Il effleure tes cheveux
Ce mot silencieux

Parcourant ta peau
Descendant ton dos…

Ce baiser incandescent,
Déposé par mes lèvres
À la surface de tes rêves,
Garde-le tout contre toi

Car quand viendra l’hiver
Il te protègera du froid

#ombres

Me perdre
Encore

Me perdre
À jamais

Sur ce chemin d’or
Au parfum sucré

Celui de ta peau
Aux mille trésors
Cachés

Sur la courbe
De ton dos

Embrasser
Le secret
De ta féminité

Puis glisser
Mes lèvres
Dans le creux
De ton cou

Pour y déposer
Un baiser

Elle brûle
Le ciel de ma pensée,
La lumière de ton sourire

Elle éclaire
Les endroits en moi cachés
La clarté de ton rire

Parle-moi,
Parle-moi encore,
Embrasse mes aurores

Tu es apparue,
Je t’ai reconnue
Et la fleur de ton charme…

…M’a jeté un sort

Printemps sans #ombres
Cri au soleil
Et dansent les verts dans les arbres,
La douceur du ciel

« Imagine l’étendue des déserts en nous, si l’on pouvait ensevelir sous le sable nos souffrances ?

— Oui, mais dans ces déserts là, poussent aussi des oasis où fleurissent nos plus beaux espoirs »

#ombres

Ô le doux exercice

Boire au calice
De tes lèvres

Pour que nos rêves
Dans un baiser
S’unissent

Pour que nos âmes
Passionnées
Puissent se déverser

L’une dans l’autre

Nul besoin de mots,
Nul besoin de sons

Seul compte le souffle
De notre passion

#ombres

Nous naissons affamés

Mais serons-nous un jour rassasiés ?

Le désir nous pousse
Vers ce qui nourrit,
Vers ce qui fait vibrer
Notre chair et notre âme

Si l’on glissait un bandeau,
Sur les yeux du désir…

Qui serions-nous, vraiment ?

#ombres

Paré
De son pelage superbe,
Au rouge étincelant

Caché
Dans les hautes herbes,
Patiemment il attend

Un signe
Un mot
Un verbe

De toi

Une caresse
À la surface des herbes,
Un murmure dans le vent

Elle rugit,
La déferlante,
Emportant
Mon esprit,
Dans le tumulte
De sa mélodie,
Obsédante

Il suffit
D’une pensée,
Par ton souvenir
Effleurée,
Et te voilà,
Qui me hantes

Si je suis
Ainsi perdu,
Malmené
Par les flots,
C’est que je suis
Loin de ta peau,
À la chaleur
Enivrante

Il faudrait essayer d’être heureux ne serait-ce que pour donner l’exemple.

Jacques Prévert

Une trace de douceur, posée sur les contours du soir

Le jour passe mais il n’efface le souvenir de ta peau et sa chaleur

Ton rire est toujours là, il sèment ses graines de joie et de bonheur

Flirter avec les fantômes de la nuit, est-ce interdit ou est-ce une erreur ?

Elle rugit,
La déferlante,
Emportant
Mon esprit,
Dans le tumulte
De sa mélodie,
Obsédante

Il suffit
D’une pensée,
Par ton souvenir
Effleurée,
Et te voilà,
Qui me hantes

Si je suis
Ainsi perdu,
Malmené
Par les flots,
C’est que je suis
Loin de ta peau,
À la chaleur
Enivrante

Elle l’aimait
En pointillé…
Car elle n’était pas
À une virgule près

Ses interrogations
Restaient en suspens
Alternant,
Entre oui et non

Lui l’aimait,
Sans ponctuation,
Évitant de tirer un trait
Sur leur relation

Essayant d’écrire
À sa façon,
Entre elle et lui
Un trait d’union

Suivre le chemin

Il serpente entre les hautes montagnes, empruntant le chemin des crêtes

Il traverse une forêt sauvage, guidé par le chant d’une rivière

Sinueux et imprévisible il est parfois semé d’obstacles

C’est le chemin qui mène à toi

Arriverai-je à destination ?

« À quelle source les étoiles puisent-elles leur lumière ?
- À la même source que celle de tes rêves, d’ailleurs la même lumière souligne la courbe de tes lèvres, vois-tu les étoiles nous parlent et leurs mots sont des graines semées dans l’obscurité, alors je t’en prie : parle-moi encore… »

Laissons-nous étreindre
Par la douceur du soir,
Il n’y a rien à craindre
À démarrer notre histoire,
Il suffit de fermer les yeux
Il suffit d’y croire
Et de glisser peu à peu
Vers le bonheur silencieux
Où s’envolent nos rêves
Lorsque se joignent nos lèvres
Dans la douceur du soir

Combien de bouquets de roses, aux épines tachées de sang, se cachent derrière un regard mystérieux ?

Est-ce cette dimension cachée, ce repli de l’âme, que l’on nomme « Beauté » ?

Ton potentiel est une boule lumineuse : il éclaire quiconque s’en approche mais nul n’en connais le cœur, même toi.

Tu doutes parfois de tes qualités pourtant, si tu gardes confiance en toi, ton potentiel te guidera vers la plus belle des destinations : l’accomplissement de soi

Sur cette plage
Les vagues rugissaient
Le paysage frémissait
Tandis que le vent
Passionné
Emportait au loin
Tes pensées

Parfois on est perdu
Parfois on ne sait plus

Alors, le chaos
Nous embarque
Avec lui,
A bord d’un radeau
Sur lequel nos vies
Peuvent chavirer
Et sombrer
À tout moment

#ombres

Que dois-je faire désormais,
De mon amour pour toi ?

Il me fait mal et s’agite
À l’intérieur de moi

Il n’avait aucune limite
Et désormais il a froid

Je ne parviens pas à lui dire
Que tu es partie loin de moi

Car vois-tu,
Il ne me croirait pas

Alors que faire de lui,
Dis-moi ?

Crois-tu que les étoiles, la haut, brillent pour éclairer nos destinées ?
Sans elles, nous serions dans le noir le plus complet.
Elle sont source de vie et de joie et sans elles je ne t’aurai pas rencontré.
Alors même si elles semblent éloignées, vois-tu, je ne peux que les aimer

#ombres

La quête a été rude mais je la vois enfin se clore

Car si celle que j’aime est partie, pourquoi donc aller plus loin ?

3/3

J’ai bu tous les vins, puisant dans chaque amphore

Et désormais je cherche le repos, éternel et serein

Car elle est partie, ma douce, mon Eleanore

Emportant avec elle mes rêves d’azur et d’ors fins

2/3

Que le monde retire sa robe de pourpre et d’aurore

Qu’il se montre nu, tel qu’il est sans rien

Que ses joyaux tombent du ciel tels des météores

Qu’il mette un genou à terre et me prenne dans sa main

1/3

Ce que je ressens pour toi est un océan, à sa surface j’essaie d’apprendre à nager

Ce que je ressens pour toi est une rivière, en elle je me laisse emporter

Ne me réveille pas, car dans le flot de mes rêves, c’est vers toi que j’essaie d’aller

Rouges
Sont les silences
Qui parcourent ta peau,
Effleurant l’intense
Ils remontent ton dos

Puis,
Dans une dernière danse
Ils viennent mourir
Sur ta bouche,
Aux reflets farouches,
Et à la grâce d’un coquelicot

Il y a tellement d’écueils dans l’âme, tellement de lames dans l’œil, lorsque l’on cueille les fleurs du passés, au parfum à jamais évaporé

#ombres

Il y a le vent, qui caresse la dune qui borde ta sensualité

Il y a la nuit, d’où jaillit la lune qui embrasse ta bouche d’un éclat argenté

Il y a la grâce, qui partout nous enlace et emporte nos âmes égarées

Dis-moi, la beauté est-elle l’issue, où sommes nous perdu, à jamais ?

#ombres

Écrire là, où ailleurs, sur un carnet, avec un vieux stylo, sur X, Bluesky ou Twitter

Qu’importe puisque ce que l’on écrit on l’écrit avec le cœur…

#ombres

#ombres