Mais bon en même temps, quand le titre s'appelle "Autismes et savoirs situés", cela justifie un peu d'avoir une approche générale en traitant diverses choses tout en étant bien structurée.

Et j'envisage de ne pas tarder avec les corrections de la première partie tout en poursuivant posément.

J'anticipe toujours à l'idée qu'on me critique de parler de plusieurs de dimensions de mon sujet, tout en proposant brièvement des pistes sans forcément les exploiter, mais bon je pense que cela permet de souligner les ambiguïtés du spectre "par" le pdt des personnes concernées et non concernées.

Initialement, j'avais construit cette partie en un chapitre, mais les ajouts font que cela me paraissait plus pertinent de regroupe cela en une partie complète.

Bon, ce chapitre est quasi bouclé. Ce qui veut que je peux pleinement revenir sur la partie "Savoirs situés, injustices épistémiques et autobiographies" que j'avais fait au semestre précédent avec des réajustements, ajouts et rectifications, et dont j'ai pris pas mal de plaisir.

Bon faut quand même que je me canalise pour laisser mûrir sans me précipiter, mais bon cela me donne une raison de ne pas lâcher mon parcours actuel.

Puis plus je relis des passages et fait des analogies, plus je me dis que tout cela peut très bien s'appliquer à tout ce qui tourne sur la neurodiversité.

Bon, j'apprends que ma DR sera dispo à partir du 2 septembre, en espérant faire en sorte de caler une date de soutenance pour la seconde moitié de septembre sans mauvaise surprise.

Bon je crois que "j'arrive" à faire une brève analogie scolaire entre certaines théories des émotions avec le vocabulaire des habitudes émotionnelles. Je ne développe pas trop, mais cela me permet de semer des graines.

Les relectures de textes qu'on pensait avoir compris, alors qu'en fait pas vraiment, cela redonne de l'énergie.

Et dire que je cite brièvement ses travaux dans mon mémoire.

Bonté divine.

Je m'attends à ce qu'on me dit que j'ai peut-être traité de plusieurs choses à la fois (clinique, Rdoc, activisme, émotions, injustice épistémique, pdv psy vs personnes concernées, autobiographies), mais bon c'est tellement un chaos l'autisme que j'avais besoin de signaler tout cela.

Pour la partie "étiologie et génétique", je pense la déplacer dans le premier chapitre où j'explique l'évolution du terme "spectre" estimant que c'est plus en raccord en terme de structure.

Ah, et je fais une brève interprétation de la notion d'émotion via la définition de Pierre Livet.

J'en profite pour brièvement évoquer le bégaiement dans certains cas.

Je ne suis pas vraiment sûr de ce que je fais, mais bon on va bien voir maintenant que j'ai repris goût à la rédaction.

Histoire de 1) aller un peu plus que l'état de l'art, 2) proposer des ouvertures pour semer des graines de réflexion pour quelques petites pistes.

Sinon, je pense avoir trouvé une structure pour une dernière partie de mon mémoire, reliant une partie des énoncés rédigés jusque-là en se focalisant davantage sur un mixe entre savoirs situés et savoirs expérienciels, énactivisme, habitudes émotionnelles, et des narrations autistiques.

Après cela, je complète la partie que j'avais déjà faite sur les injustices épistémiques et l'usage des autobiographies et leurs compatibilité ou non sur certaines approches. De manière à bien ordonner tout ce qui a déjà été fait quand bien même j'avais de très bons retours.

Je reprends tout de même la notion de conscience émotionnelle via le taff de Sarah Arnaud, qui donne de bonnes perspectives.

Je voulais dire un mot sur l'obsolescence des neurones miroirs, mais bon j'ai déjà une théorie de l'esprit à remettre en cause une fois encore. Cela suffira.

C'est juste une petite mise à jour histoire de mettre les choses en ordre.

Bon c'est plus ou moins fait. Maintenant, revenons sur la partie dédiée, à l'étiologie sur l'autisme, aux émotions, à l'alexithymie, à quelques théories (double empathy problem + monotropisme) et tacler une nouvelle fois Baron-Cohen.

J'ai pu tout de même mentionner la mise en parallèle avec l'antipsychiatrie malgré mon manque de connaissance précise là-dessus.

Bon après, sans adhérer complètement au concept, je ne le rejette pas pour autant, je le prends pour ce que cela vaut.

Je vais rajouter quelque chose, parce que c'est un exemple qui est généralisable à toute la psychiatrie, et que ça a le mérite d'être (à mon sens en tout cas) une illustration très claire d'un problème subtilement différent de (l'énorme) déficit de scientificité de la psychiatrie depuis ses débuts:

Allez je le plaque pour le moment.

A voir avec ma DR quand elle pourra être dispo, car même si jusque-là je ne parle pas de loutre, ben c'est une bonne pioche.

[TW Psychiatrie, tortures] - Déroule👇🏼
A celleux qui se demandent pourquoi on s'inscrit dans les mêmes lignes que l’abolitionnisme carcéral, voici l'une des raisons
- 5m carrés ds le noir complet
- pas de douche, parfois de WC, peu de nourritures
- perte du temps
- contention mécanique
- crier seul.e