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Malik Hamila

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Doctorant en sociologie (EHESS/CMH) | Champ du pouvoir | racialisation en haut de l’espace social | sociologie des classes supérieures | sociologie de l’antiracisme

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Une superbe anthologie concoctée par Tyina L. Steptoe qui retrace un siècle d'histoire de la lutte pour les droits civiques aux États-Unis.

Deux volumes sous coffrets publiés dans la Library of America.

09.06.2025 18:07 — 👍 7    🔁 1    💬 0    📌 0
Couverture du livre

Couverture du livre

Résumé

Résumé

À paraître aux @editionspur.bsky.social

« Militer en minorité ? Le « secteur juif » du Parti communiste français après la Libération » par @zgrumberg.cpesr.fr

www.pur-editions.fr/product/1026...

28.05.2025 16:54 — 👍 23    🔁 15    💬 0    📌 0
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Varieties of Economic Elites? Preliminary Results From the World Elite Database (WED) The strategies, decisions and beliefs of those who occupy prominent positions of economic power have influence on very large corporations and the markets they dominate, on vast amounts of economic re...

Notre article scientifique est disponible ici : onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/...

25.04.2025 17:53 — 👍 2    🔁 1    💬 0    📌 0
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Le numéro 147 vient de paraître. Bonne lecture !
Tenir la ligne : les conditions sociales du travail de mise en cohérence de soi, coordonné par Julie Blanc & Noé Fouilland
shs.cairn.info/revue-politi...

Au sommaire 👇

16.04.2025 13:32 — 👍 19    🔁 8    💬 0    📌 1

Le 25 mars prochain, nous organisons une soirée de présentation du dossier « Élites minorisées », publié récemment dans Critique internationale. Merci au @ceri-sciencespo.bsky.social pour l’accueil !
Inscription libre par ici 👇🏽
(Pour les détails et le programme : urls.fr/mIGhf5).

14.03.2025 17:39 — 👍 7    🔁 1    💬 0    📌 1
Couverture du livre

Couverture du livre

Résumé

Résumé

À paraître aux PUR

« Algériens au travail, une histoire (post)coloniale. Enquête sur les travailleurs immigrés de l’industrie automobile dans la France des « Trente Glorieuses » » par Laure Pitti :
www.pur-editions.fr/product/9812...

13.03.2025 16:52 — 👍 18    🔁 9    💬 0    📌 0
Les passeurs de révolte. Étudiants et intellectuels étrangers et postcoloniaux en France dans les années 1968

Sous la direction de Françoise Blum Françoise et Guillaume Tronchet Guillaume
Préface de Ludivine Bantigny  et postface de Michelle Zancarini-Fournel

Les passeurs de révolte. Étudiants et intellectuels étrangers et postcoloniaux en France dans les années 1968 Sous la direction de Françoise Blum Françoise et Guillaume Tronchet Guillaume Préface de Ludivine Bantigny et postface de Michelle Zancarini-Fournel

Les passeurs de révolte dont il est question dans ce livre sont les étudiants et intellectuels étrangers et postcoloniaux en France dans les années 1968. Ces étudiants et intellectuels constituent des voix singulières et déploient des discours et des répertoires d’action qui leur sont propres dans les contestations des années 1968. Certes, leur grammaire protestataire peut se fondre dans celle de l’ensemble des révoltés (tractage, affichage, pétitions, manifestations, occupations de locaux, etc.) mais certaines revendications leur sont spécifiques. C’est le cas des discours profitant de la tribune offerte par les mobilisations pour informer, alerter et mobiliser autour des luttes sociales et politiques des pays dont ces étudiants sont originaires (Maroc, Tunisie, Argentine, etc.). C’est aussi le cas des discours revendiquant un statut égal à celui des étudiants nationaux, que l’on retrouve au cœur des demandes de la Tricontinentale. Ce livre s’inscrit dans une historiographie des années 1968, profondément renouvelée depuis une dizaine d’années à l’aune de la question globale. L’histoire des mobilisations sociales et politiques des années 1968 invite en effet désormais à interroger concrètement « les lieux et les moments de “passage”, les “passeurs” et bien sûr “ce qui passe”, textes idées, modèles, répertoires d’action » (Boris Gobille). C’est de cela qu’il est question ici : du rôle et de la place des étudiants et intellectuels étrangers dans les processus d’internationalisation des révoltes.

Les passeurs de révolte dont il est question dans ce livre sont les étudiants et intellectuels étrangers et postcoloniaux en France dans les années 1968. Ces étudiants et intellectuels constituent des voix singulières et déploient des discours et des répertoires d’action qui leur sont propres dans les contestations des années 1968. Certes, leur grammaire protestataire peut se fondre dans celle de l’ensemble des révoltés (tractage, affichage, pétitions, manifestations, occupations de locaux, etc.) mais certaines revendications leur sont spécifiques. C’est le cas des discours profitant de la tribune offerte par les mobilisations pour informer, alerter et mobiliser autour des luttes sociales et politiques des pays dont ces étudiants sont originaires (Maroc, Tunisie, Argentine, etc.). C’est aussi le cas des discours revendiquant un statut égal à celui des étudiants nationaux, que l’on retrouve au cœur des demandes de la Tricontinentale. Ce livre s’inscrit dans une historiographie des années 1968, profondément renouvelée depuis une dizaine d’années à l’aune de la question globale. L’histoire des mobilisations sociales et politiques des années 1968 invite en effet désormais à interroger concrètement « les lieux et les moments de “passage”, les “passeurs” et bien sûr “ce qui passe”, textes idées, modèles, répertoires d’action » (Boris Gobille). C’est de cela qu’il est question ici : du rôle et de la place des étudiants et intellectuels étrangers dans les processus d’internationalisation des révoltes.

#VeilleSHS

Paru aujourd'hui aux Presses Universitaires de Rennes :

Les passeurs de révolte. Étudiants et intellectuels étrangers et postcoloniaux en France dans les années 1968

Coordonné par Françoise Blum et Guillaume Tronchet
Préface Ludivine Bantigny et postface Michelle Zancarini-Fournel

13.03.2025 06:48 — 👍 16    🔁 6    💬 0    📌 0

[ #socioelites] Soirée de présentation du dossier "Élites minorisées" (Critique internationale, n°105)
📅 mardi 25 mars, 17-19h
📍Sciences Po, Salle H405, 28 rue des Saints-Pères
🔗 www.sciencespo.fr/ceri-eveneme...

@ceri-sciencespo.bsky.social - @malikhml.bsky.social - @annezt.bsky.social

11.03.2025 19:17 — 👍 7    🔁 5    💬 0    📌 2
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#VeilleSHS

A paraître le 22 mai aux Éditions La Découverte @edladecouverte.bsky.social :

Vers le haut. Enquêter sur l’élite au pouvoir

par François Denord, Paul Lagneau-Ymonet,
et Sylvain Laurens

06.03.2025 13:48 — 👍 50    🔁 20    💬 1    📌 1
Les publics de la mise en nombre

par Antoine Hardy et Laurène Le Cozanet Laurène

Les publics de la mise en nombre par Antoine Hardy et Laurène Le Cozanet Laurène

Mettre en nombre le monde a un caractère profondément politique. De la mesure des inégalités aux estimations des gaz à effet de serre en passant par les projections de croissance économique, l'actualité nous rappelle comment les chiffres sont diffusés, mobilisés, contestés. Cet ouvrage collectif pluridisciplinaire met au jour un aspect crucial, et pourtant peu exploré, de ces opérations : ses publics. À partir d'une grande diversité de terrains et de matériaux empiriques, les contributeurs enquêtent sur celles et ceux que la quantification concerne, interpelle, qui s'associent à elle, qui s'en approprient les résultats, les discutent ou les refusent. Des publics imaginés aux publics effectifs, des publics commanditaires aux publics enrôlés, ce livre donne de nouvelles clefs pour comprendre les usages et les circulations de la quantification. En dialogue avec la littérature sur la quantification et celle portant sur la datafication – deux phénomènes qu'abordent désormais toutes les disciplines des sciences humaines et sociales – cet ouvrage ouvre un front de recherche qui intéressera les étudiant·es et les chercheur·ses comme toute personne curieuse de mieux comprendre ce qui se joue lorsque nos expériences sociales sont transformées en nombres.

Mettre en nombre le monde a un caractère profondément politique. De la mesure des inégalités aux estimations des gaz à effet de serre en passant par les projections de croissance économique, l'actualité nous rappelle comment les chiffres sont diffusés, mobilisés, contestés. Cet ouvrage collectif pluridisciplinaire met au jour un aspect crucial, et pourtant peu exploré, de ces opérations : ses publics. À partir d'une grande diversité de terrains et de matériaux empiriques, les contributeurs enquêtent sur celles et ceux que la quantification concerne, interpelle, qui s'associent à elle, qui s'en approprient les résultats, les discutent ou les refusent. Des publics imaginés aux publics effectifs, des publics commanditaires aux publics enrôlés, ce livre donne de nouvelles clefs pour comprendre les usages et les circulations de la quantification. En dialogue avec la littérature sur la quantification et celle portant sur la datafication – deux phénomènes qu'abordent désormais toutes les disciplines des sciences humaines et sociales – cet ouvrage ouvre un front de recherche qui intéressera les étudiant·es et les chercheur·ses comme toute personne curieuse de mieux comprendre ce qui se joue lorsque nos expériences sociales sont transformées en nombres.

#VeilleSHS

A paraître le 12 juin aux Presses des Mines @pressesdesmines.bsky.social :

Les publics de la mise en nombre

par Antoine Hardy et Laurène Le Cozanet

06.02.2025 12:04 — 👍 12    🔁 5    💬 1    📌 0
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À quoi bon la sociologie si elle n'est pas engagée ? Entretien avec Michael Burawoy - CONTRETEMPS Depuis plusieurs décennies, Michael Burawoy est l'un des sociologues marxistes les plus créatifs, occupant par ailleurs une place centrale dans la discipline puisqu'il a été successivement président d...

Michael Burawoy vient de mourir. Il était depuis longtemps l’un des sociologues marxistes les plus créatifs. Nous lui rendons hommage en republiant cet entretien, dans lequel il revient sur ses travaux les plus marquants et défend une sociologie engagée 👇
www.contretemps.eu/sociologie-e...

05.02.2025 08:40 — 👍 115    🔁 59    💬 3    📌 5
Le « bon » détenu au « bon » endroit
Gestion spatiale de la détention et racialisation de l’ordre carcéral
Par Manon Veaudor 
Revue Politix
Résumé : En France, deux ensembles de travaux sur les catégorisations raciales en prison se dégagent, au sein desquels cette question peine à trouver une problématisation convaincante : entre ceux, d’une part, qui privilégient l’entrée par le continuum carcéral pour saisir l’imbrication des logiques d’exclusion sociale et raciale entre la prison et les quartiers populaires ; et ceux, d’autre part, qui interrogent la racialisation au seul prisme des conditions de production des énoncés racistes. En prenant pour objet la manière dont le personnel pénitentiaire désigne et regroupe les détenus au regard d’un lieu de résidence et des fréquentations qui y sont associées, l’article examine les effets imbriqués des processus de racialisation et de territorialisation sur les modalités d’affectation en détention. À partir d’une enquête ethnographique dans deux maisons d’arrêt, il montre comment les catégorisations territoriales visant les jeunes hommes de milieux populaires reproduisent des formes de racialisation et de disqualification des détenus visés par des pratiques ambivalentes de regroupement en unités de détention. La latitude laissée au personnel d’encadrement de l’administration pénitentiaire dans la gestion des affectations apparaît dès lors déterminante. Elle donne lieu, dans les deux établissements de l’enquête, à la constitution de normes d’« équilibrage » dans la composition des unités, révélatrices d’une dynamique pragmatique de racialisation structurant l’ordre carcéral.

Le « bon » détenu au « bon » endroit Gestion spatiale de la détention et racialisation de l’ordre carcéral Par Manon Veaudor Revue Politix Résumé : En France, deux ensembles de travaux sur les catégorisations raciales en prison se dégagent, au sein desquels cette question peine à trouver une problématisation convaincante : entre ceux, d’une part, qui privilégient l’entrée par le continuum carcéral pour saisir l’imbrication des logiques d’exclusion sociale et raciale entre la prison et les quartiers populaires ; et ceux, d’autre part, qui interrogent la racialisation au seul prisme des conditions de production des énoncés racistes. En prenant pour objet la manière dont le personnel pénitentiaire désigne et regroupe les détenus au regard d’un lieu de résidence et des fréquentations qui y sont associées, l’article examine les effets imbriqués des processus de racialisation et de territorialisation sur les modalités d’affectation en détention. À partir d’une enquête ethnographique dans deux maisons d’arrêt, il montre comment les catégorisations territoriales visant les jeunes hommes de milieux populaires reproduisent des formes de racialisation et de disqualification des détenus visés par des pratiques ambivalentes de regroupement en unités de détention. La latitude laissée au personnel d’encadrement de l’administration pénitentiaire dans la gestion des affectations apparaît dès lors déterminante. Elle donne lieu, dans les deux établissements de l’enquête, à la constitution de normes d’« équilibrage » dans la composition des unités, révélatrices d’une dynamique pragmatique de racialisation structurant l’ordre carcéral.

Très content de voir publier cet article de ma collègue Manon Veaudor!

Une analyse originale de la place des catégories raciales dans la gestion pénitentiaire, montrant leur intrication avec d'autres catégories (quartiers, âges, etc.) qui les façonnent/concurrencent.

shs.cairn.info/revue-politi...

04.02.2025 07:51 — 👍 11    🔁 7    💬 2    📌 0
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📢 JE Voyage en grande sociologie. Héritages et prolongements des travaux de Michel Pinçon et Monique Pinçon-Charlot

⏰ 6 et 7 février 2025

📍 amphithéâtre Daniel Cohen, campus Jourdan, ENS-PSL, PARIS.

⬇️ Programme et inscriptions

16.01.2025 21:44 — 👍 42    🔁 25    💬 2    📌 6

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