Home Again
02.08.2025 06:39 — 👍 0 🔁 0 💬 0 📌 0@eden-utopia.bsky.social
Au creux de ton épaule, je brandis mes logorrhées performatives. https://eden-utopia.com
Home Again
02.08.2025 06:39 — 👍 0 🔁 0 💬 0 📌 0Musique !
biosphere.bandcamp.com/album/the-wa...
Se dissimuler sous l'acriture, une chimère ...
eden-utopia.com/2025/07/24/5...
Musique !
www.benzinemag.net/2025/07/16/p...
Puis l'homme se laisse aller à nouveau à la rêverie. Il parle de ce qu'il aime, de la route d'Ankoboer, la montagne du pays tchertcher, la ville secrète d'Antotto... Il rêve tout haut de Harrar, du ciel bleu et glacé de l'hiver. Et sans transition, il est à Roches ...
JMG Le Clézio - La quarantaine
le grain perdu de la peau, au contact de l’eau
eden-utopia.com/2025/07/05/5...
Blonde Redhead et Madonna, chœurs avec les doigts lesjours.fr/obsessions/f...
06.07.2025 14:42 — 👍 0 🔁 0 💬 0 📌 0Un mouvement qui te décolle du sol, une odeur chaude contre laquelle on allait se blottir, se réfugier, les lumières affolées de la nuit, tu t'en souviens, le serment, le dément ...
eden-utopia.com/2025/06/25/b...
Liberté chérie qu’il faut aller gagner ; en courant vers elle, en fuyant vers elle, on trouve d’abord les premiers paliers, étroits, inconfortables mais, allez, il faut y aller ; aux premières goulées, respirer, c’est le chemin, esclave/liberté, la seule vérité !
15.06.2025 16:28 — 👍 1 🔁 0 💬 0 📌 0Il fallait urgemment changer, s’occuper du reste, ne plus me laisser démonté dans l’établi, me réparer, me rattraper avant qu’il ne soit trop tard.
13.06.2025 11:21 — 👍 0 🔁 0 💬 0 📌 0A l’époque, je m’étais résolu à définir une trajectoire, des amis, des ennemis, des objectifs, je m’y étais tenu. J’étais parti à la bataille qui me déterminait, j’avais compris qu’il n’y avait d’autres choix, sinon c’était mourir à petit feu, le chemin le plus court pour l’abandon, la disparition.
12.06.2025 06:00 — 👍 0 🔁 0 💬 0 📌 0Avancer dans le noir, c’est mon secret.
Si j’ai trébuché, cette fois-ci encore, j’ai trouvé le débouché.
Je ferai mienne – je le fais déjà- la leçon d’Amalfitano, celle dont je te parlais tout à l’heure : « ce qu’il y a de plus important au monde, c’est de lire et de voyager, peut-être la même chose, sans jamais s’arrêter. » Amalfitano, le crois-tu, il le fait encore.
28.05.2025 21:53 — 👍 0 🔁 0 💬 0 📌 0... les petites rivières enfouies, cachées, je les ai reconnues, je suis en train de les emprunter ...
27.05.2025 06:00 — 👍 0 🔁 0 💬 0 📌 0J'ai dit "Eh ! amour"
Pourquoi le rêve passe
Mauser, Beretta
Voilà donc les seuls camarades
Laisse tomber elle m'a dit
Tu me files les pétoches
Redeviens léger léger
C'est en plume que je t'adore
JLM in « le revolver nommé désir » (2003)
J’essaie d’élargir le champ de l’écriture, de prendre ma lanterne, d’y aller tant bien que mal, à l’explore. Je voudrais ajouter plus d’odeurs, du vivant, du piment, des paysages aussi comme la lune et le vent, et les nuages qui vont passant...
18.05.2025 10:25 — 👍 0 🔁 0 💬 0 📌 0Je suis allé voir à l’étage et j’aimerais y rester, Ana, produire plus fort, battre le fer. Bien sûr, tu seras là, la grotte où je me réfugie c’est toi, le ventre chaud, la feuille blanche. Mais je voudrais graver sur la pierre des formes profondes, me coltiner le dur, affronter le vent de face.
17.05.2025 08:08 — 👍 0 🔁 0 💬 0 📌 0Un jour, tu y reviens à l’État de K. Tu es là depuis 15 jours déjà, à réviser les fondamentaux, enchainer les embrassades, chaleur & vents, rires & chants. Un matin, après une longue nuit, une énième soirée à convoquer l’enfance, déployer les cartes, rejouer combats & amertumes, tu te réveilles.
16.05.2025 07:01 — 👍 1 🔁 0 💬 0 📌 0 "S’habiller, manger, toutes ces misérables petites choses,
Qu’il faut répéter de jour en jour"
Léon Trotsky – Barbizon (France)- 1934
Dans le silence et l’obscurité, je m’engage à tâtons, en le dissimulant sauf en ces lignes discrètes, jetées à la volée, indéchiffrables pour qui ne sait, je m’engage, disais-je, à proposer pour cet été un nouveau serment de K, dix ans après le premier, qui m’avait pas mal réussi, c’est vrai.
06.05.2025 06:39 — 👍 0 🔁 0 💬 0 📌 0Qu’y puis-je, moi, que l’on consulte, au quartier général de ce fatras, qui aimerait tant verser dans tes bras d’Orient, le désert froid, le narghilé, m’oublier, chérir les miens, les tiens, les protéger ?
eden-utopia.com/2025/04/17/c...
J'espère bien aussi voir arriver mon repos avant ma mort. Mais d'ailleurs à présent je suis fort habitué à toute espèce d'ennuis; et si je me plains, c'est une espèce de façon de chanter.
Arthur Rimbaud - Aden - 10 juillet 1882
Te rappelles-tu l’enfant de la lionne de K. Il était beau, dormait sur la plage, le matin passait entre les sun-bed, quêtant la monnaie, hébété, encore endormi, parfois nous oubliait, nous souriait et s’en allait.
25.04.2025 17:11 — 👍 1 🔁 0 💬 0 📌 0Jean-Jacques B. enfourche sa moto. Derrière lui, 70 Milliards de vie. Que l’on connaît, qui nous accompagnent. Et puis toutes celles que l’on ne connaît pas. #stranglers
eden-utopia.com/2025/04/17/e...
Il me faut réinstaller l’atelier sur la place du marché, poser là mes atours, mes belles paroles, mes belles idées, cette trajectoire que je veux mienne, la briquer & la montrer aux passants, développer mes arguments, palabrer, m’enivrer de mes emportements.
eden-utopia.com/2025/04/07/b...
On y revient toujours à celle-là !
deafcenter.bandcamp.com/track/yet-to...
Ouvrir un nouveau chant, qu’il me rende à nouveau confiant en l’avenir. Savoir que derrière ce fatras, ce chant incohérent de l’anachorète, j’exprimais surtout liberté & amour, je fanfaronnais. Qu’y puis-je, moi, si les chants d’amour sont moqués, il faut pourtant bien les continuer.
11.04.2025 06:18 — 👍 0 🔁 0 💬 0 📌 0J'ai rêvé que les S étaient réunis. D allait passer un "bac cuisine" pour après. H & JJ se sont embrouillés avant le rappel, mais pas grave, ils allient nous envoyer des photos. C'était bien, très bien, un moment magique, peut-être en acoustic; on était quelques uns. Jet jouait du tambour debout.
10.04.2025 06:33 — 👍 2 🔁 0 💬 0 📌 0