Simon Riaux

Affiche américaine de Weapons (Évanouis en France) représentant des silhouettes d’enfants courant dans la nuit.

Comme Bring her back sorti récemment, WEAPONS (Évanouis) est aussi ingénieux, méticuleux et radical dans sa mise en scène de la peur qu’idiot quand il doit dérouler sa mythologie, et surtout conclure son récit.

Très en dessous de Barbare, malgré un chouette hommage au Jour des Morts-vivants.

Vous reprendrez bien trois doses de sauce piquante avec votre épisode du jour ?

🌶️🌶️🌶️👨‍🎨

Astrid Panosyan-Bouvet, une ministre dont le capital de popularité auprès des syndicats a disparu L’arrivée au ministère du travail de cette ancienne socialiste engagée, dès 2014, aux côtés d’Emmanuel Macron, avait été saluée par les syndicats. Aujourd’hui, ces derniers sont très critiques de ses ...

Landru, un autodidacte du féminisme dont la côte de séduction a disparu auprès femmes.

www.lemonde.fr/politique/ar...

Luc Besson : « en relisant Fondation, ça m’est apparu comme une évidence, il fallait revenir au cœur du roman : la maçonnerie »

Affiche française des 4 Fantastiques

Ce devait être une renaissance, ce n’est qu’une croûte et même pas du genre qu’on aime arracher.

Avec 4 FANTASTIQUES, Marvel tente bien de faire illusion, mais le décor sixties en carton a un goût de rance quand vient l’heure de raconter un truc.

Médiocre, mais studieux dans la médiocrité.

Pas honteux, totalement dispensable.

YouTube video by 20th Century Studios FR Predator : Badlands - Nouvelle bande-annonce (VOST) | 20th Century Studios

Ça a l’air moins rigolo qu’une rupture des ligaments croisés, mais le muppet sous kétamine qui fait office de super monstre m’a un peu fait rire.

youtube.com/watch?v=Wh4J...

C’est ce que je viens de voir !

Je le termine à l’instant, et oui, j’ai écarquillé les yeux quelques fois dans ce sens !

Un bouc ailé et démoniaque se marre bien.

Dans la catégorie, « je l’avions pas vu, merci bien Shadowz » LE SANCTUAIRE de Michele Soavi se pose là et bien là.

C’est bordélique, le rythme est inégal, mais les visions qui traversent le bousin valent à elles seules le visionnage. Comme un bain de bouche au Destop : excessif mais salvateur.

Oui, la caractérisation des personnages et la résolution sont plus fragiles, mais globalement, quelle grosse claque !

Visuel de Terrified, représentant un homme livide, nu, malingre et aux yeux révulsé, dont le corps se sépare selon une coupe longitudinale pour révéler une crevasse de ténèbres.

Avant WHEN EVIL LURKS, Demián Rugna a réalisé TERRIFIED.

Bah c’est gentiment terrifiant, entre Poltetgeist et L’Au-delà, ou comment un cauchemar enfoui dans les tréfonds de l’Argentine contamine un quartier et le plonge dans l’horreur.

Ça sent les égouts et la peur.

Et c’est dispo sur Shadowz !

🚨NOUVEL ÉPISODE ! 🚨

🎬 #Eddington
🎬 #IKnowWhatYouDidLastSummer
🎬 #BringHerBack

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Il est encore.

C’est quand même vraiment terriblement long pour ce que ça essaie de raconter.

Affiche de Souviens-toi l’été dernier. C’est moche.

Affiche de Souviens-toi l’été dernier version 2025. C’est re-moche.

À 30 ans d’écart, s’établit un pont quantique dans la débilité, un saut supra-cosmogonique de turbo-connerie. C’est aussi une expérience d’acceptation. Parce que JE SAIS ÇA QUOI QUE T’AS FAIT L’ÉTÉ DERNIER c’est d’abord giga-emmerdant.

Comme quoi rien ne se perd, rien ne se crée, tout se déforme.

Ou un demeuré.

ENQUÊTE. "Certaines situations sont délirantes" : ces questions qui se posent après la mort de cinq jeunes sur leur lieu de travail en deux mois Depuis le 30 avril, quatre mineurs et une stagiaire de 19 ans sont morts au travail. Plusieurs enquêtes mettent en cause le respect des normes de sécurité de la part des entreprises. Pointés du doigt,...

La valeur travail.

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Affiche peinte de Eddington, où le casting est réuni en une composition orangée, qui n’est pas sans évoquer certains posters de westerns post-sixties.

Avec EDDINGTON, le cinéma d’Ari Aster retrouve quelques couleurs.

Ça fourmille d’idées, l’autopsie d’une Amérique débordée par ses idiots marche, même Phœnix et Pedro Pascal sont pas loin d’être bons.

Mais alors quelle tannée d’écriture et de montage. C’est plus long qu’un discours de Bayrou.

Mort du critique Jean-Pierre Putters, monstre sacré du cinéma d’horreur Le journaliste spécialiste du fantastique et de l’horreur, père du magazine «Mad Movies», a été pour plusieurs générations une formidable porte d’entrée vers les films gore, de science-fiction et de séries B. Il est mort lundi à 69 ans.

⚫ Mort du critique Jean-Pierre Putters, monstre sacré du cinéma d’horreur

Le père du magazine «Mad Movies» a été pour plusieurs générations une formidable porte d’entrée vers les films gore, de science-fiction et de séries B, souvent méprisés.

Lire :

Pour le dernier mini making-of, place au clou du spectacle : le tournage avec la voiture de l’équipe de Last V8 : Hank et Claire Parize possédent l’un des très rares véhicules du premier Mad Max, utilisée pour des événements autour des films. L’engin est encore en état et présent en France !1/6

a picture of a ladder that says mnf on the top Alt: Une guillotine.

Je commence à me dire que François Bayrou avait raison de se rêver un destin d’envergure historique.

🚨 NOUVEL ÉPISODE ! 🚨

🎬On termine la saison en beauté avec un gars en collants bleu & slip rouge (encore)... 🦸‍♂️

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Il faut optimiser ses moyens quand on fait un doc. Et aller en Australie pour faire des plans de coupe, aurait plombé le budget. Mais je savais que Melvin avait tourné là-bas pour son doc, « Archeology of the Wasteland », avec la réplique d’une V8 (celle d’Adrian Bennett du musée Mad Max).1/4

Ouuuuuhlalalah que la take est hot.

Immense tristesse. Bien des pensées à toutes celles et tous ceux aujourd’hui dans la tourmente.

www.livreshebdo.fr/article/les-...

Un nouveau mini making-of de notre doc L’Apocalypse selon Mad Max.
Nous voulions célébrer le cinéma et surprendre les gens en terminant le doc sur des regards d’enfants émerveillé. C’est aussi une façon pour nous de dire qu’il y a un truc très enfantin dans le plaisir que procurent ces films.1/5

aventure aussi généreuse, ludique, candide, enthousiaste, politique, drôle, et parfaitement à l’aise avec la loufoquerie inhérente à tout un pan de sa mythologie.

J’en sors fatigué et pas loin d’être lassé, mais avec en tête une demi-douzaine de trouvailles improbables et enthousiasmantes.

Affiche du SUPERMAN de James Gunn, présentant le héros s’élevant vers les cieux, dans une composition qui rappelle celle du premier long-métrage signé Richard Donner.

Rubik’s Cube pantagruélique aux influences et intentions innombrables, SUPERMAN ne se dépatouille pas toujours idéalement de ses ingrédients, et peine parfois à accorder ambitions, spectacle, émotion et mise en scène, notamment lors de son climax.

Mais que c’est bon de recevoir en pleine face une

Photo AL et JCP

Et hop 1h15 de discussion sur Andor avec @padrepio.bsky.social enregistrée pour la semaine prochaine 💯