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Sibylle Gollac

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Sociologist CNRS: gender, family, wealth, inheritance, housing, social classes, law. Children grow up, cats settle in. Sociologue : genre et classe, famille, patrimoine, héritage, logement, droit et justice. Les enfants grandissent, les chats s'installent.

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MÈRE | Reine Blanche “On va parler argent, on est là pour ça” Un stage sur les relations mères-filles. Une médiatrice implacable et son assistante un peu trop enthousiaste chapeautent quatre jeunes femmes venues régler le...

Avec Céline, on sera au théâtre de la Reine Blanche (Paris 18e) le 10/12 au soir, pour un échange après la pièce La Mère. Venez la découvrir avec nous !
www.reineblanche.com/calendrier/t...

24.11.2025 14:09 — 👍 1    🔁 0    💬 0    📌 0
Regards comparés : environnements, changer d’air(e) - Se mobiliser / protester | Institut National des Langues et Civilisations Orientales

👀, avec Pascal Marichalar, chercheur en sociologie et auteur de la Montagne aux étoiles, paru @edladecouverte.bsky.social.
www.inalco.fr/evenements/r...

21.11.2025 08:28 — 👍 2    🔁 0    💬 0    📌 0

Le prénom, un enjeu de transmission genré, encore plus pendant les guerres. Merci @coulmont.bsky.social pour ces précieux résultats !

11.11.2025 17:48 — 👍 4    🔁 1    💬 1    📌 0

OK, #socsky, I'm looking for songs about intergenerational mobility (up or down) or class reproduction.

E.g., Whiskeytown's Jacksonville Skyline ("I was born in an abundance of inherited sadness"). Or, in a lighter vein, Musgraves' "Merry Go-Round."

Examples notwithstanding, the genre is open.

11.11.2025 09:23 — 👍 24    🔁 8    💬 37    📌 2

🍂 Il pleut, et vous recherchez une idée de sortie à faire en famille ? Allez vous faire vacciner, c'est la pleine saison !
Tout public - gratuit

07.11.2025 09:54 — 👍 95    🔁 54    💬 3    📌 1

On se doutait, mais c’est terrible et éprouvant à entendre et voir.

06.11.2025 07:53 — 👍 3    🔁 0    💬 0    📌 0

C’est cool pour New York. Ce serait encore plus cool si j’avais la plus petite confiance dans la capacité de la gauche française d’en apprendre quelque chose, mais c’est cool quand même.

05.11.2025 05:40 — 👍 832    🔁 106    💬 31    📌 2
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Mamdani: "New York will remain a city of immigrants, a city built by immigrants, powered by immigrants, and as of tonight, led by an immigrant."

05.11.2025 04:40 — 👍 50475    🔁 9902    💬 613    📌 746
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🟢Wealthy individuals fuel the climate crisis through their investments even more than through their consumption and lifestyles — This is one of the key findings presented in *Chapter 1 of the 2025 #ClimateInequality Report*.

Read more in this thread [1/6]🧵

03.11.2025 11:14 — 👍 31    🔁 17    💬 1    📌 0

Petite piqûre de rappel à deux jours de l'évènement !

03.11.2025 09:36 — 👍 2    🔁 0    💬 0    📌 0
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Current mood. Anybody else? 😂

02.11.2025 22:11 — 👍 74    🔁 13    💬 6    📌 2

L’héritage, économique ou culturel, constitue un mécanisme central de maintien et de reproduction de l’ordre social. Il structure profondément nos relations familiales, à nos enfants, parents, conjoint-es, adelphes, nos relations les plus intimes. D’où la difficulté à penser son injustice.

01.11.2025 11:40 — 👍 7    🔁 0    💬 0    📌 0
CRESPPA UMR7217-Centre de recherches sociologiques et politiques de Paris Journées d'étude organisées par Nicolas Duvoux (Cresppa-Labtop, Université Paris 8), Sibylle Gollac (Cresppa-CSU, CNRS) et Cédric Hugrée (…)

Le programme est là (en remplaçant le 10/09 par le 05/11) : www.cresppa.cnrs.fr/evenements/c...

24.10.2025 16:18 — 👍 0    🔁 0    💬 0    📌 0
Affiche ayant pour fond des étiquettes rouge sur fond couleur brique

Journées d'étude
Classer, Être classé·e, se classer :
les enjeux des catégorisations
objectives et subjectives
des inégalités |
Mardi 9 septembre
et mercredi 5 novembre 2025 |
Organisées par Nicolas Duvoux, Sibylle Gollac et Cédric Hugrée
| |
Site Pouchet « 59-61 rue Pouchet, Paris 17e => Salle de conférence

Affiche ayant pour fond des étiquettes rouge sur fond couleur brique Journées d'étude Classer, Être classé·e, se classer : les enjeux des catégorisations objectives et subjectives des inégalités | Mardi 9 septembre et mercredi 5 novembre 2025 | Organisées par Nicolas Duvoux, Sibylle Gollac et Cédric Hugrée | | Site Pouchet « 59-61 rue Pouchet, Paris 17e => Salle de conférence

Les sciences sociales définissent génériquement les inégalités par le fait que certains groupes ou individus disposent durablement de ressources et d’opportunités hiérarchisées dont d’autres ne disposent pas. Ces inégalités sont le produit de multiples rapports de domination qui engagent des rapports sociaux objectifs et subjectifs entre les groupes ou les individus pour la définition de ce qui est désirable et pour l’accès puis l’usage de ressources plus ou moins rivales. Dans nos disciplines, la description et l’analyse de ces inégalités comme des rapports de domination qui les sous-tendent s’appuient sur des classifications et des nomenclatures sociohistoriquement construites, qui ne sont pas socialement neutres (elles engagent en particulier le rapport de l’Etat et des scientifiques – en tant qu’individus eux et elles-mêmes socialement situé·es – aux différents groupes sociaux) (Desrosières, 1993).

Les sciences sociales définissent génériquement les inégalités par le fait que certains groupes ou individus disposent durablement de ressources et d’opportunités hiérarchisées dont d’autres ne disposent pas. Ces inégalités sont le produit de multiples rapports de domination qui engagent des rapports sociaux objectifs et subjectifs entre les groupes ou les individus pour la définition de ce qui est désirable et pour l’accès puis l’usage de ressources plus ou moins rivales. Dans nos disciplines, la description et l’analyse de ces inégalités comme des rapports de domination qui les sous-tendent s’appuient sur des classifications et des nomenclatures sociohistoriquement construites, qui ne sont pas socialement neutres (elles engagent en particulier le rapport de l’Etat et des scientifiques – en tant qu’individus eux et elles-mêmes socialement situé·es – aux différents groupes sociaux) (Desrosières, 1993).

Ces modes de catégorisation visent néanmoins, le plus souvent, à établir objectivement la position des personnes enquêtées dans les rapports sociaux, indépendamment de leur subjectivité. S’ils favorisent la quantification des inégalités, ils négligent leur dimension subjective. Qu’a-t-on à perdre ou à gagner à mobiliser une approche objectivante ou plus subjective des inégalités et des positions dans les rapports sociaux ? Ces approches produisent-elles des résultats si différents quand on cherche à saisir les inégalités de conditions de vie ou de destins ? On sait que les capitaux détenus et les trajectoires déterminent les perceptions de l’avenir des individus (Bourdieu, 1974, Duvoux, 2023). Mais on sait moins apprécier ce que la perception de sa position sociale, de son genre, de son âge, dit à la fois des rapports au monde et de la position objective occupée au sein de l’espace social. 
La catégorisation par les enquêté·es eux et elles-mêmes de leur situation a pourtant été largement discutée dans le cas de l’étude des rapports sociaux liés à la santé et au handicap et des inégalités qu’ils produisent : on a ainsi largement comparé les résultats apportés par des auto-déclarations du handicap à ceux produits par des formes de catégorisations « objectives » (diagnostics cliniques, reconnaissance administrative) (Ravaud, Letourmy, Ville, 2002). La saisie d’un positionnement subjectif dans les rapports sociaux de classe pour rendre compte d’une variété d’inégalités (revenu, patrimoine, positionnement politique, etc.), après avoir été longtemps délaissée au profit d’approches objectivistes, a récemment été remise au goût du jour, dans certains courants de l’économie (Case et Deaton, 2021) et en sociologie (Oesch et Vigna, 2023).

Ces modes de catégorisation visent néanmoins, le plus souvent, à établir objectivement la position des personnes enquêtées dans les rapports sociaux, indépendamment de leur subjectivité. S’ils favorisent la quantification des inégalités, ils négligent leur dimension subjective. Qu’a-t-on à perdre ou à gagner à mobiliser une approche objectivante ou plus subjective des inégalités et des positions dans les rapports sociaux ? Ces approches produisent-elles des résultats si différents quand on cherche à saisir les inégalités de conditions de vie ou de destins ? On sait que les capitaux détenus et les trajectoires déterminent les perceptions de l’avenir des individus (Bourdieu, 1974, Duvoux, 2023). Mais on sait moins apprécier ce que la perception de sa position sociale, de son genre, de son âge, dit à la fois des rapports au monde et de la position objective occupée au sein de l’espace social. La catégorisation par les enquêté·es eux et elles-mêmes de leur situation a pourtant été largement discutée dans le cas de l’étude des rapports sociaux liés à la santé et au handicap et des inégalités qu’ils produisent : on a ainsi largement comparé les résultats apportés par des auto-déclarations du handicap à ceux produits par des formes de catégorisations « objectives » (diagnostics cliniques, reconnaissance administrative) (Ravaud, Letourmy, Ville, 2002). La saisie d’un positionnement subjectif dans les rapports sociaux de classe pour rendre compte d’une variété d’inégalités (revenu, patrimoine, positionnement politique, etc.), après avoir été longtemps délaissée au profit d’approches objectivistes, a récemment été remise au goût du jour, dans certains courants de l’économie (Case et Deaton, 2021) et en sociologie (Oesch et Vigna, 2023).

Avec la visibilisation croissante des minorités de genre, l’apparente évidence de la saisie de la catégorie de sexe dans les grandes enquêtes statistiques a été tardivement mais fortement remise en cause, ce qui a ouvert la question de la pertinence d’une saisie déclarative – et non binaire – du genre (Lejbowicz et Trachman, 2018). Les travaux sur les rapports sociaux de race et les discriminations qu’ils engendrent ont posé simultanément la question de l’intérêt de catégorisations subjectives (les individus pouvant déclarer eux et elles-mêmes à quel groupe ethnoracial ils et elles se sentent appartenir ou identifié·es par autrui) et de l’identification subjective des discriminations subies (les individus pouvant déclarer elles et eux-mêmes avoir subi certaines formes de discrimination en raison de leur appartenance/identification à un de ces groupes (Safi et Simon, 2013). Enfin, d’autres travaux, comme ceux sur la pauvreté (Duvoux et Papuchon, 2018), se sont intéressés aux formes variées d’identification subjective renvoyant à des lignes de fracture de l’espace social.
L’ambition de cette journée d’études est ainsi d’interroger la place que les sciences sociales accordent à la subjectivité dans la mesure des inégalités comme dans les catégorisations mobilisées pour rendre compte du positionnement des individus et des groupes à l’articulation de différents rapports sociaux, à l’origine de ces inégalités. En d’autres termes, il s’agira de tenir ensemble les trois dimensions cognitive, objective et subjective de tout acte de catégorisation permettant de classer, d’être classé·e et de se classer.

Avec la visibilisation croissante des minorités de genre, l’apparente évidence de la saisie de la catégorie de sexe dans les grandes enquêtes statistiques a été tardivement mais fortement remise en cause, ce qui a ouvert la question de la pertinence d’une saisie déclarative – et non binaire – du genre (Lejbowicz et Trachman, 2018). Les travaux sur les rapports sociaux de race et les discriminations qu’ils engendrent ont posé simultanément la question de l’intérêt de catégorisations subjectives (les individus pouvant déclarer eux et elles-mêmes à quel groupe ethnoracial ils et elles se sentent appartenir ou identifié·es par autrui) et de l’identification subjective des discriminations subies (les individus pouvant déclarer elles et eux-mêmes avoir subi certaines formes de discrimination en raison de leur appartenance/identification à un de ces groupes (Safi et Simon, 2013). Enfin, d’autres travaux, comme ceux sur la pauvreté (Duvoux et Papuchon, 2018), se sont intéressés aux formes variées d’identification subjective renvoyant à des lignes de fracture de l’espace social. L’ambition de cette journée d’études est ainsi d’interroger la place que les sciences sociales accordent à la subjectivité dans la mesure des inégalités comme dans les catégorisations mobilisées pour rendre compte du positionnement des individus et des groupes à l’articulation de différents rapports sociaux, à l’origine de ces inégalités. En d’autres termes, il s’agira de tenir ensemble les trois dimensions cognitive, objective et subjective de tout acte de catégorisation permettant de classer, d’être classé·e et de se classer.

La deuxième partie des JE "Classer, être classé·e, se classer", reportée au 5 novembre, approche. Nous vous y attendons nombreux·ses !

24.10.2025 16:16 — 👍 2    🔁 0    💬 1    📌 1
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Service de presse 📚 « Les politiques publiques par la défiscalisation », @carbonnier.bsky.social, Nathalie Morel, @bpalier.bsky.social, @michaelzemmour.cpesr.fr (dir.) avec @boanry.bsky.social, @simonbunel.bsky.social
🔜En librairie le 24 octobre www.pressesdesciencespo.fr/fr/book/?gco...

15.10.2025 06:56 — 👍 37    🔁 18    💬 1    📌 1
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123. In 1960, 87% of women got married by the time they were 25 years old. In 2025 it was 24%. (Comment: The 1950s was the closest we got to a compulsory marriage system for women in this country, and the American right has pining for it ever since.) (reposting with sex labels)

14.10.2025 14:21 — 👍 12    🔁 7    💬 1    📌 2

« Vous avez rêvé de voir Marylin Monroe dans Game of Throne ? L’IA va enfin le permettre ! »

Les gens, un jour, vous allez découvrir les fanarts, vous allez rien comprendre.

14.10.2025 17:42 — 👍 209    🔁 14    💬 7    📌 0

😢

14.10.2025 17:34 — 👍 1    🔁 0    💬 0    📌 0

Ce n’est pas la 1ère fois que le Gorafi lui décerne, mais elle le mérite à chaque fois.

13.10.2025 19:54 — 👍 18    🔁 4    💬 0    📌 0
Did people really memorize phone numbers before cell phones, or is that just a movie thing?
2? Questions
I was watching some old shows from the 90s and noticed people would just dial numbers from memory - like they'd call their friends or family without looking anything up.
Made me wonder if that was actually normal back then? Did people genuinely have all their important numbers memorized, or did most folks keep a little address book or written list nearby?

Did people really memorize phone numbers before cell phones, or is that just a movie thing? 2? Questions I was watching some old shows from the 90s and noticed people would just dial numbers from memory - like they'd call their friends or family without looking anything up. Made me wonder if that was actually normal back then? Did people genuinely have all their important numbers memorized, or did most folks keep a little address book or written list nearby?

If anyone needs me I will be in the museum, lying down next to the bog bodies.

13.10.2025 17:58 — 👍 23924    🔁 4898    💬 1543    📌 1812

An wonderful scientific exchange, a material(ist) adventure !

13.10.2025 19:52 — 👍 1    🔁 0    💬 0    📌 0
Picture of Sibylle's talk before the fire alarm interrupted the presentation

Picture of Sibylle's talk before the fire alarm interrupted the presentation

Picture of Sibylle's talk after the fire alarm interrupted the presentation with a small group in an alternative room

Picture of Sibylle's talk after the fire alarm interrupted the presentation with a small group in an alternative room

Thanks to everyone who attended the AMCIS seminar with @sibylleglk.bsky.social today about her book "The gender of Capital" co-authored with @celinebessiere.bsky.social, which was unfortunately interrupted by a fire alarm that forced us to evacuate the building.

13.10.2025 16:03 — 👍 6    🔁 1    💬 1    📌 1
11.10.2025 18:50 — 👍 4    🔁 0    💬 0    📌 0
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L’Etat condamné en appel pour avoir sanctionné un policier dénonçant le racisme au sein de son service

L’Etat condamné en appel pour avoir sanctionné un policier dénonçant le racisme au sein de son service

En 2020, Amar Benmohamed faisait état de «plus de 1 000 prévenus maltraités» entre mars 2017 et mi-2019 au dépôt du tribunal où il était en poste

09.10.2025 19:24 — 👍 284    🔁 189    💬 7    📌 8

Looking forward to presenting and discussing our work at the @aissr.bsky.social !

07.10.2025 20:01 — 👍 5    🔁 1    💬 0    📌 0

😇

05.10.2025 18:33 — 👍 0    🔁 0    💬 0    📌 0
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Good morning and thanks my friends.
@sassy0210.bsky.social
@raykwong.bsky.social
@abbarsha.bsky.social
@agb2g.bsky.social
@annettebeebe.bsky.social
@annmb48.bsky.social
@bluestormcomin1.bsky.social
@hopeful66.bsky.social
@fireeyebooks.bsky.social
@alphacentauri53.bsky.social

02.10.2025 14:46 — 👍 75    🔁 42    💬 8    📌 4
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Reichstes Prozent verantwortet mehr als ein Drittel der Emissionen in Österreich Die Arbeiterkammer Wien hat untersucht, wer hierzulande die Macht hat, klimarelevante Entscheidungen zu treffen. Spoiler: Die Armen sind es nicht

And "rich people not only cause more greenhouse gases through their extravagant lifestyles, but also because they have a significantly greater say in climate policy decisions."
www.derstandard.at/story/300000...?

02.10.2025 15:16 — 👍 3    🔁 0    💬 0    📌 0
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📆 Save the date: the 3rd edition of the World Inequality Conference will take place on 4–5 June 2026 at Paris School of Economics @pse.bsky.social

The call for papers is open until December 1.

🔗 More details & submission: inequalitylab.world/en/event/wor...

17.09.2025 14:59 — 👍 42    🔁 17    💬 0    📌 1

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02.10.2025 07:17 — 👍 1    🔁 1    💬 0    📌 0

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