🤪

Quand tu te prépares pour l’hiver

Plutôt dans le gaz lacrymogène

Pas besoin de courir, avance à ton rythme,
Laisse-toi le temps, tu atteindras le sommet sublime.

Et suis moi comme avant

De l’émoi vibrant à l’entre-soi tendre,
Mon moi se redresse, refusant de se rendre à mon soi.
Mais grâce à toi j’entends un chant du cœur, je retrouve des couleurs jusqu’à retrouver mon soi et mon moi juste pour toi.

Je crie de l’émoi pour venir en toi.
Là où l’intime s’abrite, le silence s’invite et les murmures s’enlacent.
Le temps se délite, nous effritent comme les couleurs de cette toile…une seule envie fuir de moi.

Heureux de te lire et de te revoir

Non aux ricochets, grève des galets

Galets en greve !
#ÇaVaTropLoin

« A non c’est pas ça » 😂😂🤣

J’appelle le room service 😉

N’aie pas trop chaud non plus je te rappelle que la bouteille roule donc vide 😂

Nos ombres dansaient sur le mur, le soleil se couche. On leva nos verres avec un sourire complice : "À nous, à cette nuit." Les rires devinrent murmures intimes. La bouteille roule au sol, oubliée. Dehors, la nuit tombe, mais ici, le tourbillon de caresses promettait une douce soirée.

Excellent programme 😉

ou un mot qui fait chavirer. Chaque contour, chaque mouvement, exhale une promesse de douceur et de feu, un appel irrésistible à s'approcher, à découvrir….

Mon menton semble te séduire, un point d'ancrage qui attire les regards, promettant des secrets murmurés. Et ma bouche... oh, ma bouche est une tentation incarnée. Ses lèvres, pleines et subtilement ourlées, dansent avec une sensualité naturelle, prêtes à s'entrouvrir pour un sourire ravageur

Canon

Peu importe le contenu, ça brûle.
Sous un regard ravi, tout s’écroule.
L’envie est là fiévreuse, vorace.
Un jeton claque, le jukebox s’embrase.
Il nous enchante, ce rythme effréné.
La nuit nous happe, on s’enlacent pourquoi le préciser
Nous, on revis jusqu’à se consumer à jamais.

Et quand l’aube viendra caresser nos silences.
Je glisserai encore en toi.
Pour que ce drap, témoin se prélasse et qu’il retrouve son chemin comme une envie revenir au prémisse pour vibrer encore et encore dans ces abysses.

Mes doigts tracent les envies sur ton ventre qui frissonne.
Ton regard, un brasier, m’ordonne de plonger.
Dans l’abîme de toi, où je veux m’immiscer.
Laisse-moi t’emporter, là où le temps se suspend.
Où on s’enlacent, où nos corps se terrassent.
Chaque soupir que tu lâches rallume, l’envie.

Ton souffle s’entrelace au mien, une danse sans fin.
Le drap glisse plus bas, effleurant l’interdit.
Ta peau murmure des promesses que mes lèvres devinent.
Chaque courbe, un appel, chaque frisson, un cri.
Je m’attarde là où ton corps s’abandonne.

Pareil on doit être saint d’esprit je vois que ça

N’hésite pas vois large 😂🤪

Il reste un créneau en fin de journée

Voilà en précisant l’âge

Si je me remets à l’écrire en plus on est mal 😭

Enlève « petite fille »alors

Sans fin

Une réponse à la Jean Luc Lahaye 😅😂😭