Célian Macé

Une centaine de gangs criminels opèrent actuellement dans le nord-ouest du Nigeria, comptant près de 30.000 membres, selon le Centre pour la démocratie et le développement, un institut de recherche basé à Abuja. 4/4 Reportage à lire ici dans @liberation.fr 👉 www.liberation.fr/internationa...

«La police n’a pas les moyens d’intervenir, ils sont moins bien armés que les bandits. On les prévient, mais on sait que ça ne sert à rien. Ils nous conseillent eux-mêmes, officieusement, de payer», m'avait expliqué un cultivateur, dont le fils a été enlevé en octobre 2021. 3/4

Les enlèvements contre rançon sont un fléau national – et aujourd’hui la première source d’insécurité du Nigeria en milieu rural, en particulier dans le Nord-Ouest. En mai, je suis allé à la rencontre des familles victimes de kidnappings dans l'Etat de Sokoto, voisin de Zamfara. 2/4

#Nigeria Dans l'Etat de Zamfara (nord-ouest), des "bandits" ont tué 33 personnes originaires du village de Banga, qui avaient été kidnappées en février, malgré le paiement d'une rançon de plus de 30.000$, a relaté hier l'AFP. Ces derniers jours, 18 autres otages de Banga ont été libérés. 1/4

Pas de @liberation.fr dans les kiosques aujourd'hui (grève des imprimeurs) mais la série "100% leurre" du cahier d'été est aussi accessible en ligne: rencontre à Lagos avec les Yahoo Boys, petits princes nigérians de l'arnaque en ligne: www.liberation.fr/plus/speciau...

Il est question de criminels cachés dans la forêt, de convoitise généralisée sur les terres agricoles, de justice bafouée, de miliciens armés à la va-vite, d'absence de réaction de l'Etat, de fracture ethnique. A lire dans le @liberation.fr du jour 👉 www.liberation.fr/internationa...

La commune de Gwadabawa, dans l'Etat de Sokoto (nord-ouest), a connu une flambée de violences, comme des centaines d'autres localités nigérianes. Ce n'est qu'un exemple limité (chaque région a ses spécificités) mais j'y ai passé une semaine, en mai, pour tenter de comprendre les causes de la crise.

Les auteurs sont qualifiés de "bandits", parfois de "groupes peuls", les violences labellisées comme des conflits "agriculteurs-éleveurs" ou "intercommunautaires". Les dynamiques sont souvent mal comprises - dans les médias occidentaux, qui du coup les ignorent- et parfois même à Abuja ou Lagos.

Ces dernières années, les zones rurales du #Nigeria (dans le centre et le nord du pays) sont le théâtre d'attaques extrêmement meurtrières. On parle de milliers de victimes chaque année. Davantage que celles des jihadistes de Boko Haram.

«C’est une histoire d’espoir brisé» : au Sénégal, comment le groupe minier français Eramet croque la Grande Côte Pour l’extraction de son précieux sable minéralisé, la multinationale déplace depuis 2014 des villages entiers et avale des terres agricoles, laissant derrière elle des communautés amères et inquiètes...

#Senegal Déplacements de villages, indemnisations au rabais, pertes de revenus agricole, pollution... l'enquête de @faivragnes.bsky.social sur les pratiques douteuses du minier français Eramet @liberation.fr www.liberation.fr/internationa...

Loin des combats, Port-Soudan, la capitale bis, «explose car elle est sous-dimensionnée» Depuis le début de la guerre, le gouvernement soudanais s’est replié dans cette ville côtière, aujourd’hui submergée par l’afflux de déplacés.

#Soudan Reportage à Port-Soudan, où le gouvernement s'est replié depuis le début de la guerre. La ville des bords de la Mer Rouge croule sous l'afflux de déplacés. @liberation.fr www.liberation.fr/internationa...

Un commandant libyen recherché par la CPI brièvement arrêté puis relâché par l’Italie Ossama Najim, dit Almasri, est visé par un mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale pour «crimes de guerre» et «crimes contre l’humanité». Il a pourtant été rapidement libéré et renvoyé à Tripo...

Mon interprétation est que le gouvernement Meloni a libéré Osama Najim pour eviter les problèmes que son arrestation et extradition auraient créé pour l'Italie à Tripoli, j'ai dit à @celianmace.bsky.social @liberation.fr.
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Guerre au Soudan : à Sinja, «les paramilitaires sont venus pour prendre tout ce qu’ils pouvaient prendre» Première capitale régionale reconquise par l’armée régulière, le 23 novembre, la ville reste traumatisée par les cinq mois d’occupation par les troupes paramilitaires du général Hemetti, entre vols, v...

#Soudan Reportage à Sinja, 1ère capitale régionale reprise par l'armée régulière: les rares habitants sur place racontent les cinq mois d'occupation (et de pillage généralisé) des RSF du général Hemetti. @liberation.fr www.liberation.fr/internationa...

L’armée soudanaise pénètre dans Wad Madani, après un an d’occupation brutale par les troupes de Hemetti L’armée régulière a annoncé ce samedi 11 janvier être entrée dans la capitale de la Jézira, une région marquée par les exactions commises par les paramilitaires des RSF et une campagne de déplacements...

#Soudan L’armée régulière annonce avoir repris Wad Madani, la capitale de la Jézira - un tournant dans la guerre. Fin 2024, j'ai rencontré quelques-uns des habitants de cette région, victimes d'une campagne de déplacement forcé menée par les RSF. @liberation.fr
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Dirrma, le ponte funèbre du Soudan Dans son cimetière de la capitale, le fossoyeur n’en finit plus de creuser la terre pour inhumer les victimes de la guerre.

#Soudan Portrait du fossoyeur du plus grand cimetière d'Omdurman, la ville jumelle de Khartoum: Dirrma, ponte funèbre du Soudan @liberation.fr www.liberation.fr/portraits/di...

«Au Mali, le discours souverainiste des militaires a soulevé une vague d’espoir sans précédent depuis les années 90» Le chercheur Jean-Hervé Jézéquel, de l’International Crisis Group, décortique la doctrine souverainiste portée par le régime militaire malien, son origine, ses effets et sa popularité.

Sur @liberation.fr, itw de @jhjezequel.bsky.social (@icg-sahel.bsky.social) sur le souverainisme porté par la junte malienne. D'où vient cette doctrine en vogue au #Sahel ? Pourquoi est-elle populaire? Quelles conséquences militaires, diplo, financières? Eléments de réponses ici 👉 urls.fr/u4BH5d

En Mauritanie, le «casse-tête» humanitaire de l’accueil des réfugiés et de leur bétail La grande majorité des 280 000 Maliens qui ont passé la frontière ont trouvé refuge, avec leurs troupeaux, dans la région désertique du Hodh el Chargui, accentuant la pression sur l’eau et les pâturag...

La plupart ont trouvé refuge dans la région du Hodh El Chargui. Ils sont souvent venus avec leur bétail. Les Mauritaniens et les ONG s'inquiètent de la forte pression sur les pâturages et surtout sur l'eau, qui manque cruellement dans cette zone désertique.
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Au Mali, les mercenaires de Wagner «tuent sans distinction» En Mauritanie, «Libération» a recueilli les récits d’une quinzaine de villageois ayant subi ou assisté aux exactions commises par les mercenaires russes, alliés à l’armée malienne.

"L’incendie et la peur nous ont fait déguerpir comme des animaux": dans les camps de réfugiés en #Mauritanie, @liberation.fr a rencontré des Maliens qui racontent les exactions des mercenaires de #Wagner, alliés de l'armée malienne.📸@dcoreraphotography 👇
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