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Après le Chili, le Luxembourg est le pays où le travail est le plus désavantagé face au capital. Selon l’OCDE, un revenu moyen issu de salaires est taxé à 31,4%, contre seulement 4,3% lorsqu’il provient de dividendes.

Source: www.csl.lu/app/uploads/... (3/3)

Cette différence fiscale accentue les inégalités: les plus aisés voient leur patrimoine croître plus vite, à ressources égales, sans qu’aucune mesure ne soit prise pour corriger cette distorsion au profit des hauts et très hauts revenus et patrimoines. (2/3)

Il est un fait que plus on est riche au #Luxembourg, plus le capital devient une source majeure de revenus, souvent bien moins taxés que les revenus du travail. (1/3)

De plus en plus de salariés au #Luxembourg se sentent surchargés. Le stress, l’épuisement et les charges psychosociales ne sont plus des phénomènes marginaux, mais façonnent désormais la réalité du monde du travail moderne. (1/7)

La réponse concernera non seulement la santé des salariés, mais aussi la compétitivité et la stabilité sociale du pays face au défi du changement démographique. (7/7)

La décision est de grande portée: le Luxembourg va-t-il se limiter à des appels aux comportements individuels ou mettre en place des structures favorisant la santé? (6/7)

La responsabilité est ainsi transférée aux individus, au lieu d’améliorer durablement et structurellement les conditions de travail. (5/7)

Alors que d’autres pays de l’UE, comme l’Allemagne, ont déjà inscrit cette évaluation des risques dans leur législation sur la protection du travail, le Luxembourg ne dispose pas encore d’un cadre juridique contraignant. (4/7)

Elle prend en compte des domaines typiques de charges tels que le contenu et l’organisation du travail, les relations sociales (p.ex. le style de management), l’environnement de travail, ainsi que de nouveaux défis comme la disponibilité permanente. (3/7)

Un instrument central pour améliorer préventivement les conditions de travail reste cependant inutilisé: l’évaluation des risques liés à la charge mentale au travail. (2/7)

De plus en plus de salariés au #Luxembourg se sentent surchargés. Le stress, l’épuisement et les charges psychosociales ne sont plus des phénomènes marginaux, mais façonnent désormais la réalité du monde du travail moderne. (1/7)

Immer mehr Beschäftigte in Luxemburg fühlen sich überlastet. Stress, Erschöpfung und psychosoziale Belastungen sind längst kein Randthema mehr, sondern prägen die Realität moderner Arbeitswelten. (1/7)

Die Antwort wird nicht nur die Gesundheit der Beschäftigten betreffen, sondern auch Wettbewerbsfähigkeit und soziale Stabilität in Zeiten des demografischen Wandels. (7/7)

Die Entscheidung ist von großer Tragweite: Bleibt Luxemburg bei Appellen an individuelles Verhalten stehen, oder etabliert es gesundheitsförderliche Strukturen? (6/7)

Damit wird die Verantwortung auf Einzelne abgewälzt, anstatt Arbeitsbedingungen strukturell und nachhaltig zu verbessern. (5/7)

Während andere EU-Länder, etwa Deutschland, diese Gefährdungsbeurteilung fest im Arbeitsschutzgesetz verankert haben, fehlt in Luxemburg bislang ein verbindlicher rechtlicher Rahmen. (4/7)

Sie berücksichtigt typische Belastungsbereiche wie Arbeitsinhalte und -organisation, soziale Beziehungen (z. B. Führungsstil), die Arbeitsumgebung sowie neue Herausforderungen wie die ständige Erreichbarkeit. (3/7)

Ein zentrales Instrument zur präventiven Verbesserung der Arbeitsbedingungen bleibt jedoch ungenutzt: die Gefährdungsbeurteilung psychischer Belastungen am Arbeitsplatz. (2/7)

Immer mehr Beschäftigte in Luxemburg fühlen sich überlastet. Stress, Erschöpfung und psychosoziale Belastungen sind längst kein Randthema mehr, sondern prägen die Realität moderner Arbeitswelten. (1/7)

Rejoignez-nous le 1er octobre pour un Forum Z consacré à la médiatisation des inégalités sociales et économique au #Luxembourg.
Organisé en partenariat avec @csllux.bsky.social
Plus d'infos: www.uni.lu/c2dh-fr/even...
#ForumZLU #PublicHistory

Avec un taux de risque de pauvreté de 18,1%, près d’un cinquième de la population résidente du #Luxembourg est exposée au risque de pauvreté. (1/2)

Les enfants de moins de 18 ans sont particulièrement vulnérables: environ un mineur sur quatre (24,1%) est menacé par la pauvreté.

Source: statistiques.public.lu/fr/actualite... (2/2)

Avec un taux de risque de pauvreté de 18,1%, près d’un cinquième de la population résidente du #Luxembourg est exposée au risque de pauvreté. (1/2)

L’économie du burnout gagne du terrain Alors que la productivité a permis au fil des décennies d’accroître la richesse globale, de réduire la pauvreté, de stimuler l’innovation technologique et d’améliorer le niveau de vie dans de nombreus...

Alors que la productivité a permis au fil des décennies d’accroître la richesse globale, de réduire la pauvreté, de stimuler l’innovation technologique et d’améliorer le niveau de vie dans de nombreuses sociétés, elle essouffle aujourd’hui le monde du travail. #luxembourg

L’économie du burnout gagne du terrain Alors que la productivité a permis au fil des décennies d’accroître la richesse globale, de réduire la pauvreté, de stimuler l’innovation technologique et d’améliorer le niveau de vie dans de nombreus...

Alors que la productivité a permis au fil des décennies d’accroître la richesse globale, de réduire la pauvreté, de stimuler l’innovation technologique et d’améliorer le niveau de vie dans de nombreuses sociétés, elle essouffle aujourd’hui le monde du travail. #luxembourg

Le monde du travail est devenu, pour beaucoup, un environnement sous tension constante. Dans une logique de productivité à tout prix, les salariés doivent sans cesse s’adapter à des exigences croissantes, à des outils en perpétuelle évolution et à des délais toujours plus serrés. #luxembourg (1/7)

Repenser notre rapport au travail, reconnaître la valeur humaine au-delà de la seule rentabilité, et reconstruire un socle de solidarité dans l’économie sont désormais des priorités. (7/7)

Face à cette situation, il devient urgent de rétablir un équilibre entre performance économique et justice sociale. (6/7)

Le Luxembourg, malgré son dynamisme économique, n’échappe pas à cette réalité. Son modèle fondé sur des secteurs à forte valeur ajoutée accentue les déséquilibres: montée des troubles liés au stress, précarité croissante, fracture sociale qui se creuse. (5/7)

...d’un côté, une minorité de profils qualifiés et bien rémunérés, mais soumis à une pression psychologique constante. De l’autre, une majorité exposée à l’instabilité, à la répétitivité des tâches et à une forme d’invisibilité sociale. (4/7)