Implications philosophiques

faire une marque de fierté. (2/2)

Au-delà des politiques du visible : vers une politique de la désorientation femme Par Justine Perron.

Les personnes queers sont marginalisées à cause de leur orientation sexuelle, de leur identité de genre et parfois en raison de leur apparence « hors-norme » (leur expression de genre). Certains individus queers se sont donc réappropriés cette esthétique stigmatisée afin d’en (1/2)

Recension – Le consumérisme à travers ses objets. Gobelets, vitrines, mouchoirs, smartphones et déodorants Par Jérémy Ollivier.

Recension. Le livre de Jeanne Guien, philosophe française, paru aux éditions Divergences nous propose un exercice d’attention face à des réalités ordinaires que souvent nous ne regardons plus, permettant de saisir les dimensions fondamentales de la culture du consumérisme.

à tous les vivants, animaux et végétaux, désormais ? (2/2)

Le véganisme : le régime de la mort de Dieu Par Valentin Husson.

Quel sens donnons-nous à la mort ? Quel sens donnons-nous à la mort, singulière, du vivant ? Plus redoutable encore, quel sens donnons-nous à la vie souffrante et son possible anéantissement, cette vie que l’Occident considère comme sacrée, sacralité qu’elle tend à étendre (1/2)

parfois constituer une façon efficace d’éclairer les limites de l’ordre établi. Ainsi, c’est la tradition libérale elle-même qui exigerait qu’on désobéisse à la loi dans certains cas. (4/4)

Compte-rendu critique – Le Devoir de résister : Apologie de la désobéissance incivile Par Xenophon Tenezakis.

Candice Delmas démontre dans cet ouvrage que nos devoirs politiques impliquent non seulement un devoir d’obéissance, mais également un devoir de résistance à des lois injustes, et ce qu’on prenne la base du devoir naturel de justice, le devoir du bon samaritain, le principe d (1/4)

et rendent raison de ce milieu : plus que de simples pensées, ce sont donc toujours déjà des connaissances. (2/2)

Recension – La connaissance des autres Par Camille Lopat.

Dans cet ouvrage, Frédéric Fruteau de Laclos part de l’intuition « que les gens pensent, qu’ils ne sont pas idiots ». La « pensée des gens », remarque-t-il, « fait système ». Les idées que nous formulons sont, selon lui, relatives, voire dépendantes de notre milieu (1/2)

politique les êtres vivants non-humains réduits depuis « quatre ou cinq siècles » à « des lois déterministes, mécanistes et passives ». (2/2)

Compte-rendu critique – L’inexploré Par Laurent Riou.

L’inexploré de Baptiste Morizot pointe la responsabilité de la Modernité naturaliste galiléo-cartésienne dans la « crise écologique systémique » et les « métamorphoses environnementales » contemporaines. Ces bouleversements soulignent la nécessité de faire entrer en (1/2)

de la question du réalisme : est-il possible de connaître la « chose en soi », suivant la célèbre expression kantienne, c’est-à-dire la réalité telle qu’elle existe indépendamment de toute expérience possible, de toute conscience ? (2/2)

Compte-rendu critique – Le désir du réel dans la philosophie québécoise Par Guillaume St-Laurent.

Le dernier ouvrage de Pierre-Alexandre Fradet cherche à faire état de l’originalité avec laquelle certains philosophes québécois – Charles De Koninck (1906-1965), Thomas De Koninck (1934-), Jacques Lavigne (1919-1999), Charles Taylor (1931-) et Jean Grondin (1955-) – traitent (1/2)

philosophie, de l’art et de la politique. En cela, Les lois de l’esprit constitue un livre très original, un livre non pas systématique, mais de réflexion et de combat. (3/3)

son propos va bien au-delà. Il s’agit de confronter les argumentations de Benda à des problématiques très actuelles : le succès, dans la philosophie française et mondiale, du relativisme et du scepticisme ; la place de la raison et de la vérité dans les champs de la (2/3)

Compte-rendu critique - Les lois de l’esprit, Julien Benda ou la raison Par Jean-Baptiste Le Bohec.

Les lois de l’esprit de Pascal Engel, qui vient d’être réédité, n’est pas une monographie sur l’un des plus célèbres des penseurs oubliés, Julien Benda. Même s’il présente l’intérêt de ne pas s’arrêter au Benda polémiste et de prendre au sérieux sa philosophie, (1/3)

paradigme de compréhension. (5/5)

cadre et de lutte de reconnaissance, l’article cherche à comprendre les facteurs et les raisons de tels actes. Dans quelle mesure peut-on considérer que le cadre est un facteur d’explication des actes méchants ? Pourquoi de tels actes pourtant condamnés sont-ils choisis par (3/5)

Agir méchamment pour être reconnu. Une compréhension relative des actes méchants Par Yoann Malinge.

Cet article cherche à comprendre les actions méchantes en situation. Il s’agit d’abord d’examiner l’analyse selon laquelle les actes méchants sont causés par un principe de méchanceté immanent aux agents. Puis il convient d’envisager le jugement moral sur les actes (1/5)

victimes. (2/2)

Une analytique du « pire que mal »: Entretien avec Pierre-Henri Castel sur son livre Pervers, analyse d’un concept Par Castel, Malinge.

Cet entretien aborde les éléments principaux du livre de Pierre-Henri Castel, Pervers, analyse d’un concept. Il traite de la méthode philosophique de l’auteur, une analytique du « pire que mal » qui permet de comprendre les personnes perverses dans leurs relations avec leurs (1/2)

Appel à contributions pour la direction de dossiers d'articles - Implications philosophiques Appel à contributions pour la direction de dossiers d’articles Revue Implications philosophiques   Chères et chers collègues, La revue Implications philosophiques lance un appel à contributions pour l...

Nouvel appel pour la direction de dossiers d'articles dans la revue Implications Philosophiques : www.implications-philosophiques.org/appel-a-cont...

... pour intégration des articles à OpenEditions, nouvelles recensions et comptes-rendus critiques, bilan et perspectives du Podcast, ainsi que de nos pages Linkedin, Bluesky, Instagram et Facebook.

Toute l'équipe d'IP vous remercie de votre fidélité.

Dernière réunion en ligne de la saison avant l'été pour l'équipe de Implications philosophiques avec Alice, Davide, Etienne, Florian, Guillemette, Héloïse, Madéni, Marie-Lou, Rémi, Samuel, Tess, Yoann.

Au programme : annonce des prochains dossiers à venir, articles, formations au logiciel Lodel...

commune est de renvoyer à une condition antonyme à l’autonomie, à un répertoire large de situations de soumission aux circonstances ou à l’autorité. (2/2)

L’« Autonomie des Migrations » : une perspective sur le sujet politique non-national Par Alison Bouffet.

La problématisation du rapport entre volonté et contrainte est au cœur de la représentation et de la construction des catégories d’appréhension des mobilités internationales. L’étude des migrations se confronte en effet à des catégories multiples dont une caractéristique (1/2)

-duelle – de l’ordre de « l’intériorité transcendantale », désindexée de tout moi – que se révèle ce dont la figure du méchant est l’avatar : l’obscur en soi. (5/5)

cet égard la puissance du méchant consiste, par son œuvre de déconstruction, à l’affranchir de son unilatéralité et de sa détermination, c’est-à-dire de la dualité même entre bien et mal. La seconde partie de l’article déploie cette perspective à travers la mystique du (3/5)

L’obscur en soi : la non-dualité du principe Par Alexandre Couture-Mingheras.

Pourquoi le méchant nous fascine-t-il autant ? Sans doute parce qu’il nous conduit au bord de l’abîme, par-delà l’image normée et policée du monde et en-deçà du sens de notre propre identité, restituée à son étrangeté. En prenant pour point de départ la perspective non (1/5)

lesquelles les personnages peuvent être qualifiés de méchant et ce que cette position révèle ontologiquement. (2/2)