1 - There Will Be Blood
2 - Licorice Pizza
3 - Punch Drunk Love
4 - Phantom Thread
5 - Inherent Vice
6 - The Master
7 - Magnolia
@vays.bsky.social
J'aime regarder des films et lire des livres https://letterboxd.com/Vays/
1 - There Will Be Blood
2 - Licorice Pizza
3 - Punch Drunk Love
4 - Phantom Thread
5 - Inherent Vice
6 - The Master
7 - Magnolia
Comme tu le disais lors de la discussion avec ChatGPT, j'avais du mal à saisir le concept d'auto-affection puisque il n'y a pas de libre-arbitre chez Spinoza, maintenant que c'est devenu un peu plus clair il faudrait que je me replonge dedans.
28.02.2025 18:05 — 👍 1 🔁 0 💬 0 📌 0J'ai lu en partie ce cours qui m'a énormément aidé à saisir certaines zones d'ombres du livre de Deleuze : www.webdeleuze.com/docs/spinoza...
28.02.2025 15:53 — 👍 1 🔁 0 💬 1 📌 0Merci pour ce partage très riche et très agréable à lire. J'ai récemment (re)découvert la pensée de Spinoza et de Deleuze au travers de son ouvrage "Spinoza : philosophie pratique" suite à tes conseils, ce que je viens de lire accentue mon envie de me plonger dans l'Éthique.
28.02.2025 05:49 — 👍 1 🔁 0 💬 1 📌 0Plus j'y repense plus je me dis que c'est son meilleur film (avec Still Walking)
10.02.2025 17:07 — 👍 0 🔁 0 💬 0 📌 0À l'ouest des rails (2002) - Wang Bing
Le Chant des saisons (1996) - Franco Piavoli
Memories of Agano (2005) - Makoto Satō
Le Déjeuner sur l'herbe (1959) - Jean Renoir
Janvier 2025
01.02.2025 22:12 — 👍 0 🔁 0 💬 0 📌 0🤔
28.01.2025 00:34 — 👍 1 🔁 0 💬 0 📌 0Voci nel tempo (1996) - Franco Piavoli
27.01.2025 15:48 — 👍 2 🔁 0 💬 0 📌 0Très belle liste, ca me fait beaucoup de films à découvrir. Je savais pas que Simon Liu avait sorti un film cette année, j’avais beaucoup aimé Fallen Arches
21.01.2025 17:09 — 👍 1 🔁 0 💬 1 📌 0Content de te revoir ici
21.01.2025 06:17 — 👍 1 🔁 0 💬 1 📌 0Memories of Agano (2005) - Makoto Satō
Montrer quelque chose à l'écran, c'est aussi révéler son absence. Des espaces vides et fantomatiques où s'articulent le temps et la mémoire, le passé et le présent. Cela faisait extrêmement longtemps que je n'avais pas été autant touché par une œuvre.
C'est pour cela qu'ils aiment les blockbusters, ils sont rentables économiquement et ils y perçoivent une production technique qui demande de l'effort (dans le sens où on ressent le travail accompli). L'émotion qu'ils ressentent vis à vis des œuvres est médiatisé par l'argent
06.01.2025 22:10 — 👍 2 🔁 0 💬 0 📌 0Et ils n'ont que faire des émotions, ou alors elles doivent passer en second plan, après la productivité financière
06.01.2025 22:06 — 👍 1 🔁 0 💬 1 📌 0Pour eux, toute pratique est exercé sous le prisme de l'argent. Les pratiques culturelles sont essentiellement "gratuites" dans le sens où l'on a un rapport à un objet (une œuvre) qui n'est pas médiatisé par l'argent. La puissance de ce rapport est déterminé par les émotions que l'on ressent.
06.01.2025 22:05 — 👍 1 🔁 0 💬 1 📌 0L'éternel combat du libertarianisme, au fond ce qu'il prône c'est une uniformisation de la culture, ils la veulent soumise à la rationalisation technique et à la réification marchande.
06.01.2025 21:52 — 👍 1 🔁 0 💬 1 📌 0Mon plus grand regret de ce début d'année, c'est de ne pas pouvoir accompagner mes parents à l'avant-première du prochain film de Pierre Creton.
06.01.2025 20:05 — 👍 0 🔁 0 💬 0 📌 0Renoir X Adorno
Le Déjeuner sur l'herbe (1959)
1 - Voyage à Tokyo (1953) - Yasujirō Ozu
❤️
2 - Vive l'Amour (1994) - Tsai Ming-liang
Symbiose parfaite entre les personnages et les lieux, c’est le cinéma de l’errance que j’aime. La scène finale m’a laissé figé pendant de longues minutes.
3 - L'Intendant Sansho (1954) - Kenzi Mizoguchi
Grand film marxiste. Là où, dans La Rue de la honte, la liberté semble inaccessible, ici, la liberté de certains rend possible celle des autres.
4 - Et la vie continue (1992) - Abbas Kiarostami
La plus belle réflexion sur le travail de cinéaste, beau, humain, pur.
5 - Maborosi (1995) - Hirokazu Kore-eda
Le silence du deuil, débuter avec Maborosi ne pouvait qu’annoncer la naissance d’un cinéaste d’exception.
6 - Soy Cuba (1964) - Mikhail Kalatozov
Grande fresque politique, qui mêle une vue d'ensemble sur le peuple cubain en conservant l'intimité des personnages, le cinéaste transforme ces micro-histoires en la véritable histoire de Cuba.
7 - Grains de sable (1995) - Ryosuke Hashiguchi
À ce jour le plus beau regard et le plus juste porté sur la jeunesse, c'est à la fois d'une immense beauté et d'une terrible cruauté.
8 - Les contes de la lune vague après la pluie (1953) - Kenzi Mizoguchi
Admiratif de la manière dont il façonne les espaces par le mouvement, il établit une connexion totale entre eux, où tout se ressent et tout semble vivant : du lac à la rue, des hommes aux femmes, et du rêve à la matière.
9 - Le goût du saké (1962) - Yasujirō Ozu
Dernier chef-d'œuvre d'Ozu, une brèche s'ouvre dans le quotidien, révélant l'irruption de l'industrialisation et de la modernisation de la société. Le plus bel adieu qu'un cinéaste du quotidien pouvait offrir.
10 - La Rue de la honte (1956) - Kenzi Mizoguchi
L'espoir de femmes confrontées à la dure réalité de leur condition de prostituées dans un système capitaliste oppressant. Une liberté qui semble hors de portée. Mizoguchi est un cinéaste de la tragédie.
Petit retour sur mes 10 meilleures découvertes cinématographiques de l'année 2024
Je commence par quatre excellents films qui m'ont profondément marqué, en guise d'introduction pour la suite :
Les rebelles du dieu néon / Hipnosis Display / Les Harmonies Werckmeister / Profession : reporter
Premier top dans lequel je vois Eat The Night, les images que tu montres et la musique me donne envie de le voir
01.01.2025 22:08 — 👍 1 🔁 0 💬 1 📌 0Eureka y a une vibe Api tu vas beaucoup aimer je pense
31.12.2024 16:04 — 👍 0 🔁 0 💬 0 📌 0