Tchak - La revue paysanne et citoyenne

Sans rapport de force, pas de justice sociale.

👉🏽 C’est ce que dénonce Bruno Bauraind (Gresea).

Il décrit un patronat qui ne craint plus la grève, un pouvoir politique sourd aux mobilisations et des syndicats pris au piège d’un « dialogue social» qui neutralise la colère.

tchak.be/index.php/20...

Des visages. Des histoires. Des luttes. Notre nouveau n° revient sur une trentaine d'enquêtes à travers 9 interviews, pour faire germer une autre société.

On y fait aussi le point sur notre coopérative de presse. On a de quoi vous convaincre de nous rejoindre 😉.

tchak.be/index.php/20...

Tchak - Notre manifeste Tchak pratique un journalisme combatif et fertile. Ou encore transformatif, comme le nomment des chercheur·euses. On vous explique ça dans notre manifeste.

Notre média s'inscrit dans un journalisme combatif et fertile, qui refuse la neutralité tout en défendant la rigueur.

Pour nous, journalistes, c’est une boussole et un garde-fou. Pour vous, lectrices et lecteurs, c’est un contrat de confiance.

On vous détaille ce nouveau #manifeste ici ⤵️

Les sangliers, plaie des champs ? – Tchak En Wallonie, le sanglier occasionne de plus en plus de dégâts dans les champs. Entre exaspération et causes, Tchak fait le point.

Faut-il multiplier les battues ? Repenser l’agriculture ? Mettre fin au nourrissage ? Redonner sa place aux prédateurs naturels ?

Un dossier éclairant, à lire en accès libre dans Tchak. tchak.be/index.php/20...

Bref, parler de sangliers en surnombre, c’est oublier que leur surpopulation est d’abord le reflet de nos choix agricoles, cynégétiques et celui d'un réchauffement climatique dont nous sommes responsables.

Le nourrissage, autorisé dans certaines zones, devait à l’origine cantonner les sangliers en forêt. En réalité, aujourd'hui, il renforce leur survie et leur reproduction, alimentant une chasse-business très lucrative.

Jusqu'aux années septante, c'était une espèce assez rare. Ce qu'on a fait:

👉 Disparition des prédateurs (loups, lynx).
👉 Des hivers plus doux avec le réchauffement climatique, des forêts gorgées de glands et faînes.
👉 Des champs de maïs et colza devenus garde-manger.

Ce n'est pas tout ⤵️

« Quand je vais chercher les vaches à 5 heures du matin, les sangliers sont dans le pré, à 20 mètres, sans bouger, ils n’ont plus peur ».

Les sangliers, plaies des champs ? Pour Nicolas André, agriculteur à Manhay, certainement.

Mais le vrai problème, ce ne sont pas les sangliers, c'est nous. ⤵️

Florin Meijer, jeune vétérinaire installée en Province de Luxembourg, prépare son matériel pour une césarienne. © Gaëlle Henkens

Certain·es rêvent de devenir vétérinaires. Florin Meijer, elle, est passée à l'acte. Elle bosse en Province de Luxembourg. Une vie à cent à l'heure. De ferme en ferme, de vêlage en vêlage, la jeune femme tisse du lien. Avec les animaux, mais surtout entre les humains.
tchak.be/index.php/20...

Pour commander notre numéro, rendez-vous ici : tchak2.odoo.com/bienvenue

Même pour une entreprise persuadée que le secteur de la pêche doit se transformer, le poisson durable est une quête infinie. Exemple avec le grossiste Pintafish avance à tâtons, main dans la main avec sa clientèle, mais sans laisser ses objectifs partir à vau-l’eau. (4/5)

Le secteur préfère ne pas faire de vagues et se concentrer sur la défense du chalut à perche, l’engin de pêche favori du royaume. Un engin qui racle les fonds marins, même dans les aires protégées. Scientifiques et associations invitent pourtant à nuancer les impacts de la pêche locale. (3/5)

Impératif préalable : obtenir un maximum de quotas de pêche. À moins de miser sur un autre filon : cibler des poissons sans quota, puis les surpêcher en toute impunité. Les sennes démersales françaises et surtout néerlandaises sont ainsi en train de piller les eaux atlantiques. (2/5)

Cap vers #Ostende pour cette nouvelle enquête de la revue Tchak (hiver 24-25) soutenue par le Fonds pour le journalisme.

‪🐟 En 20 ans, le nombre de navires de pêche belges a fondu de moitié. Pour accéder aux ressources marines, les bateaux qui subsistent sont de plus en plus imposants. (1/5)