lctmn

Amateurs de photographie et de mystères : secrets des Kodak Vest Pocket, fausses pistes, rebondissements, énigmes à tiroirs… Tout est là pour vous captiver. Une enquête mi-fiction mi-réalité qui vous accroche du début à la fin. 6/6

À travers Charlie Châtel, alpiniste chamoniard, l’auteur critique la disneylandisation (du Mont Blanc et) de l’Himalaya : « L’Everest ne m’attire plus depuis qu’il est devenu un produit de consommation courante… Je n’ai pas voulu grossir les rangs de ses fourmis multicolores. » 5/6

On y découvre la compétition entre expéditions, la pression politique, les équipements rudimentaires, la dimension impérialiste, l’inexpérience de certains grimpeurs, le mépris des locaux et l’excentricité coloniale. 4/6

Ce roman mêle thriller, documentaire et aventure. Il retrace non seulement l’expédition britannique de 1924 mais aussi l’histoire de la conquête de l’Everest, avec des descriptions immersives et bien documentées. 3/6

Charlie Châtel, ex-avocat devenu guide de haute montagne, est missionné par un milliardaire pour retrouver le Kodak Vest Pocket que portaient Georges Mallory et Andrew Sandy Irvine lors de leur expédition de 1924. La pellicule pourrait enfin révéler s’ils ont été les premiers au sommet du monde. 2/6

Envie d’aventures intenses et de paysages à couper le souffle ? Ce cold case vous emmène sur les cimes du Devadhunga, rebaptisé « Everest » en hommage à Georges Everest (pas sympa pour les locaux), l’un des premiers cartographes du plus haut sommet du monde au XIXe siècle. 1/6

Image extraite du film Everest de Baltasar Kormákur (2015). Au camp de base de l’Everest, à 5 364 mètres d’altitude, Rob Hall est assis sur une chaise en plastique et lit un livre. Il porte des vêtements chauds de randonnée et une casquette beige marquée du logo Adventure Consultants. À côté de lui, Scott Fischer est allongé sur un transat pliant, torse nu, un mug à la main. Il porte un bonnet péruvien noir sur lequel est inscrit MT EVEREST 1996. En arrière-plan, on distingue les campeurs, des tentes, du matériel de camp, les drapeaux de prières flottant au vent, et le sol mêlé de cailloux et de plaques de neige.

Fin de lecture. Kodak Everest Pocket. Nicolas Le Nen.

Bravo à moi qui ait réussi à prendre deux places pour la conférence SPL à IVT, jeudi 13 novembre à 19h. Pétronille Lemenuel Fonbonne y parlera du syndrome de privation langagière. urlr.me/Mnzwp5

Image extraite du film Aliens de James Cameron (1986). A bord de l’USS Sulaco, Vasquez (Jenette Goldstein) et Drake (Mark Rolston) échangent un geste de complicité et de respect. Autour d’eux, l'équipage s’habille, plaisante et se prépare.

Ça y est c'est le week-end !!!

Ma journée a été bénie par cette vidéo — visite de l’expo NSPJTPH avec Sophie Duplaix, traduite en LSF par Aliza M’Sika — qui m’a fait découvrir les noms signés : Niki de Saint Phalle, Jean Tinguely, Pontus Hulten. urlr.me/AGU3bN

Image extraite du film Matango d’Ishirō Honda (1963). À l’intérieur de la carcasse d’un bateau, trois survivants ouvrent une caisse en bois. À l’intérieur repose un énorme champignon, luisant et inquiétant. En sous-titre, on lit : « A monster mushroom! ».

Ce matin, en arrivant au bureau, on découvre un sachet en kraft posé sur une table et un post-it jaune : « Pour [...] !!! ». À l’intérieur : un champignon énorme. Silence général. Personne ne sait d’où il vient, ni pourquoi il a été offert.

AAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHH

Restons quand même vigilants : pour l’instant, seul le concours externe est ouvert, les concours interne et 3e voie ne le sont pas, et on ne connaît toujours pas le nombre de postes créés.

Le logo Tokyo 2025 Deaflympics me rappelle le Centre Pompidou. Forcément, ça réveille un peu la nostalgie : je n’y suis plus, mais ces couleurs me replongent instantanément là-bas. urlr.me/BZn8RC

Yeepee. Le CAPES LSF est maintenu. Oui, maintenu. Parce que beaucoup se sont levés, ont fait signe, ont signé. Comme quoi, se mobiliser, ça sert encore. urlr.me/kVtAKh

Un voyage linguistique des signes, entre ce qui est universel (ce qui se comprend partout) et ce qui est culturel (ce qui varie selon les cultures). C'est génial.

Je découvre Spread the Sign, un lexique de différentes langues des signes à travers le monde. J’ai testé cinéma, bonjour, bisou : parfois les signes sont identiques, parfois complètement différents. urlr.me/dEDghX

Image extraite du film Chainsaw Man, le film : L'Arc de Reze de Tatsuki Fujimoto + Tatsuya Yoshihara (2025) : Denji se tient devant une façade de cinéma. D’un bond, il s’élance dans les airs, jambes écartées, doigts formant des V, la bouche grande ouverte, comme s’il explosait de joie.

Chainsaw Man : L’arc de Reze m’a filé un coup de boost dans le cerveau. Un univers inattendu, un peu d'amour… et une barista à tête de bombe, pile ce qu’il me fallait pour me sentir à bloc.

Image extraite du film Midsommar de Ari Aster (2019) : Assis dans l’herbe, les membres de la communauté - au milieu seul Christian (Jack Reynor) reste immobile, étranger à ce geste collectif - ont leurs deux mains ouvertes, levées à hauteur des épaules, qui tournent rapidement au niveau des poignets.

(Enfin) vu Midsommar. Wow. Mention spéciale pour ce geste : les deux mains ouvertes, levées à hauteur des épaules, qui tournent rapidement au niveau des poignets. J’étais juste contente de retrouver ce signe (bien connu dans la culture sourde) dans ce chouette film d'horreur.

Vous vous souvenez de la Nuit Z ? @astec-officiel.bsky.social nous avait annoncé une interprétation en LSF. L’événement a bien eu lieu, mais sans interprètes, pour des raisons de disponibilité et de santé. Je salue la transparence et les efforts décrits dans ce déroulé : urlr.me/dfNnEq

@blachaud.bsky.social et @loicprudhomme.bsky.social, deux députés LFI agissent pour le CAPES LSF. Les autres ? Rien. Coucou les gens qui disent que la macronie à l’extrême droite veille sur la communauté sourde… LOL. urlr.me/uw2kEs urlr.me/KtbxZP

Les autres langues régionales ou minoritaires ont elles aussi peu de postes, mais au moins un concours reste ouvert. Le CAPES LSF, lui, est complètement fermé, alors qu’il devait s’ouvrir aux candidats de niveau bac +3 cette année. Cherchez l’erreur.

Vous vous souvenez du CAPES LSF ? Selon Le Monde, le ministère justifie sa suspension par le fait qu’il y a trop peu de candidats et pas assez d’écoles intéressées. Ah… c’est ça l’excuse officielle ? Je trouve cette réponse bien trop légère pour justifier une telle décision. urlr.me/NDV3jg

Coucou les gens qui me texotent, inquiets, parce qu’ils voient de la fumée autour de Beaubourg. Rassurez-vous, on ramone juste les tuyaux du Centre Pompidou.

Dans un média Bolloréen, un type d’extrême droite a vraiment dit que la directrice de la sécurité du Louvre aurait été choisie non pour ses compétences, mais parce qu’elle est une femme. Bravo (non) pour la remarque la plus stupide que j’ai lue sur cette histoire de vol.

On ne va pas se mentir : voir des grands musées se faire braquer en plein jour ou cambrioler la nuit envoie un mauvais signal — si c’est possible chez les « grands », les petits ne sont plus protégés.

Et voilà, encore un musée dépouillé… on dirait que c’est la nouvelle tendance. J’imagine que ce vol au musée de la Maison des Lumières Denis Diderot ne fera pas les gros titres. urlr.me/5vaZkA

Les Deaflympics de Tokyo approchent. Beaucoup d’enthousiasme, quelques articles.. mais pas un mot sur l’empreinte carbone. Comment peut-on encore justifier ce type d’événement sportif international, à l’heure où chaque tonne de CO2 compte ?