouvant d'un photographe
3. Avec un animal sauvage : Orca, de Michael Anderson (1977)
4. Documentaire engagé :
- Personne n'y comprend rien, de Yannick Kergoat (2025)
- Capitalisme, a love story, de Michael Moore (2009) : on a ici les défauts habituels de Michael Moore (sa volonté de trop faire le spectacle,
#DCC2025
@tbarnaud.bsky.social
Bilan du mois de juillet
1. Musique d'Antoine Duhamel : Un Condé, d'Yves Boisset (1970)
2. Effets spéciaux de Stéphane Ceretti : Gardiens de la Galaxie, de James Gunn (2014), ce que le MCU a produit de mieux.
Ils disent que prendre des mesures écologiques "coûterait trop" à l'économie.
Mais ne rien faire coûtera beaucoup plus cher à l'économie, puisque le réchauffement climatique rendra impossible le travail sur des périodes de plus en plus longues.
www.franceinfo.fr/monde/grece/...
Pas besoin d'attendre 2030. AUX USA, des entreprises avaient contracté des assurances vie sur leurs employés, dont elles étaient les seules bénéficiaires.
basta.media/quand-les-en...
J'ai parfois plus pensé à Moby Dick pour le côté obsessionnel de la relation entre le chasseur et l'animal.
Le film est sur la plate-forme d'Arte ce soir encore.
Le casting réunit une grande partie de mes acteurs français préférés de l'époque : Michel Bouquet, Bernard Fresson, Rufus, Michel Constantin, et un impressionnant Henri Garcin dans un rôle inhabituel de petite frappe violente.
14.07.2025 04:58 — 👍 0 🔁 0 💬 0 📌 0Un polar sec et nerveux, avec un de ces personnages de flics qui se prennent pour des justiciers vengeurs, personnage ambigu qu'on ne peut ni apprécier ni détester. Le rythme est rapide, l'action est brutale et tranche avec les polars français de l'époque, souvent plus sobres.
14.07.2025 04:57 — 👍 0 🔁 0 💬 1 📌 0Image extraite du film Un Condé, d'Yves Boisset. On y voit Bernard Fresson et Michel Bouquet, à table, à la fin d'un repas.
Image extraite du film Un Condé, d'Yves Boisset. On y voit l'acteur Rufus, assis à table dans une position plutôt dubitative.
Image extraite du film UN Condé, d'Yves Boisset. On y voit l'acteur Michel Constantin.
#DCC2025
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Musique d'Antoine Duhamel : Un Condé, d'Yves Boisset (ce qui me permet de rendre hommage à un cinéaste décédé récemment et que je connais encore trop peu).
Je termine le dernier Stephen King, Never Flinch. Pas le chef d'œuvre de l'auteur, mais un polar prenant et bien foutu.
11.07.2025 16:09 — 👍 2 🔁 0 💬 0 📌 0(le film est visible sur le site d' @artefr.bsky.social jusqu'au 15 juillet).
11.07.2025 08:19 — 👍 0 🔁 0 💬 0 📌 0Si on laisse de côté un scénario un peu bas de plafond, on a un bon film d'aventures, avec un duel final passionnant et un Richard Harris remarquable.
11.07.2025 08:19 — 👍 0 🔁 0 💬 1 📌 0Affiche originale du film Orca, de Michael Anderson, 1977
#DCC2025
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Film avec un animal sauvage : Orca, de Michael Anderson (1977)
Un peu sceptique au début, très gêné par l'anthropomorphisme exagéré de l'épaulard, je suis finalement bien rentré dans le film à partir des attaques de l'animal contre la communauté de pécheurs.
Image extraite du film Y a-t-il un pilote dans l'avion ?, sur laquelle on voit Lloyd Bridges poser devant un portrait de Lloyd Bridges posant devant un portrait de Lloyd Bridges, etc.
01.07.2025 15:41 — 👍 1 🔁 0 💬 0 📌 0Personne n'y comprend rien propose aussi une réflexion sur le rapport entre les politiques et certains médias, mais aussi une analyse des attaques des politiques incriminés contre la justice (intervention remarquable de François Molins).
01.07.2025 08:46 — 👍 0 🔁 0 💬 0 📌 0Image finale du documentaire Personne n'y comprend rien, de Yannick Kergoat. On y lit une citation de Hannah Harendt : "Les chances qu'a la vérité de fait de survivre à l'assaut du pouvoir sont effectivement très minces; elle est toujours en danger d'être mise hors du monde, par des manoeuvres, non seulement pour un temps, mais virtuellement pour toujours."
#DCC2025
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Un documentaire engagé : Personne n'y comprend rien, de Yannick Kergoat
En plus d'être un formidable thriller politico-journalistique, qui sait rendre passionnant et compréhensible une enquête complexe,
4. L'escalier : Deux mains, la nuit, Robert Siodmak, 1946.
Bonus muet : Mary Pickford
La Petite Américaine, de Cecil B. DeMille et Joseph Levering, 1917.
2. Rosine Delamare : Du Rififi chez les hommes, Jules Dassin, 1955. Très bon film noir à l'américaine, avec une scène de casse vraiment impressionnante. Jean Servais est formidable.
3. Dans un désert : Jarhead, la fin de l'innocence, Sam Mendez, 2005.
#DCC2025
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Bilan du mois de juin.
1. Tony Curtis : Rendez-vous avec une ombre, Joseph Pevney, 1957. Le film aurait pu être intéressant mais se perd avec un scénario trop léger et naviguant entre polar et chronique familiale. Très bon casting.
Si vous savez quelle est là doctrine de Trump, il faudra la lui annoncer. Parce que lui, il change d'avis plusieurs fois par jour.
22.06.2025 13:59 — 👍 0 🔁 0 💬 0 📌 0Le capitalisme, c'est cette croyance fanatique apocalyptique selon laquelle il vaut mieux rendre la planète invivable pour toute forme de vie que demander à des privilégiés oisifs complètement tarés de penser aux autres.
21.06.2025 12:42 — 👍 108 🔁 36 💬 0 📌 0(outre la description précise de ce meurtre effroyable, Truman Capote évoque d'autres assassinats de masse, la fascination pour les armes, et même la peine de mort perçue comme un assassinat institutionnalisé).
21.06.2025 05:14 — 👍 0 🔁 0 💬 0 📌 0A la fois enquête journalistique et roman noir, De Sang froid a aussi une dimension psychologique, sociologique (c'est toute la communauté de Holcomb et Garden City qui y est décrite, avec sa hiérarchie sociale), mais également une réflexion sur la violence aux USA
21.06.2025 05:14 — 👍 0 🔁 0 💬 1 📌 0Couverture du roman de Truman Capote De Sang froid, en Folio Gallimard. Il s'agit d'une image extraite du film de Richard Brooks, où l'on voit les deux meurtriers arrêtés.
#Lectures2025 n°18
De Sang froid
Truman Capote
Lu en anglais.
Formidable livre, dont la limpidité de l'écriture masque un propos dense et complexe. Partant d'un fait divers authentique sur lequel il a enquêté pls années durant, Truman Capote nous livre une reconstitution incroyable, glaçante.
« Les 500 plus grandes fortunes françaises sont passées de 200 milliards d’euros à 1 200 milliards entre 2010 et 2025, soit une progression de 500 %. Avec une taxe de 2 % par an, il faudrait un siècle pour les faire revenir à leur niveau de 2010 »
14.06.2025 06:16 — 👍 232 🔁 198 💬 7 📌 6Au rez-de-chaussée, des personnages embourbés dans leurs passions humaines (l’argent, les femmes, la boisson). Et au sous-sol, le monde des pulsions et des bas instincts. L’escalier, qu’empreinte sans cesse la protagoniste, permet donc de relier ces différents niveaux de conscience.
13.06.2025 04:57 — 👍 0 🔁 0 💬 0 📌 0