Carnets sur sol

Mais c'est vrai qu'en l'occurrence, je le pense davantage comme une ressource pour curieux éventuels, pas vraiment comme un produit à consommer intégralement ni tout de suite. C'est là. Si besoin.

Les tiennes sont quand même beaucoup plus user friendly, ça se regarde clairement mieux, c'est bien pensé pour le spectateur !

En attendant l'épisode 2 de la série pochettes…

Beethoven et paralysie du sommeil.

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🔥

C'est à disposition, comme ça s'il y a des curieux. (Et contre toute attente, il y en a même quelques-uns qui écoutent tout !)

De toute façon j'avais prévu de réaliser ce décorticage pour moi, alors filmé ou non…

Comme le Freischütz s'achève début septembre, j'envisage de panacher les samedis Pelléas avec, les mercredis, une étude des leitmotive de Tosca. Cela intéresserait-il des gens ?

Pour ceux qui redouteraient que la série Pelléas ne s'achève trop tôt…

Ce soir j'enregistre trois épisodes de plus, ce qui permettra de publier les premiers épisodes de l'acte IV… dans les derniers jours de décembre.

Et loin des Cisterciens.

Et moi je suis descendu à Plaisir – Grignon. 😁

Tu vas où ?

Un petit air d'Auvergne ce soir.

#SaintGermainDeLaGrange

Evening routine : #CourseAuCouchant à l'orée du Bois de Chantropin – entre Souzy-la-Briche et Saint-Chéron.

🎵 Passe-moi, Chéron, passe-moi…

Comme nous étions mutus sur Twitter, je me permets de proposer (sans obligation d'achat) me joindre au groupe, d'autant que je vois aussi beaucoup de pseudos sympathiques avec lesquels j'échange avec plaisir depuis longtemps !

Nouvelle notule :

¶ Les pochettes de disque les plus belles (et les plus dingues)

Premier épisode : les bizarreries artistiques.

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ou
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YouTube video by Carnets sur sol Nouveautés disques #6 – 1er août 2025

Nouvelle vidéo. Bilan nouveautés de la semaine.

youtu.be/_FqmIwDq2kw

Bien sûr, la série Pelléas continue tous les samedis et Freischütz tous les mercredis, jusqu'à extinction de la matière première.

Je prépare doucettement, depuis un mois, une notule qui sera une ode aux pochettes de disque – farcie d'exemples beaux ou assez fous.

En attendant sa publication, une pochette par jour.

Je prépare doucettement, depuis un mois, une notule qui sera une ode aux pochettes de disque – farcie d'exemples beaux ou assez fous.

En attendant sa publication, une pochette par jour.

Ambiance sauvage inattendue sur le canal de Meaux, du côté de Quincy-Voisins !

Je prépare depuis trois semaines une notule qui sera une ode aux pochettes de disque, farcie d'exemples beaux ou assez fous.

En attendant sa publication, une pochette par jour.

Pour l'un comme pour l'autre, bon courage en effet !

Welcome folks to the glorious ciddy of Kansas-sur-Juine !

Oui, on sent vraiment la sensibilité de géographe. Le Rivage est plus élégant littérairement, mais La Route, La Presqu'île, Un Balcon, La Maison, quelle force évocatrice des choses simples (particulièrement dans La Route et La Maison...).

Dans la lande.

(de Boissy-le-Cutté)

Troisième et dernière notule de ce point d'étape estival autour de Pelléas :

¶ Le violentomètre Golaud

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Absolument ! Je n'en connais pas beaucoup d'autres qui puissent rendre compte aussi complètement des potentialités d'un lieu (parfois quelconque de sucroît).

(Même si ce n'est pas du tout ce roman où c'est le plus fulgurant, à mon sens.)

Nouvelle notule :

¶ Pelléas & Mélisande – les cellules musicales de l'amour pour exprimer l'horreur

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À regarder cette mer verte on ressentait un obscur malaise. Il semblait bizarrement […] que cette forêt dût être animée et que, semblable à une forêt de conte ou de rêve, elle n’eût pas dit son premier mot.

Julien Gracq, Au château de Crouy

serpent pesamment immobile, dont la peau marbrée eût été alors assez bien figurée par les taches sombres des nuages, qui couraient sur sa surface ridée. Ces nuages du ciel, blancs et plats, paraissaient planer au-dessus du gouffre vert à une énorme hauteur.

Un donjon en contre-plongée, doré par les dernières lueurs d'un jour moment, déchire le ciel menaçant.

Depuis le pied des murailles la forêt s’étendait en demi-cercle jusqu’aux limites extrêmes de la vue ; c’était une forêt triste et sauvage, un bois dormant, dont la tranquillité absolue étreignait l’âme avec violence. Elle enserrait le château comme les anneaux d’un

Je prépare depuis trois semaines une notule qui sera une ode aux pochettes de disque, farcie d'exemples beaux ou assez fous.

En attendant sa publication, une pochette par jour.

« On va nous faire travailler jusqu’à la mort. »
(Graphiste de gauche.)

Mes réponses au questionnaire sur les prochains espaces d'accueil du Louvre.