Jeanne

Bon, c'est pas pour moi les réseaux sociaux. Pas en ce moment du moins.
Ciao.

A ce train là, elle va finir pas se faire encenser par Caroline Fourest and co, ça va lui faire bizarre.

Il a l'air encore pire que le premier.
lafabrique.fr/la-justice-e...

Vous avez vu, ya Elsa Deck Marsault qui va sortir un deuxième bouquin '
? 😤

Des réflexions de @antipatriarcame.bsky.social très justes sur ce qu'est et ce que ne devrait pas être l'antipunitivisme, à écouter et faire écouter aussi sous forme de pastille video par ici www.youtube.com/watch?v=Q1e_...
(et, perso, je préfère le terme inconséquence à irresponsable)

Double couche de hate reading. Je valide complètement.

Nous irons cracher sur son livre.

Ah bah c'était activé chez moi.
Du coup paramètres -> Général -> désactiver "fonctionnalités intelligentes" (j'ai aussi désactivées les propositions de "réponses intelligentes").

J'ai aussi envie de l'offrir à des sales cons. Mais pour ça, faudrait vraiment l'acheter, ce que je fais pas pour le hate reading (je télécharge sur Amazon, lis vite, et dis ensuite que je me suis trompée dans ma commande pour me faire rembourser).

Ah mais tellement pareil !!!

Moi non plus, j'en reviens pas. Et pourtant, c'est pas comme si personne l'avait vu venir...
J'avais vu passer plusieurs posts raillant le prochain livre de Sarkozy quand il a été libéré.
bsky.app/profile/jere...

Couverture du dernier bouquin de Sarkozy « le journal d’un prisonnier » (aux éditions Fayard)

4eme de couverture « en prison il n’y a rien à voir, rien à faire. J’oublie le silence qui n’existe pas à la Santé où il y a beaucoup à entendre. Le bruit y est hélas constant. À l’image du désert, la vie intérieure se fortifie en prison »

(Pardon, ça fait 1h que je pleure de rire)

Reflets.info : aidez-nous à continuer d’exister | J'aime l'info (Powered by Donorbox) Reflets est à un tournant critique de son existence. Et sans vous, nous ne passerons pas le cap. Faire des enquêtes de qualité coûte cher. Depuis sa création, Reflets.info a toujours refusé les fina...

@reflets.info a pu enquêter sur les symboles de haine dans la police. Des brebis galeuses, une tendance qui devient systémique, de quoi parle-t-on ?

Reflets a besoin de vous pour continuer son travail, voici la cagnotte et un🧵sur la police et de leurs symboles⏬⏬
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Une plongée dans l'apnée | Reflets.info Tous les articles du dossier « Une plongée dans l'apnée »

Notre dossier est à lire ici :
reflets.info/dossiers/une...

This month I'm doing a challenge called "November". It's where I try to make it through everyday of November.

Le parquet général a fait appel.

Non, toutes les mères ne sont pas prêtes à tout pour défendre leurs enfants et être sous la domination d’un homme violent, ça peut aussi impliquer d’apprendre aux enfants, ne serait-ce que par l’exemple, à subir la violence, voire à l’accepter, la normaliser, l’excuser.

C'est difficilement audible pour le moment. Malheureusement.

Sur les mécanismes de silenciation des violences révélées par des mineurs : l'immobilisme des institutions et la crainte légitime que le signalement ne fasse qu'empirer la situation des enfants victimes.
🧶🔽

Violences sexuelles dans le périscolaire parisien : ces moyens qui manquent Face aux mises en cause d’animateurs qui se multiplient, des collectifs de parents et des syndicats se mobilisent pour obtenir de la ville de Paris qu’elle admette ses failles et déploie des moyens. …

Contexte : 11 animateurs suspendus récemment pour agressions sexuelles sur des enfants dans le 11è arrondissement de Paris.

Les médias reprennent surtout la communication de la mairie de Paris. Il n'y a que Mediapart pour se demander pourquoi/comment ça arrive mais l'article est nul parce que

A mon avis, le mieux serait de se lancer dans des procédures collectives au TA, initiées par des syndicats (c'est maintenant possible).

On pourrait évidemment aussi le saisir pour des cas où l'enquête conclut à la réalité des violences révélées mais ne donne pas lieu à des sanctions.
Mais faut se sentir, quand on est victime, de saisir le tribunal administratif (TA).

Une des voies susceptibles de faire évoluer notre direction (et au-delà, le dogme de la DGFP sur la confidentialité intégrale à tous les stades de la procédure administrative), ce serait de saisir le tribunal administratif sur des situations où le préjudice de cette politique est évident.

Dans mon service, la direction est plutôt pas trop mal sur les questions de VSS. Ça permet de mettre en place quelques aménagements, lesquels consistent essentiellement à exfiltrer les victimes des environnements de travail violent, ce qui est mieux que rien mais pas du tout satisfaisant.

Côté représentants du personnel, on en vient parfois à presque déconseiller aux victimes qui viennent nous trouver de faire des signalements internes et on essaie plutôt d'agir directement avec le collectif de travail concerné.

Et il peut s'appuyer là-dessus sur les directives émises par la direction générale de la fonction publique (DGFP) : la confidentialité 4 ever et pour tout le monde, c'est aussi leur take.

Pour lui, c'est plus important de ne pas nuire à la réputation des auteurs de violences pour le restant de leur carrière que d'aider à restaurer la réputation des victimes et leurs relations de travail en communiquant aux collègues concernés le résultat des enquêtes administratives.

On a eu des échanges houleux en instance avec notre DRH à ce sujet, et il a été très clair : c'est lui qui décide de cette politique, et tant qu'il sera là, elle ne changera pas.

Ou des agresseurs qui profitent du silence imposé à leurs victimes pour continuer à dérouler leur narratif dans le collectif de travail, qui se retourne ainsi parfois contre les victimes pourtant reconnues comme telles par l'enquête administrative.