Thomas Heurtier

J'ai fini à 13

Tu peux ajouter "Le Cas Richard Jewell" à la liste.

Il fait terriblement envie ce coffret. 💚

Boken Shonen ! Très sympathique recueil de nouvelles.

Oui, autant que la honte de ce vote ne dégouline pas de partout.

Waiting For Little Hairs (Esperando Pelitos) from season 7, episode 6 of Big MouthSupport the channel: https://paypal.me/BigMouthMusicGo watch the show on Ne... Big Mouth - Waiting For Little Hairs (Esperando Pelitos)

BIG MOUTH est de loin une des meilleures productions Netflix.
Et quand en plus ils te sortent des petites perles comme ça... Génies.

www.youtube.com/watch?v=KfOE...

Profites-en bien. De belles journées d'hiver à venir.

Sam Spade (Clive Owen) is back for a brand-new chapter. When six beloved nuns are brutally murdered at the local convent, secrets emerge and new leads are es... Monsieur Spade Official Trailer Ft. Clive Owen | Premieres January 14 on AMC+

Trailer officiel de #MonsieurSpade, la prochaine mini-série de Scott Frank (Godless, The Queen's Gambit). Quel plaisir d'avoir assisté François Gédigier au montage de cette nouvelle aventure de Sam Spade, incarné ici par le génial Clive Owen.

Curieux de lire ça ; j'avais adoré le one-shot de Robin Recht.
Je pense que c'est le bon format pour faire du Thorgal de qualité, la série mère étant devenue tout à fait passable depuis le départ de Van Hamme.

Je ne vais pas te dire d'être raisonnable ce week-end, ça ne servirait à rien.

6 en mangeant c'est tenable.
8 c'est toujours un peu compliqué le lendemain.
Plus que ça, on tombe vraiment dans le déraisonnable.

Hâte d'avoir ton retour !

Attention à l'indigestion pendant les fêtes...

Encore un sublime thread de @cataliotti.bsky.social, cette fois sur le non moins génial film de Miyazaki.
Quel beau travail d'analyse !

Michel Ciment.

Le chat est au-dessus de ça, c'est grâce à lui que je me suis calmé.

Je viens de perdre 2h de travail à cause d'une fausse manip, et c'est complètement ma faute, je ne peux même pas blâmer le logiciel.
C'est terrible quand tu ne peux pas te cacher derrière la technologie pour justifier un échec.

Quoi qu'il en soit, l'interview croisée du magazine est passionnante, j'aurais aimé en avoir encore plus.

... Alors que l'assistant est lui le premier spectateur du film monté. Se passer de sa présence réduit les coûts (économie ridicule sur le budget d'un film) au détriment du travail et de la réflexion artistique sur le film.

Le montage est solitaire, un réalisateur, un monteur, un assistant. Et pourtant c'est une étape si importante, comme évoqué dans l'article des Cahiers. L'assistant amène un autre point de vue. Le monteur est le premier spectateur des rushes (la matière issue du tournage)...

La présence de l'assistant sur la durée du montage est nécessaire pour des questions de transmission du savoir et d'apprentissage, mais pas que ! Si le monteur est le "spectateur zéro" du film (dixit le grand Yann Dedet), l'assistant est le "spectateur un".

Les plateformes ont un peu changé la donne. Je n'ai pas encore eu l'occasion d'être confronté à un film ou une série pour une platerforme sur lequel l'assistant monteur n'est pas là sur toute la durée du montage.

C'est super d'évoquer ça. Malgré tout, il arrive que sur certains films d'auteur à petit budget, l'assistant soit présent tout au long du processus. Et que sur certains films à plus gros budget ça ne soit pas le cas...

On parle par exemple de la présence de l'assistant monteur pendant le montage. On ne va pas dire à un chef opérateur que son assistant ne sera présent que sur une partie du tournage, ça paraitrait absurde. Pourtant en montage c'est une réalité.

Dommage de voir la manière dont est évoqué le rôle de l'assistant monteur. Intéressant d'en parler certes, mais il aurait été plus intéressant d'interviewer un assistant en plus d'une monteuse. Là aussi c'est un rôle très différent en fonction du type de film ou même de série.

C'est pourquoi il arrive parfois qu'un monteur se fasse remplacer en cours de montage (c'est beaucoup + rare pour les autres chefs de poste), comme si c'était sa faute si le film ne ressemble pas au fantasme qu'on s'en faisait. Parfois c'est utile, souvent le film reste bancal.

Tant que le film n'est pas monté, on peut imaginer ce qu'il pourrait être. Quand il est monté, on le découvre tel qu'il est. Et c'est une étape qui peut être difficile pour certains réalisateurs et/ou producteurs qui font face à un film différent de celui qu'ils avaient en tête.

François Gédigier évoque un peu la précarité du rôle de monteur dans son interview (facilitée par le numérique), et c'est également évoqué dans l'interview croisé à travers le "fantasme" du film qu'on peut se faire :

L'axe du magazine est clair, on parle ici du cinéma d'auteur français, et de son économie. Pas étonnant, ce sont les Cahiers. Mais c'est dommage de se couper un peu trop du fonctionnement de toute une partie de l'industrie.