Itenarasa

Photo at home. Sur une mini table basse ronde, un mini plateau sur lequel est posé une tasse de café. Debout, un livre La dernière tentation de Judas de Philippe Battaglia (titre en capitale jaune). En arrière plan, partie de bibliothèques pleines de livres. Un bout de panier à chat aussi.

Sur tablette de train, photo d'un livre ouvert et de son marque-page aux couleurs azulejos, inscription Porto dessus (cadeau de mon collègue Ludo). (on aperçoit aussi une petite bouteille d'eau en plastique et la partie basse d'une canette)

Lecture en cours & qui me tient compagnie durant les looongues heures de train vers les Utopiales (j'en peux plus, encore 1h) :
La dernière tentation de Judas de Philippe Battaglia.
C'est irrévérencieux, parfois désopilant & un peu inquiétant. Bref 100 pages lues, ça me plaît
#lectureSFFF
#utopiales

Ah oui, j'oubliais, ça manque aussi de terrain, je veux dire de scènes ds les tranchées, c'est 1 peu pas mal Capitale centrée, malgré des missions amenant de courtes scènes d'action.
En tout cas, 1 série plaisante, qualitative, fr, à ne pas bouder.
1 fin ouverte, j'espère une suite plus engagée.

Sur le jeu des acteurices, y a un côté très français, je ne sais pas si ça tient à la langue, à l'expression corporelle, à la gestuelle. Je ne serais pas étonnée qu'on me dise que certain•es acteurices viennent du théâtre, du spectacle de cabaret.
Ça se ressent, mais ce n'est en rien désagréable.

le background des personnages est un peu trop survolé. C'eût été plaisant d'en savoir plus, sur bcp des personnages, sentinelles et autres, ne serait-ce que pour comprendre leur position, comportement, réaction. Ça n'empêche pas l'intérêt et l'attachement (ce que je perçois tjrs comme un bon signe).

Moi j'ai vraiment été frappée par la similarité des tenues des sentinelles avec la bd Skraeling, encore plus à l'apparition du soldat d'élite allemand, dans l'objectif aussi. Inspiration ou + ???
Sur le scénario, le récit se tient et je me suis retrouvée intriguée, intéressée.
D'accord avec Lorkan,

Affiche de la série française Les Sentinelles diffusées sur Canal+. Au 1er plan central, 4vsoldats d'élite de l'unité Sentinelle, sur un champ de bataille dévasté, enflammé, une tenue noire, veste longue, cuirasse, casque intégral, fusil en main. Au dessus d'eux, le héros principal, tête baissé, songeur. Un ciel bleu, quelques nuages et noirci en partie des fumées du champ de bataille.

Les Sentinelles. Série fr made by Canal+, inspirée d'une bd que je n'ai pas lue (encore).
Y a pas à rechigner, ça en jette esthétiquement, à tous niveaux, c'est léché, c'est beau.
Cette série est faite avec des gueules qui marque, on sent une grande attention portée aux persos 2aires ou de 1er plan.

Je compatis et t'envoie du soutien.

Elle dit les termes ;)
À son âge, c'est une sacrée prise de conscience :)
Top, ça donne de l'espoir.

😅 c'est légèrement excessif à c't'âge-là 😄

Y a une vibe gestapo là

Ça doit être fun ses commentaires 😅

Je ne comprends même pas qu'on puisse soutenir un tel individu qui se réjouit à l'idée d'effacer une partie de la population pour leurs idées, appartenances politique/religieuse, leur genre, sexualité, etc. Par corporatisme? Meh
On combat les porteurs d'idées nauséabondes (fascistes) par tous moyens

J'ai fini Sentinelles dimanche ^^ Je verrai Arco, pas les autres (Chien 51 peut-être un jour, à la rigueur).

Je te rejoins, la présence de Dujardin au casting ne m'a guère donné envie de voir le film... team vieille conne 😅🤪

Oui, c'est un des constats du film, dit ouvertement par le personnage du Dr Mugweke.

Oui, il fait l'actualité, lui, cette lutte, au moment des récompenses, après ?
Et les femmes elles, les victimes?
C'est toute la question.
Sujet très difficile.
Même en ayant déjà vus des reportages, lus des articles, ça reste violent à voir. Faut avoir le cœur accroché.

Même si ça ne change rien, moi dans une salle de ciné... à 1000 lieux de l'atrocité de ces crimes de guerre (et pas seulement comme arme de guerre, je sais).

Qu'on ne s'y trompe pas, les héroïnes du film, ce st les femmes, ttes ces femmes.
On m'a dit "pquoi tu t'infliges 1 tel film? T'en as pas assez avec l'actualité?"
Si, mais ça m'importe ces sujets. Parce qu'aussi douloureux qu'ils soient, il faut les voir, en parler, ne pas oublier cette réalité.

La réalisatrice s'attache à montrer, sans mots couverts, l'abandon de ces femmes, par leurs familles, par leur pays, par le pouvoir, le peu d'aide aussi à l'international, malgré les prix donnés au Dr Mugweke.
On comprend la résignation qui l'étreint parfois, face aux menaces, au peu de moyens.

Sauf 1, venu de Belgique. Important pour ce qu'il apporte de solutions médicales afin de réparer les corps mutilés de ces femmes violées.
C'est une des petites lumières de ce film ; la principale étant la sororité de toutes ces femmes qui malgré leurs souffrances sont fières & arrivent à se relever.

Affiche du film Muganga, celui qui soigne de Marie-Helene Roux. Au centre supérieur, noms des acteurices principaux•ales. Juste en dessous, de profils, regards expressifs, Isaac de Bankolé qui incarne le Dr Mugweke et Vincent Macaigne, le Professeur belge venu l'aider à opérer/réparer les femmes violées de son refuge. En dessous, une colonne de femmes africaines, en habits de toutes les couleurs. Le titre du film en bas de l'affiche.

Hier, j'ai vu un film qui m'a bouleversée : Muganga, celui qui soigne de Marie-H. Roux.
Larmes dès les 1ères mns & le cœur lourd, des heures après.
Adaptation libre du combat mené par le Dr Mugweke contre les violences sexuelles faites aux femmes de son pays.
Une lutte éprouvante avec peu de soutien

Ok, c'est cool. Merci de cette précision Kahlan :)
Un moment que je vois aller et venir des retours sur ce roman. Il m'intrigue ;)

Je découvre en lisant ton avis qu'il y a plusieurs tomes, je ne pensais que c'était une série.
Est-ce que La femme de ménage a une vraie fin ou ça reste ouvert pour la suite?

😁😅

La coriandre me fait ça : goût de punaise alors j'imagine fort bien la situation. 😅

Merci du retour d'avis :)

Photo de 2 lectures bd du weekend Un comics : Malicia dans la collection Xmen extra. Au scénario/dessin : Avery et Lopresti. Malicia est campée, de face, dans une tenue de super héros, bleu jaune. Un carré mi-long, ses mèches blanches de chaque côté du visage. Expression sévère entre mine boudeuse et je vous mets au défi. Mains gantées. Une bd : Quelqu'un à qui parler de Gregory Panaccione. Il est écrit sous le titre, "d'après le roman de Cyril Massarotto". Fond vert, nature, feuillage. Sur un arbre au tronc marron, assis, genoux repliés, un garçonnet, cheveux noirs recouvrant ses yeux, tshirt rouge, short noir, tient le combiné d'un vieux téléphone à cadran en main gauche. Sur la branche en dessous, un homme adulte, cheveux noirs mi-long, barbe et moustache, t-shirt blanc, pantalon noir, le regarde, téléphone portable en main droite. Sur la même branche, un chat noir lève aussi sa tête vers l'enfant.

Mince j'ai oublié le ALT.
Je remets la photo pour avec descriptifs.

Il est bien le Silent Jenny de Bablet? Je compte me le prendre aux Utos dans quelques jours :)

Panaccione donne vie à l'antihéros de Massarotto, sans concessions.
& de ce perso peu amène au demeurant en fait, au final, un homme touchant par ses failles.
Sur le trait de crayon, j'ai eu cette même glissade de sentiments, circonspecte au début, puis ça a fait mouche en avançant ma lecture.
😊