Charles De Clercq

Finally got the right inspiration to get into Game Dev... Long journey starting but as far as music go, already cooking (if you did not, listen to Belladonna OST 😌)

Enfin du merch sympa (pour rien au monde je n'aurais manqué l'*indispensable* serviette de bein GoTS) les artistes sur place... C'est ouvert jusque demain entrée gratuite il n'y a qu'à s'inscrire pour y aller allez hop-hop-hop.

Petit carré un peu pop art, on quitte pour finir les années 90 pour retourner dans les années 80, avec un parfum de Nadia (en tout cas pour moi). 4/n

Possibilité d'acheter si on peut se le permettre, mais rien que pour les yeux ca vaut le détour. 3/n

La technique de superposition est tres jolie (désolé pour els reflets, c'est moi) et on voit notamment que les fonds et le sol sont des mosaiques subtiles faites à partir de certains écrans de Ghost in a Shell (Zoomez pour voir!)

Exposition Ghost in the Shell: Stand Alone Complex à Paris par
@gaaat_art
ouverte à tous, pop-up expo/vente très chaleureuse avec de superbes oeuvres faites de superpositions de couches métalliques colorées. Exclusivité en europe jusque demain. 1/n

Ah ok! :) I was planning on buying also old magazines the next time i'll go to Japan (Mandarake delivery prices threw me off) so if so i'll be sure not get magazines you already have (I hope it was not too expensive). Never been afiliated to a website but all this deserves a repositery, somewhere.

Not sure what you mean, this booklet has been around since forever (it's now on xeno underground I think). It's amazing to have all these old magazines and booklets, have fun finding new contents! For preservation purpose, there should be be some place with all scans/interviews about the game, imo.

emmène lecteur vers sa véritable valeur d’œuvre irradiée, très consciente de ses inspirations mais qui prise dans son propre phénomène, n’incarne désormais plus la transgression. (10/10)

La saga Evangelion offre un regard personnel et subtil sur une œuvre éreintée par ses suiveurs. Virginie Nebbia réussit brillamment son tour et parvient à extraire Evangelion de son trou noir de maniaco-dépression, (9/10)

Nebbia s’attèle à son analyse mais sans s’épancher, sur la pointe des pieds ; on décèlerait presque entre les lignes un zeste de scepticisme, mais l'ouverture va d'elle-même. (8/10)

Evangelion agit comme un déclic, incarne le moment unique où une contre-culture peut sortir du carcan. Son retour avec Rebuild m'a toujours beaucoup interrogé, me semble parfois impudique ou malvenu. (7/10)

Nebbia évite à nouveau en troisième partie l’écueil et propose un décryptage de l'œuvre tout en légèreté, sans surinterprétation. Un choix salvateur et cohérent avec le mode opératoire d’Anno décrit précédemment, sans pour autant tronquer la compréhension de l'oeuvre. (6/10)

La seconde partie dévoile les thématiques de la série avec autant de finesse, et par le bon bout : celui des évidentes inspirations et de la progéniture. Evangelion y brille pour ce qu’il est, la cristallisation d’un genre réprouvé au temps de ses aînés. (5/10)

Au contraire, après l’inévitable passage sur la jeunesse et le cheminement de son auteur, Vivi déroule de manière très informative l’itinéraire de la série et d'Anno, sans trop attarder sur leurs parts d’ombre, mais fort heureusement sans les nier. (4/10)

Me voilà rassuré alors que Nebbia annonce en préambule qu’il ne s’agit pas ici de se lancer dans une interminable énumération d’influences, une logorrhée de logos et de discussions endiablées sur un lore tantôt réel, tantôt fantasmé. (3/10)

Mon impression est qu'Eva est une œuvre dont on a parlé plus que de raison ; un mythe devenu souvent réduit à son phénomène. Si j’avais d’ailleurs eu mot à dire concernant le titre de l’ouvrage, plutôt que “La Saga”, j'aurais proposé “L’obsession Evangelion”. (2/10)

Evangelion est une de mes œuvres de cœur et son apparition dans le catalogue Third Editions -sous la plume de Virginie Nebbia- était une évidence, qui éveille pourtant une forme d’inquiétude. (1/10)

Eager for the launch!

Several extra features are on the way, including a card game in the pure tradition of the genre. Quartet releases in 5 days on Steam—worth wishlisting, or at least trying the demo. (5/5)

The real strength lies in the writing: richer than the 90s classics but without the narrative excess of many modern RPGs. Holleman captures their spirit while giving it more depth, never losing clarity or momentum. (4/5)

Combat is turn-based yet strikingly dynamic: a varied cast, each with unique abilities. The system is simple, but efficient, functional, and full of life. (3/5)

The pacing is just right: after around 15 hours I’m nearing the end of the main quest, yet the post-game looks generous. Clearly aimed at genre fans, Quartet still manages to shine with qualities that feel distinctly modern. (2/5)

I had the pleasure of playing Quartet, an indie JRPG that at first glance looks like a 90s 2D classic. Each of its four heroes tells their own story—until they come together into something grand and choral. (1/5)

Somehow just came across The Cardigans, My Favourite Game official music video and recalled old lore of how fake tattoos rub off all over car seats, driving through desert.

Une expérience très agréable, un bon moment, The Operator fait plonger le joueur dans ses méandres, le temps d'une soirée. Formellement magnifique, celui-ci reste malgré tout très prototypique. Une excellente vertical slice d'un peu plus de 3h, ni plus ni moins. (8/8)

on reste en haleine grâce à l'interface toujours prenante, le sound design toujours a propos - et la durée de vie courte assurant un rythme soutenu. (7/8)

même si à plusieurs reprises j'ai regretté le manque d'interactivité, notamment à l'approche de certains camions bennes scénaristiques qu'il aurait été loisible de pouvoir esquiver. Ces quelques pare buffles encaissés, (6/8)

l'histoire est quant a elle agréable mais moins sophistiquée. Cousue de câbles de téléphériques blancs, celle-ci propose quelques twists très peu surprenants, voire ludiquement discutables (l'appartement...?). Elle reste néanmoins efficace, (5/8)

très faciles... Il s'agit avant tout de faire avancer l'histoire -celle-ci sera bouclée en un peu plus de 3 heures. Alors que la profusions d'indices et de modules, l'interface stylée font réellement mouche, (4/8)