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Image extraite du film Se7ven de David Fincher (1995). Deux mains tenant une photographie montrant une femme dont les yeux ont été marqués.

Image extraite du film Blade Runner de Ridley Scott (1982). Une main tenant une photographie montrant une femme assise sous le porche d’une maison, avec une petite fille assise entre ses jambes.

Image extraite du film Top Gun de Tony Scott (1986). Une main tenant une photographie montrant Pete Maverick Mitchell enfant sur l’épaule de son père, Duke Mitchell.

Image extraite du film La Famille Addams de Barry Sonnenfeld (1991). Une main tenant une photographie montrant Fétide Addams jeune en train de jouer au golf sur un bureau.

☐☐☐☐.

Et si, à Paris Photo, on indiquait aussi le bilan carbone de chaque œuvre ? « Tirage argentique, 11.000 €, 2,3 t de CO2e. ». La photo est sublime, mais elle a un impact. Les collectionneurs, il est temps de questionner la vraie valeur d’une œuvre : ce qu’elle laisse derrière elle… sur la planète.

Pas un mot, pas un chiffre sur le bilan carbone. Comment peut-on encore justifier une foire internationale dédiée à la photographie, quand chaque tonne de CO2 compte ? Admirez mon sang froid, s'il vous plaît. 4/4

Paris Photo, rien qu’en 2024 : plus de 80 000 visiteurs, 1 700 artistes, 7 000 collectionneurs et VIP, 245 exposants venus de plus de 30 pays, et des représentants de 200 musées internationaux. 3/4

La silhouette verte semble répéter, redire, que nous devons collectivement prendre conscience — et agir — pour limiter l’impact du changement climatique, en réduisant nos émissions de gaz à effet de serre. 2/4

Paris Photo 2025 approche. Telle que vous me voyez je reste très calme devant la photo monumentale de SMITH à l'entrée de la nef du Grand Palais. urlr.me/MYRjXp 1/4

Y a de l’animation à la fenêtre du bureau. Passages incessants de chariots élévateurs, gyrophares orange qui tourniclignotent comme des lucioles sous caféine, pauses clopes des ouvriers alignés le long des murs : Paris Photo 2025 se prépare.

Image extraite du film Aliens de James Cameron (1986). Vasquez (Jenette Goldstein) et Drake (Marl Rolston) se préparent avant la mission.

Allez c'est parti pour aller bosser.

Trouvé. J’ai commencé un livre sur une enquête autour d’une œuvre disparue (38 tonnes, quand même) de Richard Serra. Alors j’ai regardé où ses œuvres étaient visibles en ce moment. Il y en a à la Bourse de Commerce, dans l’expo dédiée à l’art minimal.

AAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHH

[Soupirs] Ça me manque de m’incruster à la BPI du Centre Pompidou, feuilleter les journaux, lire les articles. Le savoir à portée de main, pas derrière un paywall.

En ce moment, il y a tellement d’expos à voir que je n’arrive plus à choisir. Même au hasard, je bloque. Alors je me laisse un peu porter... et j'attends que le destin me pousse jusqu'à celle qu’il faut voir.

Sur le même thème, je recommande cet article éclairant de Médiapi, média où l’information est produite par des journalistes sourds : « Sourds en prison : les barrières à la communication et leurs conséquences » urlr.me/TzmVPc

Image extraite du film Matrix de Lana Wachowski et Lilly Wachowski (1999). Gros plan sur deux mains menottées dans le dos, les pieds d’une chaise et des chaussures noires. À l’arrière-plan, une silhouette avance.

Quelqu'un aurait-il la gentillesse de m'offrir cet article ? : « C’est un isolement dans l’isolement » : en prison ou devant la justice, les personnes sourdes à la peine. @liberation.fr urlr.me/8evAhH

Faut se rendre à l’évidence, Roselyne. Tout le monde n’a pas le bagage culturel pour rester une heure devant une œuvre, la médiation le permet rarement, et la plupart des gens ne peuvent pas revenir voir une expo pour des raisons d’argent, de temps, de distance ou simplement d’envie.

Mon cerveau : Elle dit qu'elle sait apprécier l’art, et que tous les autres ben.. ce sont des ploucs qui polluent l’espace muséal, et qu'elle pense que les Caravage, Rothko, ils devraient être dans sa salle de séjour, parce que les bouseux, ils savent pas apprécier.

Ensuite, elle explique qu’il faut s’installer, regarder l'œuvre, la voir évoluer selon les angles où on la regarde. Qu'elle peut rester une heure devant un Rothko ou un Caravage. Oui, une heure... et j’ai failli m’étouffer avec mon verre d'eau.

Roselyne Bachelot m’a presque fait avaler de travers quand elle a dit qu'elle limite sa visite à 5 œuvres dans un musée, et qu'elle est effarée devant ces personnes qui déambulent dans une expo comme si ils étaient sur un quai de métro...

Pause déjeuner devant LGGF (La Grande Galerie Francophone), la nouvelle émission culturelle "branchée art contemporain" sur @tv5monde.bsky.social. On me l’avait recommandée, et je commence à comprendre pourquoi. urlr.me/GD2geV

Amateurs de photographie et de mystères : secrets des Kodak Vest Pocket, fausses pistes, rebondissements, énigmes à tiroirs… Tout est là pour vous captiver. Une enquête mi-fiction mi-réalité qui vous accroche du début à la fin. 6/6

À travers Charlie Châtel, alpiniste chamoniard, l’auteur critique la disneylandisation (du Mont Blanc et) de l’Himalaya : « L’Everest ne m’attire plus depuis qu’il est devenu un produit de consommation courante… Je n’ai pas voulu grossir les rangs de ses fourmis multicolores. » 5/6

On y découvre la compétition entre expéditions, la pression politique, les équipements rudimentaires, la dimension impérialiste, l’inexpérience de certains grimpeurs, le mépris des locaux et l’excentricité coloniale. 4/6

Ce roman mêle thriller, documentaire et aventure. Il retrace non seulement l’expédition britannique de 1924 mais aussi l’histoire de la conquête de l’Everest, avec des descriptions immersives et bien documentées. 3/6

Charlie Châtel, ex-avocat devenu guide de haute montagne, est missionné par un milliardaire pour retrouver le Kodak Vest Pocket que portaient Georges Mallory et Andrew Sandy Irvine lors de leur expédition de 1924. La pellicule pourrait enfin révéler s’ils ont été les premiers au sommet du monde. 2/6

Envie d’aventures intenses et de paysages à couper le souffle ? Ce cold case vous emmène sur les cimes du Devadhunga, rebaptisé « Everest » en hommage à Georges Everest (pas sympa pour les locaux), l’un des premiers cartographes du plus haut sommet du monde au XIXe siècle. 1/6

Image extraite du film Everest de Baltasar Kormákur (2015). Au camp de base de l’Everest, à 5 364 mètres d’altitude, Rob Hall est assis sur une chaise en plastique et lit un livre. Il porte des vêtements chauds de randonnée et une casquette beige marquée du logo Adventure Consultants. À côté de lui, Scott Fischer est allongé sur un transat pliant, torse nu, un mug à la main. Il porte un bonnet péruvien noir sur lequel est inscrit MT EVEREST 1996. En arrière-plan, on distingue les campeurs, des tentes, du matériel de camp, les drapeaux de prières flottant au vent, et le sol mêlé de cailloux et de plaques de neige.

Fin de lecture. Kodak Everest Pocket. Nicolas Le Nen.

Bravo à moi qui ait réussi à prendre deux places pour la conférence SPL à IVT, jeudi 13 novembre à 19h. Pétronille Lemenuel Fonbonne y parlera du syndrome de privation langagière. urlr.me/Mnzwp5

Image extraite du film Aliens de James Cameron (1986). A bord de l’USS Sulaco, Vasquez (Jenette Goldstein) et Drake (Mark Rolston) échangent un geste de complicité et de respect. Autour d’eux, l'équipage s’habille, plaisante et se prépare.

Ça y est c'est le week-end !!!

Ma journée a été bénie par cette vidéo — visite de l’expo NSPJTPH avec Sophie Duplaix, traduite en LSF par Aliza M’Sika — qui m’a fait découvrir les noms signés : Niki de Saint Phalle, Jean Tinguely, Pontus Hulten. urlr.me/AGU3bN

Image extraite du film Matango d’Ishirō Honda (1963). À l’intérieur de la carcasse d’un bateau, trois survivants ouvrent une caisse en bois. À l’intérieur repose un énorme champignon, luisant et inquiétant. En sous-titre, on lit : « A monster mushroom! ».